François Mitterrand

Jacques Attali est un économiste, écrivain et haut fonctionnaire français, né le 1er novembre 1943 à Alger (alors en Algérie française). Conseiller spécial de François Mitterrand puis fondateur et premier président de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), il dirige actuellement PlaNet Finance et Attali & Associés. Il a présidé la Commission pour la libération de la croissance française. Il a publié de nombreux essais et romans. Aujourd'hui il est l'éditorialiste

droite est au pouvoir. Dominée par le parti gaulliste jusqu'en 1974, elle est alors équilibrée au centre par la naissance de l'UDF (1978). La gauche est marginalisée et tente de se structurer, car elle est éclatée en plusieurs partis. En 1971, François Mitterrand réussit à rassembler les socialistes dans un nouveau Parti socialiste. Cette dynamique se poursuit en 1972 avec la signature d'un programme commun entre le Parti socialiste et le Parti communiste, en prévision des élections législatives de 1973

police de Vichy et à ce titre directement responsable de la grande rafle du Vel’ d’Hiv, en juillet 1942, n’est condamné qu’à une peine d’indignité nationale, dont il est amnistié en 1958 (en entretenant longtemps des relations suivies avec François Mitterrand, que ce dernier n’a jamais accepté de regretter). Maurice Papon poursuivit, quant à lui, une belle carrière administrative et politique. C’est à partir des années 1960 que s’affirme une mémoire spécifiquement juive de la Shoah notamment avec

présidentielle. Au premier tour de celles-ci, le 5 décembre 1965, le général de Gaulle est mis en ballotage face à François Mitterrand. Au second tour, Mitterrand recueille 45,49% des voix et le général remporte les élections avec 54,50%. · L’élection présidentielle contribue à la polarisation des forces politiques. De la candidature de Jean Lecanuet naît le Centre démocrate, de celle de François Mitterrand naît la Fédération de la gauche démocrate et socialiste (FGDS), qui cherche à réunir la gauche non communiste

française ont collaborées avec l’Allemagne nazi tel que Renault. C’est ce qu’on appelle les nationalisations sanctions.   3ème vague : Elle commence en 1981 et se termine en 1982. Ces nationalisations sont inscrites dans le programme de François Mitterrand lors de sa réélection. Les entreprises concernées sont dans le secteur industriel comme l’entreprise Thomson et dans le secteur bancaire. Les privatisations en France : Définition : La privatisation est l’opération qui consiste à

le Président de la République n'a pas donné suite. Le projet[10] de François Mitterrand de 1984 permettait d'élargir le champ du référendum de l'article 11 pour l'étendre aux garanties fondamentales des libertés publiques. Le texte, ayant été voté par l'Assemblée nationale mais rejeté par le Sénat, le Président de la République n'a pas poursuivi cette première phase parlementaire de la procédure. Le projet de François Mitterrand permettait la saisine du Conseil constitutionnel par les citoyens dans

elle ne figurait pas parmi les 110 propositions de François Mitterrand en 1981. Pourtant, lorsque le Gouvernement Bérégovoy, en 1993, déposa un projet de réforme constitutionnelle sur le bureau du Sénat, l’abrogation de l’article 16 était prévue, mais la réforme n’a pas aboutit en raison du changement de majorité parlementaire. Enfin, de manière plus nuancée, et probablement plus réaliste, la "Commission Vedel" réunie par François Mitterrand en 1992, fit une intéressante proposition. En effet

solutions politiques classiques sont envisagées : gouvernement provisoire, élection présidentielle et législatives anticipées. Mais la concurrence entre la FGDS de François Mitterrand et le PCF de Waldeck Rochet les empêche de s'entendre.    Au lendemain du meeting de Charléty, la cacophonie et l'impuissance sont patentes à gauche. François Mitterrand s'étant proclamé candidat à la présidence de la République, étudiants et grévistes crient à la « récupération ». Le terrain est libre pour une riposte du pouvoir

cet ouvrage François Bazin, chef du service politique du « Nouvel Observateur », emmène le lecteur dans les coulisses des 15 années du règne mitterrandien. On y découvre avec délice, un monde politique fait de guerres internes et d’attaques en règle parfois à peine dissimulées. Dans ce panier de crabe, Jacques Pilhan fait presque figure de modérateur. Ce précurseur de la mise en scène médiatique du politique, s’efforça sans cesse durant ces quinze années d’abord aux cotés de Mitterrand et Rocard puis

Chaban-Delmas. Donc il leur a fallu VGE dans lequel ils n’avaient aucune confiance car VGE n’était pas Gaulliste mais libéral centriste beaucoup plus ouvert à l’Europe, la mondialisation que l’était les gaullistes. VGE est élu pas très facilement face à Mitterrand et on lui file dans les pâtes un 1er ministre destiné à le surveiller : Chirac en 1974. En même temps Chirac n’est pas forcément très fiable. Et Chirac va commencer à jouer un jeu assez différent de ce qui s’est joué jusque-là, il va plus facilement