Freud Descartes Liberté

pensée (=> jugement) > pensée sur la pensée > pensée qui revient sur elle même > pensée qui se prend elle même pour objet. La réflexion requiert le LANGAGE. 2 types de consciences : CONSCIENCE PSHYCHOLOGIQUE : ⇨ philosophes classiques (ex : Descartes) -conscience immédiate : faculté de se rendre compte de quelque chose - conscience réflexive : faculté de se rendre compte que l’on se rend compte, faculté de réflexion - les philosophes classiques rejettent l’idée que l’animal soit pourvu d’un

problème, la question de la question, suis-je responsable de ce dont je ne suis pas conscient. L'inconscient est-il une excuse? Demandez-vous une excuse de quoi? Sinon d'une action qui a des conséquences, d'une action qui vient de l'homme, de sa liberté: il l'a décidée, il en assume la responsabilité. Si un autre (qui n'apparaît pas) a participé à la décision n'est-ce pas une excuse? (je ne l'ai pas fait exprès , je ne savais pas...). Sommes-nous responsables de nos passions? Voir le cours

Ma liberté est-elle absolue ? La liberté est un concept abstrait, à première vue, dont l'étymologie latine 'liber' sous-entend une absence de contrainte qui s'oppose au terme 'servus', désignant l'esclave. L'homme face à la société est conditionné à se soumettre aux lois en vigueur dans son pays mais il peut choisir d'exprimer sa liberté en passant outre les lois pour devenir un hors la loi. Pourtant, l'homme est-il totalement 'libre' de faire ce qu'il veut sans empiéter sur les valeurs fondamentales

dira qu’Œdipe n’est coupable parce que le mal n’existe que s’il y a volonté d’enfreindre la loi. Descartes distingue ainsi l’erreur de la faute. Comment savoir si le mal est commis délibérément ? Quelle différence existe-t-il entre le pervers, le méchant et le sadique ? Le méchant veut faire le mal, le sadique veut réduire l’autre à l’état d’objet, pas seulement pour le plaisir mais pour expulser la liberté de l’autre. Le méchant veut nuire à l’autre. La méchanceté est active et se donne à voir alors

trouve une réponse ferme et constante par le travail de Descartes. Il fonde le sujet. Au 17° on lui dispose des droits Au 18° on soupçonne ce sujet Au 19° on tue ce sujet. Le domaine anthropologique est le domaine ne plus emblématique de la post-modernité. Descartes affirme le je-suis parce que je pense. Au 19° siècle, on lui rétorquera « Je suis parce que le langage résonne en moi» Nietzsche « Je suis parce que Ça pense en moi » Freud « Je suis parce que les conditions socio-économiques

reconnus d'entre eux ont une origine qui nous ramène à notre condition d'être vivants. Tout désir a sa racine dans le corps. C'est ainsi que Freud montre que nos désirs ne sont que l'expression de pulsions sexuelles. Pour le comprendre, on doit remonter à la façon dont il explique le rêve et la maladie mentale. Le rêve a été traité longtemps comme incompréhensible. Freud propose une hypothèse qui permet de l'expliquer. Le rêve, malgré son apparente absurdité, a un sens. Mais ce sens est caché, parce qu'il

pour ainsi dire. D'autre part, être aussi proche, être moi précisément, me laisse dans une position peu confortable: il me faudrait être à la fois sujet connaissant et objet connu. Mieux, me poser comme objet, n'est­ce pas nier tout à la fois ma liberté fondamentale? En effet, ne puis­je pas précisément toujours autre de fait? Vouloir me capturer, ce serait vouloir saisir ce qui par essence précisément ne se saisit pas: n'y a­t­il pas une distance infinie entre le portrait figé et la réalité du visage

se voit exister dans une sorte de dédoublement de soi rendu possible par le miroir qu'est la conscience. 2 : Je suis un être pensant et j'ai conscience de ma pensée. → Référence : « Je suis un être pensant dont toute la nature est d'exister » ( Descartes ) 3 : Je suis moi et pas un autre, et telle est bien la certitude que me donne la conscience de soi. → Référence : « Grâce à l'unité de la conscience dans tous les changements qui peuvent lui survenir, l'homme est une seule et même personne » (

survivante à l’épreuve du doute radical - Descartes : le cogito : Prendre conscience de soi, c’est acquérir une connaissance de son existence et de notre faculté à apprendre pour connaître. - Pour Descartes : La pensée est une prise de conscience d’une chose réelle, d’une idée. Donc la conscience que nous avons de nous même est nécessairement vraie. En ce sens, elle rime avec connaissance. Ce que nous apprend la conscience est une source sûre. Chez Descartes, elle est le point de départ de toute connaissance

l'intérieur pour ainsi dire. D'autre part, être aussi proche, être moi précisément, me laisse dans une  position peu confortable: il me faudrait être à la fois  sujet connaissant et objet connu. Mieux, me  poser comme objet, n'est­ce pas nier tout à la fois ma liberté fondamentale? En effet, ne puis­je pas  précisément toujours autre de fait? Vouloir me capturer, ce serait vouloir saisir ce qui par essence  précisément ne se saisit pas: n'y a­t­il pas une distance infinie entre le portrait figé et la réalité du