Foule

contrairement au début du roman où il est bousculé par la foule. Le triomphe du héros est amplifié car il se déroule dans un lieu sacré la «sacristie » où l’on reçoit généralement des vœux de bonheur. De même on remarque une foule participent au triomphe de Bel-Ami, le champ lexicale de la foule est présente dans ce texte «personnes se poussaient »,  « la foule », « assistants », « plein de monde », comparé au comportement irrespectueux de la foule dans l’incipit, elle est à présent respectueuse, tout

cette scène de mariage, force nous est de constater que toutes les conquêtes de Georges sont présentes - directement ou indirectement. Ce sont d’abord Virginie Walter, qui pleure de devoir céder son amant à sa fille, et Clotilde de Marelle qui fend la foule pour le venir saluer : " soudain, il aperçut Mme de Marelle ". Alors que Virginie Walter, dans les chapitres précédents, est la " vieille ", la " Patronne ", nous voyons à travers les diminutifs que lui attribue Bel-Ami toute la tendresse qu’il éprouve

partenariat avec www.bacfrancais.com abdiqué. Sa destinée était faite. Mais quel regard profond, inoubliable, il promenait sur la foule et les lumières, dont le flot mouvant s'arrêtait à quelques pas de sa répulsive misère ! ... Etude I/ La solitude dans la foule Un contraste rend plus douloureuse la solitude du pauvre saltimbanque. 1/ D’une part, la fête et sa foule L’impression de grand nombre, de cohue est donnée par : • • les mots à sens collectif (« tout » « partout »), l’emploi des

mots sur son nom " Georges Du Roy "  - La sortie de l'Eglise = procession royale (cf. 3ème paragraphe avant la fin). La foule est immense. Champ lexical de la foule Elle est comparée à une masse.  => c'est une masse anonyme qui n'existe que par rapport à Bel-Ami : elle est là pour l'acclamer. Dans l'incipit Bel-Ami est dans la foule, ici il en est détaché. Pour Bel-Ami la foule existe en fonction de ce qu'elle donne : acclamations (l.10) et des compliments (l.12) - Il peut ambitionner le Palais Bourbon

Le  pas de foulée  représente la longueur normale d'un pas sur une surface horizontale. Il mesure entre 60 à 64 cm. En 1675, François Blondel a mis en évidence que le déplacement vertical était 2 fois plus pénible que le déplacement horizontal et a donc défini qu'il fallait compter 2 hauteurs de marche pour 1 giron. La relation de Blondel est représentée par la formule :  Pas de foulée = 2 Hauteurs + 1 Giron = 60 à 64 cm . La valeur admise se situe entre 57 et 65 cm. Cette valeur est obligatoirement

Dreyfus. L'attitude de la foule pour l'auteur est contestable : Dans le premier paragraphe, le texte est au passé simple, temps de récit, l'auteur ici tente de placer une fiction très proche de l'actualité historique dans un lieu et un temps différent afin de mieux exposer son opinion grâce à une certaine distance. Le pronom personnel « on » plutôt que « nous » permet à l'auteur de rapprocher la foule de Pingouinie à la foule française de manière plus efficace. Foule qui ne doute pas parce qu'ignorante

d'amour pour Mme de Marelle l. 27. Suzanne dans la Bible: proie facile pour les hommes sans scrupules. Mme de Marelle rajuste ses cheveux pour sortir (hypocrite mais irréprochable) ᦗ Aussi, ce qu’il voit sur le parvis de l’église, ce n’est pas une foule, c’est « le peuple de Paris » qui « le contemplait et l’enviait » = hyperbole. Dans un attroupement de personnes qui n’ont rien à faire, G Duroy voit le peuple de Paris tout entier. Ironie de Maupassant se dissimule de moins en moins derrière son héros

a placé l’intrigue lors de la Fête des Fous, fête qui pendant trois jours tournait en dérision la hiérarchie de l’Eglise catholique. Dans cet extrait situé au début du roman, l’auteur nous peint le portrait de Quasimodo dont la laideur fascine la foule. Comment l’écrivain parvient-il à intégrer dans une fresque historique un personnage mythifié, incarnant une figure de monstre qui annonce la suite de l’œuvre ? Tout d’abord, nous étudierons en quoi cet extrait est une reconstitution historique puis

du spectacle; la foule est présentée comme un public venu voir son idole; le narrateur utilise le lexique du spectacle avec les termes "assistants", "spectateurs"; cette foule est saisie dans son impatience : le verbe "se poussaient" traduit cette hâte d'admirer Du Roy, le narrateur insiste sur l'importance du nombre de gens venus; il a recours à la comparaison avec un fleuve pour montrer que le flot des gens ne s'arrête pas, ainsi que l'eau qui coule, dans l'expression "La foule coulait devant lui

plus la foule qui se piétine et l’empereur s’adressant à la foule montre la montée d’une certaine tension, révolte dans l’assemblée ; Etienne insiste sur les éclats de rire, et l’empereur épanoui pour mettre en valeur la cruauté du jugement de celui-ci et la vraie cause du nom martyr, apposé a Etienne le jeune. La foule presque en délire est impatiente de voir Etienne et emploie des mots durs. Le contexte présenté par Etienne dans les deux premiers paragraphes et les paroles de la foule rappellent