François Coty

Corse, et ressemble de plus en plus à un coup d’Etat en métropole. Le 28 mai, Pierre Pflimlin démissionne. De Gaulle présente un avantage = l’armée ne s’opposera jamais au Général => il va accepter de faire des concessions. Le 29 mai, René Coty va informer le Parlement par un message de ce qu’il lui propose = la présidence du Conseil au Général De Gaulle, « le plus illustre des français ». Il l’informe que s’il n’accepte pas cette investiture => il démissionnera à son tour. Il appelle

conciliabules, Pierre Pflimlin va remettre sa démission, bien qu'il n'ait pas été renversé par l'Assemblée Nationale, une nouvelle fois la Constitution est violée, mais il faut faire place au général de Gaulle. Le Président de la République, René Coty, appelle alors le général de Gaulle à former le gouvernement, et leste cette candidature d'un message au Parlement d'une constitutionnalité douteuse, puisque c’est un chantage à la démission au cas où l'investiture serait refusée » au plus illustre

maréchal Pétain et rend immédiatement applicables en France les actes édictés par le général De Gaulle. Une épuration démocratique va de 1944 à 1953 éliminer les « collaborateurs » des fonctions dirigeantes et/ou idéologiquement « sensibles ». René Coty, qui avait voté les pleins pouvoirs au maréchal Pétain et avait donc été déchu de ses droits civiques, est réhabilité par un jury d’honneur le 11 octobre 1945 (il sera ensuite élu du Centre national des indépendants et paysans, deviendra le deuxième

l'exécutif, deux têtes => bicéphale inégalitaire = primauté du Prdt du Csl (chef du gvt) sur Pdt de la République (chef de l'État), Pdt de la Rép est élu par le Parlement (cf IIIè Rép) et est irresponsable politiquement ( Vincent Auriol en 47 et René Coty en 53) Le Pdt du Csl est nommé par le Pdt et investit par l'AN (investiture = AN donne son approbation à la majorité absolue sur son programme), il choisit les ministres. Régime parlementaire déséquilibre au profit de l'AN (cf IIIè Rép). Les ministres

Résurrection. Il a fallu l'insurrection algérienne, déclenchée le 1er novembre 1954 et l'impuissance de la IVe République à y faire face, pour que de Gaulle revienne au pouvoir en mai 1958. En effet le 29 mai 1958, le président de la République, René Coty fait appel au « plus illustre des Français ». L'instabilité ministérielle, l'impuissance de la IVe République face à la question algérienne, déclenchée par une insurrection le 1er novembre 1954, conduisent le régime à une crise grave. Bon nombre de

avril 1958, où il est renversé à cause de son impuissance en Algérie. C'est la 22e crise ministérielle de la Quatrième République. Il ne paraît alors plus possible de constituer un gouvernement. Au bout d'un mois, le président de la République René Coty demande à Pierre Pflimlin de constituer un gouvernement. Le 13 mai 1958, celui-ci se présente à la chambre pour être investi. Le même jour, une émeute éclate à Alger. II. Des institutions inefficaces Chapeau introductif : Il conviendra donc

1958, la situation en France devient extrêmement tendue et la IVème république se bat avec les problèmes de décolonisation. Le 15 avril, l’assemblée nationale renverse le gouvernement de Félix Gaillard, c’est le début d’une crise ministérielle. René Coty (le président de la république) demande alors à Georges Bidault (partisan d’une politique de fermeté en Algérie) de constituer un gouvernement, celui-ci échoue, ensuite vient René Pleven qui abandonnera au bout de 15 jours. Le 8 mai Pierre Pflimlin

de nombreux Français, notamment ceux qui vivent dans les départements algériens, s'y opposent vivement. En mai 1958, les Français d'Algérie lancent une insurrection à Alger pour affirmer leurs positions. Le président de la République française, René Coty, craignant que cette crise politique déstabilise tout le pays, propose à Charles de Gaulle de devenir président du Conseil. Celui-ci accepte, à condition de pouvoir donner une nouvelle Constitution au pays. Celle-ci est rédigée au cours de l'été 1958

message pacifique ce qui justifie le ton provocateur de ce texte. Ainsi, Le poème de Boris Vian s’inscrit dans le répertoire des textes engagés , tout d’abord parce que c’est une lettre ouverte qui s’adresse au président de la république rené coty en lui fesant par de son refus de partir au combat puis parce qu’ il justifie ses idée par un récit de vie à valeur argumentative , il essai de mobiliser le plus de gens possible a ne pas aller au combat ce qui défend son idée pacifique.

soumission à l’hégémonie anglo-saxonne. De Gaulle détaille ici son ascension au pouvoir, après avoir posé les principes fondateurs de sa vision de la République à Bayeux le 16 juin 1946 et après que n’éclate la rébellion de l’armée en Algérie. René Coty remet volontiers au Général de Gaulle les rennes du pouvoir après que Pierre Pflimlin lui ai donné sa démission. L’outre-mer La conception que nous livre ici de Gaulle de la décolonisation est tout sauf brutale, elle est nuancée. Il insiste sur