Fourrage

et la plus ordonnée de la contrée. La cour, immense, entourée de cinq rangs d'arbres magnifiques pour abriter contre le vent violent de la plaine les pommiers trapus et délicats, enfermait de longs bâtiments couverts en tuiles pour conserver les fourrages et les grains, de belles étables bâties en silex, des écuries pour trente chevaux, et une maison d'habitation en brique rouge, qui ressemblait à un petit château. Les fumiers étaient bien tenus ; les chiens de garde habitaient en des niches, un peuple

nombreuses applications : tout est bon dans le maïs ! Le maïs est aujourd’hui une ressource incontournable pour nourrir les animaux d’élevage, un véritable pilier de l’alimentation animale et un gage de qualité des viandes produites. Le maïs grain ou fourrage est apprécié par les éleveurs pour son apport énergétique élevé et son coût raisonnable. . 1. LE MILIEU NATUREL Une plante estival : semé entre avril-mai, le maïs fleurit en juillet-août et ses grains sont récoltés en octobre-novembre. La plante

production animale augmente globalement. L’offre de bovins dépasse celle de 2009, alimentée par des retards de sorties liés à l’épidémie de fièvre catarrhale ovine, et par une anticipation des sorties en été, en réponse à la sécheresse et au manque de fourrages. Les abattages d’agneaux se stabilisent, après des années de recul. La production porcine est en légère baisse. Celle de volaille se développe, tirée par la production de poulet. En parallèle, la production d’aliments composés se rétracte en 2010

chaîne trophique et retourne au milieu, le rechargeant en ressources nutritives. Agrosystème : flux de biomasse ouvert Dans un agrosystème productif, une partie de la biomasse est exportée (biomasse exportée) : bois, grains de céréale, paille, fourrages pour les animaux, lait, œufs, etc. Le cycle est ouvert. La biomasse exportée constitue une perte nette pour le système  appauvrissement. Conséquences : diminution de la biodiversité. réseaux trophiques simplifiés. Incidences de l’exportation de

culture de maïs se développe est beaucoup plus grande que quelque autre culture.[1] 0 100 200 Millions de tonnes 300 400 (FAO, 2014) Une consommation totale de 965,98 MDT est estimé, dont 593,85 MDT sont pour la consommation de fourrage, et 372,13 MDT pour la consommation humaine et industrielle. [3] Sur le marché international, on attend des exportations de l'ordre de 115,22 millions de tonnes, avec les États-Unis, le Brésil, l’ex-URSS, l’Ukraine et l’Argentine comme les

durable des ressources pastorales, du déficit fourrager et alimentaire, de la persistance des maladies animales, et du faible potentiel et/ou de la faible valorisation du potentiel génétique du cheptel. 2.1.1.1. Le déficit du bilan pastoral et alimentaire La faible productivité animale est en grande partie liée au déficit fourrager et nutritionnel qui affecte le cheptel, notamment pendant la saison sèche. Tous les travaux ont montré que le bilan fourrager est déficitaire pour les zones sahéliennes

luzerne sont des Fabacées, elles apportent des protéines à la ration et piègent l’azote atmosphérique dans le sol. Ce choix cultural assure une ration équilibrée pour les bovins. Représentant 81,25% de la SAU, le fourrage est la grande priorité des exploitants. Sont utilisés en fourrage : le foin des prairies et le sarrasin et sorgho en affouragement en vert. Cette année, le choix a été fait d’ajouter 50 ha de SFP afin d’assurer l’alimentation du futur troupeau laitier de 110 têtes mais également

Le projet s’inscrit dans trois volets : La construction d’infrastructures adaptées (confort, sécurité) L’achat des animaux à mettre en stabulation L’approvisionnement des aliments L’alimentation des ruminants sera assurée sur la base de fourrage (herbe fauchée, résidus de récoltes) complété par du tourteau et de la graine de coton et de la pierre à lécher. Celle de la volaille sera achetée à Ouagadougou et Bobo-Dioulasso et/ ou fabriquée sur place à base de céréales locales. Le suivi sanitaire

le loisir d'arpenter chaque jours des parcours boisés ou nous aurons semés diverses espèces végétales, afin qu'elle puisse puiser dans la nature tout ce dont elles ont besoin pour leur santé et leur bien être. Nous récolterons sur l'exploitation fourrage, quelques céréales et protéagineux qui complémenterons l'alimentation, afin qu'elles ai une nourriture saine et diminuer les intrants, à terme nous voulons faire sécher le foin en grange, qu'elle puissent profiter de toutes les qualités nutritives

la plus ordonnée de la contrée. La cour, immense, entourée de cinq rangs d'arbres magnifiques pour abriter contre le vent violent de la plaine les pommiers trapus et délicats, enfermait de longs bâtiments couverts en tuiles pour conserver les fourrages et les grains, de belles étables bâties en silex, des écuries pour trente chevaux, et une maison d'habitation en brique rouge, qui ressemblait à un petit château. Les fumiers étaient bien tenus; les chiens de garde habitaient en des niches, un