Freud Le Déterminisme

géographiquement… ? Il semblerait que l’on soit déjà façonné par toute une série de déterminismes. Mais dans ce cas, notre manière d’être et d’agir nous serait imposée de l’extérieur, autrement dit nous ne serions pas responsables de ce que nous sommes et faisons. Être un sujet juridique et moral présuppose pourtant que nous prenions des décisions. La question est alors de savoir dans quelle mesure la liberté est compatible avec le déterminisme.  Le plan Il semble d’abord évident qu’on choisisse d’être celui qu’on

ébats et polémiques actuelles, puis qui s’enfonce peu à peu dans l’histoire intellectuelle sous-jacente, qui retrouve les sources anciennes de ces polémiques, et qui dégage de façon ordonnée les strates successives de ce que furent, déjà du temps de Freud, les réfutations opposées à la psychanalyse. On ne peut réduire cette démarche à une simple mise en perspective plus ou moins neutre des contestations récentes, qui aurait, pauvre but, l’ambition suspecte de les « relativiser », au service d’une psychanalyse

II- Oedipe dans la psychanalyse Sigmund Freud, né en 1856 et mort en 1939 est un médecin neurologue autrichien, fondateur de la psychanalyse. Médecin viennois, il rencontre plusieurs personnalités importantes pour le développement de la psychanalyse, dont il est le principal théoricien. Son amitié avec Wilhelm Fliess, sa collaboration avec Josef Breuer, l'influence de Jean-Martin Charcot (médecin français) et des théories sur l'hypnose de l'Ecole de la Salpêtrière (Paris) vont le conduire à repenser

la mort de l’art Chapitre 2 : Taine, l’art, écho de la société 1 . La thèse déterministe Biographie 2. Les notions primordiales La race Le milieu Le moment 3. critique du déterminisme Chapitre 3 : Nietzsche, exprimer la multiplicité de la vie 1. Biographie 2. Contre l’esprit de système 3. Le perspectivisme 4. La physiologie de l’art Chapitre 4 : Oscar Wilde, la

soiConscience distance non spatiale, fondement de mon identité elle est peut être ce qui échappe au temps tout en étant consciente du temps.Personne : unique, original, identité singulierIndividu : indivisible, interchangeable,Nous sommes déterminés par déterminisme                              J’ai changé                           -Altération de sa personnalité                              -Je suis toujours « j » (identité n’a pas changé)                           -LibertéChaque personne à son rapport au

Tout d'abord, il y a le libre arbitre. La liberté est un pouvoir mystérieux qui nous permet de choisir entre les motifs qui me sollicitent sans être déterminé par l'un d'eux. Puis, on trouve la liberté de spontanéité. Elle s'oppose non plus au déterminisme mais à la contrainte : c'est l'état de celui qui agit sans être contraint par une force extérieure. Enfin, on a la liberté du sage. C'est l'état de celui qui est délivré des passions et agit à la lumière de la raison. Le mot inconscient vient du

reculer la religion. On oppose donc la science et la religion, et l’on affirme que le croyant est un naïf ou un individu car il croit à des choses incroyables (marcher sur l’eau, changer l’eau en vin). Miracle : évènement qui défit la loi du déterminisme Les phénomènes relatés par les religions défient les lois de la nature et sont inaccessibles à l’expérience et la raison. Le terme croyance est ambigu, il désigne de façon générale l’adhésion de l’esprit humain à une thèse ou a une affirmation

Or n’avons-nous pas déjà succombé à un désir que nous avons regretté par la suite ? N’est-ce pas la preuve que contrairement à ce que l’on croyait, nous ne faisons pas toujours ce que nous voulons ? Diverses situations illustrent les déterminismes, © H A T I E R mêmes inconscients, auxquels sont soumis les hommes. L’illusion du libre arbitre résulte ainsi selon Spinoza d’un double phénomène : nous sommes conscients de nos actions, mais ignorants des causes qui nous déterminent. 1

« Ontologie du Secret »Pierre BoutangL’auteur :Normalien et agrégé de philosophie, journaliste et essayiste, Pierre Boutang (1916-1998) a terminé sa carrière professeur de métaphysique à la Sorbonne. Il est l’auteur d’une œuvre prolifique, qui compte des traductions de Platon, des commentaires des plus grands auteurs de la littérature mondiale (Shakespeare) et des ouvrages philosophiques. Pierre Boutang était royaliste et catholique.Source : 4ème de couverture du livre édition pufLe livre : L’ontologie

selon laquelle tout homme a un destin inévitable, si bien que la liberté est une illusion. L'argument paresseux, fataliste, rapporté par Cicéron, enseigne une passivité totale, puisqu'il est inutile d'essayer d'échapper à son destin. fatalisme, du déterminisme, par opposition au hasard, à la contingence. La métaphore de la "page blanche" compare la vie à un livre qu’on écrirait soit au fur et à mesure soit qui serait déjà écrit. Écrire sa vie, qu’est-ce que cela signifie ? La page blanche, ce sont nos