Freud Descartes Liberté

ANALYSE PHILOSOPHIQUE DE LA NOTION DE LIBERTÉ Séance du 17/10/06 : LA LIBERTE EXTERIEURE Qu’est-ce que la liberté ? Cette question – question philosophique par excellence – semble néanmoins mal posée car la liberté se dit en de multiples sens dont certains paraissent incompatibles. Comment concilier la spontanéité et la maîtrise de soi ? L’autonomie et l’absence de contraintes ? Comment interpréter cette multiplicité des définitions ? La liberté est-elle indéfinissable ? Partons de la définition

juridique de l’homme libre par rapport à l’esclave. L’homme libre agit à sa guise, il n’a pas de maître. C’est donc l’absence de contraintes. Mais toute société est régie par des lois, des restrictions, des compromis, voire des sacrifices. Définir la liberté comme absence de contraintes, c’est en donné une définition factuelle qui se réfère à l’action. Mais qu’en est-il de la pensée ? Ne sommes-nous pas libres de penser, c’est-à-dire de concevoir des notions, des opinions qui nous sont propres, ce par

structure organique 3.5.1.2. La théorie des automates 2.2.2. Déterminisme environnementaliste 3.5.1.3. Skinner : béhaviorisme 3. Argument I : l’homme peut passer par-dessus la détermination 4.5. La raison : 3.1.1. Freud 4.2.2.1. Le milieu culturel et social dans lequel nous grandissons conditionne et modèle notre affectivité 4.2.2.2. L'être humain est un amalgame conflictuel de nature et de culture 4.2.2.3. L'homme

données de la conscience que je vais me définir. Je suis aussi un être pensant et j'ai conscience de ma pensée. la conscience réfléchie, qui depuis Descartes est censée avoir un privilège avec le cogito,  si il y a une identité entre conscience et être. D'apres Descartes : « Je suis un être pensant dont toute la nature est d'exister » Descarte va au dela de son raisonnement en impliquant, l'imagination. Parce que Je suis le seul à avoir la capacité de savoir qui je suis, il y a une distinction

entre les hommes ne dépendent que de leur décision d’écouter ou non cette voix, de lui porter ou non attention. La conscience morale est un instinct qui, cela est très important, ne nous conduit pas aveuglément mais est au contraire le signe de notre liberté. Elle n’est donc aucunement l’œuvre de la raison et de ses idées qui pour Rousseau viennent des choses extérieures mais du sentiment qui est « au-dedans de nous ». Kant poursuit les réflexions de Rousseau, auxquelles il a porté

Philosophie Problématique I : le Sujet La Conscience : Socrate : la seule chose que je sais, c’est que je ne sais pas Husserl : Tte conscience est conscience de quelque chose Freud : « Etre normal »= aimer et travailler Descartes : Je pense donc je suis= Cogito Ergo Sum (latin) L’inconscient : Spinoza : La liberté est la connaissance de la nécessité Hegel : du fait que la nécessité est connue, elle n’est plus la nécessité Platon : a constat que l’âme (l’esprit) ne sait pas tjr ce qu’elle

poser lui-même comme objet et acquérir une connaissance objective de lui-même, ou n’est-il pas condamné à une connaissance illusoire de lui, entravée par sa propre subjectivité ? La conscience de soi mène à la connaissance de soi : Descartes Point de départ de Descartes : conscience réflexive qui se pense elle-même. (Rappeler sa démarche de réflexion : je pense, donc j’existe en tant que chose pensante, c’est-à-dire conscience = j’ai conscience de moi, je peux me penser comme un objet). C’est

méthode pour vaincre nos préjugés ? II. Pour en nir avec les préjugés il faut adopter une méthode critique. A / La méthode du doute radical de Descartes permet de se rendre compte que la plupart de nos croyances ne sont pas fondée en raison. À la manière du panier de fruits qui contient des fruits pourris, il faut faire le tri dans nos croyances. Descartes propose la méthode suivante : s'il y a la moindre raison de douter d'une croyance, alors il faut suspendre son assentiment, ce qui revient à retirer

grâce à un pacte social d'idéologie sécuritaire. La multitude devient un seul peuple, et la révolte est impossible car « celui qui se plaint d'un tort commis par un souverain se plaint de ce dont il est lui-même l'auteur. » L'erreur selon Descartes On fait une erreur lorsque notre entendement, qui est imparfait, ne comprend pas quelque chose clairement. C'est en-dehors de notre volonté de faire une erreur ; mais cela arrive quand nous jugeons sur des préjugés. L'erreur est un signe de notre

Explication du texte de Freud « Une difficulté de la psychanalyse » Inconscient et liberté Dans son article « Une difficulté de la psychanalyse » publié en 1917, Freud rend compte des trois blessures narcissiques, l'amour-propre ou l'orgueil, qu'a subi l'humanité de la part de la recherche scientifique : tout d'abord la blessure cosmologique avec Copernic qui met en avant que l'homme n'est pas le centre de l'univers ; ensuite la blessure biologique avec Darwin qui révèle que l'homme est issu de