Freud Et Sartre Liberte

La liberté est un fardeau On pourrait croire au non-sens, alors COMMENT ? La définition du fardeau  * Emprunté à l’arabe depuis le 13ème siècle, fardeau vient de farda : une demi-charge de chameau. * Le fardeau est imposé à l’animal comme charge extérieur par l’homme, qu’il lui coûte de porter mais qu’ils se doivent de porter car c’est ce à quoi les hommes les destinent. * Donc dire que la liberté est un fardeau pour l’homme, c’est dire que la liberté est imposée à l’homme par

les limites et différents degrés de la conscience humaine. Spontanément, certains tels Descartes pensent toujours pouvoir être maîtres de leurs actes, avoir une conscience permanente. Or est ensuite apparue la théorie de l’inconscient formulée par Freud admettant que celui-ci constitue la partie la plus importante de l’esprit, contrôlant ainsi la majeure partie de nos actes. Nous remarquons que les idées communes sont contradictoires, nous poussant donc à rechercher les limites de conscience de

d’un accord entre soi et autrui. Prendre conscience c’est alors un acte théorique et un choix. Elle symbolise la liberté et une certaine maturité. Le but étant l’identification du moi, synonyme de travail, activité, efforts. Aucun sujet ne peut se réduire à la connaissance qu’il a de soit, d’autrui et du monde. Ce que nous sommes sera attesté par ce que nous faisons. Sartre, « L’homme n’est rien d’autre que ce qu’il fait ». II- Prendre conscience c’est aussi agir Passage de la théorie

Que reste-t-il de la liberte ? Que reste-t-il de la liberte ? puisque la question se presente sous une forme historique, commencons pas une analyse de l'origine du terme. Liberte Historique. Initialement, la notion de liberté n'appartenait pas à la philosophie. Elle était purement pragmatique : les hommes et femmes etaient libres ou esclaves. Cette notion de liberte est restée d'usage courant jusqu'a nos jours. Comme notion opposée à la servitude et à l'esclavage, elle a eu son apothéose avec

Autrui est l’auxiliaire indispensable de la reconnaissance et de la construction de soi et du monde. Autrui est un médiateur. Le regard qu’autrui porte sur mes actions suffit pour que je reconnaisse mes erreurs : culpabilité et torture intérieure. SARTRE : 1905 – 1980, philosophe et écrivain français. Entré à l’Ecole normale supérieure en 1924, il est reçu premier à l’agrégation de philosophie en 1929, tandis que Simone de Beauvoir dont il a fait la connaissance peu de temps auparavant et qui deviendra

ANALYTIQUE Objet choisi : extrait de préface d’Andromaque (Racine) par Raymond Picard 1. Introduction 2.1. Objet philosophique et problème soulevé 2.2. Hypothèse 2. Les deux perspectives 3.3. Libre arbitre 2.1.1. Jean-Paul Sartre 3.2.2.1. l’existence précède l’essence 3.2.2.2. l’homme est condamné à être libre 2.1.2. L’indéterminisme 3.2.2. 3.2.3.3. La prévisibilité n’est pas la causalité 3.2.3.4. La théorie

conscience = lucidité = qualité de moi. La conscience est réflexible. Avoir conscience de soi c’est avoir une image de soi. «  Du seul fait que ma croyance est saisie comme telle, elle n’est déjà plus croyance elle est croyance troublée » = JP Sartre. Etre conscient c’est être constamment en changement. II/ Le sujet de la conscience 1) L’identité du sujet Avoir conscience de soi c’est être sujet de la conscience et son objet. De ce fait il y a une distance permanente entre moi et moi-même

| |-L'inconscient de Hartmann, sorte de principe animant la pensée, la vie, la matière: les individus n'en seraient que le visage. | |-Enfin, l'inconscient, hypothèse de Freud: à manier avec précaution puisque le sens du terme a évolué dans le mouvement même de | |la pensée du Docteur Freud: | |a) D'abord: un substantif, un nom désignant un système: (INCONSCIENT - PRECONSCIENT

Est-on toujours conscient et responsable de nos actes ? Le sujet présuppose qu’en effet le moi est maître de son corps et de son esprit. En effet d’une part, avoir des pensées propres à soi-même traduit notre liberté mais d’autre part quels sont les cas où l’inconscient prime sur la conscience. Néanmoins être responsable consiste aussi à reconnaître en « Moi » ce qui échappe à l’emprise de notre volonté. Afin de problématiser le sujet nous devons en définir les termes, « moi » est un personne en

la conscience des individus est déterminé par l'environnement dans lequel ils grandissent. Ainsi, un même individu vivant dans deux environnement opposés sera alors radicalement différent. Il y aurait un déterminisme social qui empiéterait sur la liberté de chacun de s’émanciper, de forger son opinion…C'est en partie ce que l'on observe aujourd'hui par la reproduction des opinions politiques des parents, des religions etc. La socialisation et l'environnement dans lequel nous naissons sont pour beaucoup