Freud La Liberté Individuelle

avions déclinées au sein de l’optique psychanalytique : le Moi, le Ça et le Surmoi. a) la dimension sociale du Moi : la persona Concernant le Moi, la partie consciente du psychisme, nous adopterons ici une perspective qui n’est plus celle de Freud, mais de son disciple dissident suisse : Carl Gustav Jung. Pour Jung, la partie consciente du psychisme contient une instance que l’on pourrait considérer comme un « moi social » : la persona. La « persona » désigne au départ le masque que portaient

discipline scientifique à partir de ses recherches sur les groupes * Ces recherches sur les groupes ont donné lieu très rapidement à la mise en œuvre de méthodologies et de dispositifs d'intervention spécifiques visant un objectif de changement individuel et/ou social Par exemple par Lewin et les « T-Groupes ». (Réunir des personnes d'horizons professionnels différents pour leurs apprendre les dynamiques de groupe pour transférer dans leurs propres organisations les savoirs nouvellement acquis.)

sépare ». Comme le diable qui est l’une des figures qui le symbolisent, le mal induit donc diverses formes d’aliénation. Français / Philosophie 2010-2011 – « Le mal » Introduction générale Page |3 A la fois unique et éclaté, subi ou commis, individuel ou collectif, le mal est presque impossible à définir en soi, ne serait-ce que parce qu’il est difficile de savoir à quel point l’homme est responsable du mal qu’il subit ou qu’il commet. Tout au plus peut-il être défini comme résultant d’une séparation

DOSSIER PÉDAGOGIQUE LE RÊVE Le rêve Ex pe rt PD F Ev al ua tio n Le rêve contient en lui tous les paradoxes. Grâce à lui nous atteignons à toutes les libertés, mais lorsqu’il se mue en cauchemar nous ne pouvons plus lui échapper. Bienfaiteur lorsqu’il nous permet de vivre l’interdit, il peut aussi retourner contre nous nos plus profondes angoisses. Et comme l’a écrit Valéry, « Le rêve est le phénomène que nous n’observons que pendant son absence », puisque par

est bien , ce qui est bon, ce qui est conforme à la loi morale. Légitime. Droits de l'H = droits individuels découlant de la nature humaine, inaliénables. Selon la DDHC de 1789 = «  la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression ». Trois étapes historiques, trois générations des droits de l'H= 1)les droits civils et politiques: droit de vote, liberté d'opinion, liberté d'action et de circulation, défense contre l'arbitraire du pouvoir judiciaire, refus de l'esclavage

aux psychothérapies en général. Oui, on les accuse souvent de manipulation du patient, d’être adaptatives ; mais la psychanalyse est souvent accusée de la même chose. Dans une certaine mesure, les psychothérapies manipulent inévitablement. Freud aussi a admis que la psychanalyse n’était pas complètement libre d’une certaine suggestion. Pour cela, toutes les thérapies sont, à un degré plus ou moins important, une arme idéologique qui peut être utilisée dans une ou une autre direction. Qu’elles

même comme nécessaire. La réalité nous apparait comme contingente car elle contredit notre propre nécessité, nous réduit à la contingence et à l’insignifiance. La forme radicale de cette réalité c’est la mort et tout ce qui la préfigure : ce que Freud appelle les blessures narcissiques. Nous portons en nous ce désir, cette représentation imaginaire de soi comme ayant un sens et une valeur, comme étant nécessaire ( on est pas réduit au besoin et à l’animalité, comme les animaux qui sont dans le

Il n'y a donc de science de l'inconscient qu'à partir des faits cons¬cients. L'inconscient, n'étant pas directement accessible, on ne peut en établir l'existence et en définir la nature qu'à partir de données accessibles à la conscience. Exemple : Freud fonde sa théorie de l'inconscient sur au moins trois grands groupes de faits accessibles à la conscience : - certains phénomènes pathologiques (= relatifs aux maladies) : les névroses . - certains phénomènes de la vie normale :

intérieures ; en effet, l’archéologie, l’alchimie, les philosophies occultes deviennent ses domaines d’étude. Hermann Hesse (1877-1962) parlera de Jung en disant qu’il voyait en lui une montagne immense, un extraordinaire génie. Il ajoute : Après Freud, aucun psychiatre de notre époque, n’a autant fait pour nous aider à pénétrer l’essence de la vie psychique. Jung ne se contente pas d’en étudier les mécanismes, il ne s’y intéresse pas comme le ferait un naturaliste mais en philosophe. (4) Etienne

répond pas. C’est que pour Platon, on ne veut pas sortir de la caverne, car on s’y sent en sécurité. Sortir serait éblouissant et aveuglant. Par-là, Platon veut montrer le pouvoir de séduction de l’illusion (annonce moderne de Nietzsche et Freud.) 3) Analyse Nous voyons que pour Platon, l’illusion est primitive. Elle est connaturelle à l’homme. Elle est l’origine et la cause de toute erreur. Une sorte de tromperie installée dès le départ et compromet notre accès à