Formule de Leibniz

|| i || = || j || = 1 cm. (Ainsi 1 u.a. correspond à 1 cm2) Cas d'une fonction ¦ égale à une constante positive (notée k Î +) sur [a, b] alors : ò b a ¦ (t ) dt = ò b k dt = (b - a)k u.a . a (On a simplement appliqué la formule longueur ´ largeur pour calculer l'aire d'un rectangle !) y C¦ k D J 1 u.a. O I b a ò En particulier, si ¦ est nulle sur [a, b] alors : b a x ¦ (t ) dt = 0 Cas d'une fonction ¦ affine (notons ¦(x) = mx + p) supposée

du sujet à lui-même et l'idée de sa souveraineté qui se trouvent contestées. -Les précurseurs La philosophie classique, notamment avec Descartes*, en identifiant conscience et pensée, ne reconnaît pas l'existence d'un inconscient. Certes Leibniz* (1646-1716) admet l'existence de petites perceptions inconscientes, c'est-à-dire de "changements dans l'âme dont nous ne nous apercevons pas" (_Nouveaux Essais sur l'entendement humain_, II, chap. 1). Un siècle plus tard, Maine de Biran, dans son

Dissertation Philosophie « Je est un autre » C'est dans une lettre destinée à Paul Demeny en 1871, que le poète français Arthur Rimbaud écrivit la formule radicale « je est un autre ». Cette dernière soulève de nombreuses interrogations dans les courants philosophiques, tout comme les énigmes du moi, qui portent bien leur nom étant donné qu'une énigme est un mystère qu'il est difficile de percer à cause de l'obscurité des données qui pourraient permettre d'y répondre. Dans ce cas, l'obscurité

à la notion de volonté, avec Schopenhauer, Schelling, Hegel, Leibniz. Il ajoute même avec hauteur : « La dépendance n'est jamais que celle de la petitesse par rapport à la grandeur » (N I, 40). Et, dès le seuil de son « grand livre », Heidegger couvre toutefois cette allusion d'une dénégation pour le moins ambiguë : « L'on ne saurait du tout affirmer que la doctrine nietzschéenne de la Volonté de puissance serait dépendante de Leibniz ou de Hegel ou de Schelling, pour suspendre, à partir de cette

d’enchaînement des éléments, est supposé. La démarche de ce précepte, phare du Cartésianisme est voisine de celle du principe méthodologique de raison suffisante des épistémologies positivistes. Ce principe positiviste, formulé pour la première fois par le philosophe allemand Leibniz en 1715 s’inscrit, lui aussi, dans cette approche déductive. Pour preuve le principe Leibnizien de raison suffisante « jamais rien n’arrive sans qu’il y ait une cause ou du moins une raison déterminante, c'est-à-dire qui

sophistiquée avec les utilisateurs Objectif d’adaptation et d’apprentissage avec l’expérience ... Historique (1) 1. Origines ... XVIIe siècle : Descartes et ses « animaux-machines » XVIIIe siècle : Leibniz définit la notion d’heuristique 1748 : La Mettrie et son « homme-machine » 1854 : Leibniz, Boole « The laws of thinking » 1910 : Whitehead, Russel « Principia Mathematica » 1930 : Gödel « Théorème d’incomplétude » 1934 : Tarsky, Herbrand ou Church « Théorème d’indécidabilité », « le lambda-calcul

a priori/ a posteriori Formule latine signifiant « à partir de ce qui vient avant ». Désigne ce qui est indépendant de toute expérience. S'oppose à a posteriori. Contre l'empirisme, Kant soutient l'existence de structures a priori qui précèdent et conditionnent notre connaissance du monde. abstraction Du latin abstrahere, « tirer, enlever ». Constitutive de la pensée et du langage, l'action d'abstraire est l'opération de l'esprit qui isole, pour le traiter séparément, un élément d'unereprésentation ;

Pourtant dans certaines situations, des expressions telles que « je n’étais plus moi » ou je ne me reconnais plus » font que nous nous éprouvons aux prises avec quelque chose en nous que nous ne reconnaissons pas. Alors « je est un autre » selon la formule de Rimbaud et nous ne parvenons plus à contrôler nos réactions,. Enfin, être soi même n’est pas chose facile. Cela demande à chacun d’entre nous une démarche personnelle pour le devenir . I/ Le « JE » est forcément Moi » « ne pas être soi-même

plus besoin d’être prouvée. Socrate montre dans le dialogue Ménon que l’esclave possède en lui une vérité géométrique. Il veut lui faire trouver comment tracer un carré qui a une superficie double d’un premier carré. En le questionnant, il l’amène à formuler, après plusieurs erreurs, la bonne réponse, sans lui donner la solution. (Faire de la diagonale du premier carré le côté du deuxième carré) • L’intuition (Bergson) Bergson distingue l’intelligence de l’intuition. L’intelligence est tournée

l’expression rebute le grand public. Ainsi, une œuvre aussi ambitieuse que Candide traitée sous forme de courts récits, à la fois pédagogique et agréable séduit le lecteur. Il ne s’agit pas de l’exposition des théories philosophiques, comme l’optimisme de Leibniz, mais de l’incarnation de ces théories à travers les personnages et les situations, de manière à ce que l’intrigue fantaisiste amène à une banalisation de ces théories. Le lecteur peut donc comprendre les sujets sérieux traités et Voltaire peut alors