Fourmilière

Beaucoup (majoritairement des marocains) vivent dans des conditions laissant à désirées, notamment dans des bidonvilles néanmoins organisés et gérés par l’Administration. - L70 à 71 : « Un peu vers le Sud-Est, apparaît alors à nos yeux l’immense fourmilière des bidonvilles qui recouvre toute la périphérie Est de Casablanca. » - L73 à 76 : « Les baraques ne sont pas disposées en désordre, mais alignées, quadrillées dans le périmètre « prévu et autorisé ». Car l’Administration veille sur le bidonville

général est l’univers. Le narrateur est un personnage de l’histoire, car dans le chapitre 1, il dit : « il y avait un jeune homme de beaucoup d'esprit, que j'ai eu l'honneur de connaître dans le dernier voyage qu'il fit sur notre petite fourmilière. » L’auteur est omniscient, car il connaît les sentiments et les pensées des personnages : « Il ne fut que médiocrement affligé ». Les personnages sont : - Micromégas : il vient de l’étoile nommée Sirius, philosophe, géant de trente-deux

présentation que le philosophe Voltaire fait au « Sirius » est des hommes qui se battent (l.11/12) « de notre espèce, couverts de chapeaux, qui tuent cent mille autres animaux couverts d’un turban », et qui les assimilent à des fourmis, (l.22) « cette fourmilière d’assassins ridicules ». Les exagérations qui parcourent les textes participent à la dénonciation de la guerre. Pour cela, on à la « puanteur » (l.19) des chats morts dans Les Caractères, les termes « sont massacrés » (l.12) et « se font égorger

grenouilles s’identifient des vers 15 à 24, il s’agit de la curiosité, suivie d’une attitude très familière. Le narrateur met l’accent sur un comportement grégaire de « mouton de panurge » : « la première » v15, « une autre, une autre » v19, « une fourmilière » v20, « leur troupe » v21, « ce peuple ». Enfin, il met également en relief la contradiction des réactions populaires : effrayées par un roi qui ne bouge pas , les grenouillent en réclament un « qui se remue » v25 Le troisième régime : celui-ci

« instruments commodes » , Voltaire appelle ceux qui donne des ordres « des barbares sédentaire », utilise l'expression « cent mille fous de notre espèces, couverts de chapeaux, qui tuent cent mille autres animaux couverts d'un turban » , « cette fourmilière d’assassins ridicules » que nous savons faire que ça « c'est ainsi qu'on en use de temps immémorial » , la répétition de deux termes dans une même phrase « et presque aucun de ces animaux, qui s'égorgent mutuellement, n'a jamais vu l'animal

de l’appréciation normative lié à son métier. « Tant vos l’homme tant vos le métier, réciproquement tant vos le métier tant vos l’homme » Diderot 22) Travail contribution On peut comparer le fonctionnement de l’humanité avec celui d’une fourmilière dans le sens où il y a une perpétuelle activité qui existe dans ces deux organisations. Nous devons veiller chacun à notre petit place à la bonne marge de la société. Pour cela, nous devons contribué comme une fourmi ouvrière, à produire de manière

n’est pas mieux cerné: le présentatif «il y avait» reporte dans un passé évanescent le personnage présenté, par une seule qualité. Le dépaysement, déjà induit par l’éloignement astronomique, se confirme par la dépréciation de notre terre : «petite fourmilière». Le conteur intervient à la première personne, avec «l’honneur de connaître» soulignant  implicitement la qualité nobiliaire de ce dernier. C’est un voyageur avec «voyage», et l’ambigu «dernier», car c’est le premier et le dernier qu’il fait sur

s’ancre dans la pierre. Vue depuis les tours, Paris est un « beau tableau, un spectacle ». Hugo dit que l’on entendait « les coups de cloche, de marteau, les charrettes, et les gens qui parlaient ». La vie à Paris est très active, comme une fourmilière. Les tours sont le point le plus haut et le plus important, les cloches y retentissent pour régler la vie d’en bas, et l’on y monte pour se poster en tant que guetteur ou vigile de tout Paris. Ainsi ces deux tours sont des yeux immenses qui surveillent

entièrement guidés par l’instinct: se protéger est à la base de l’instinct de survie. Un tel travail n’a alors rien de volontaire, il est ainsi et simplement dicté par la nature et ce, sans doute depuis l’apparition de la vie. C’est ainsi que les fourmilières ont toujours été créée à la surface de la terre, et qu’il semble improbable qu’un jour, on en voit une au sommet d’un arbre : les fourmis ont acquis ce savoir-faire instinctivement, et la nature continuera de le leur donner de façon innée ainsi

apparaître le sens que je lui ai trouvé, celui probablement de toute une vie, ainsi que le chemin qui m'y a conduite. Je parlerai de la découverte et de la libération de soi, de la maturité qui nous per-met d'y accéder et de la solitude dans la fourmilière plus attirante et plus féconde à mes yeux que celle dans le nid familial. © Actes Sud, 1989 Nathalie Sarraute Enfance 1983 Folio ( incipit) Alors, tu vas vraiment faire ça ? « Évoquer tes souvenirs d'enfance»... Comme ces mots te gênent, tu