Freud Le Déterminisme

indépendamment de toutes contraintes, et d’abord de toute contrainte extérieure : ce que je veux quand je le veux. C’est la liberté d’action. Mais cette liberté n’existe pas, elle n’est jamais absolue : les autres et les lois y veillent. Le déterminisme, l’éducation, les normes sociales, et plus généralement tout ce qui nous est inculqué du point de vue de nos comportements, nous empêchent d’être totalement libre. Et nos choix, restant soumis à ce que nous sommes, ne peuvent être absolument

conscience parle, c’est la société qui parle en nous. » A travers notre conscience individuelle, nous obéissons aux règles d’une société qui nous dépasse et nous forme. - de la menace de châtiment qu’est pour l’enfant la perte de l’amour de ses parents : Freud, enfin, voit dans le Surmoi, c’est-à-dire ce qui, dans notre psychisme, est l’intériorisation forcée, imposée par la menace du châtiment suprême qu’est pour l’enfant la perte de l’amour de ses parents, des exigences et des interdits des éducateurs

dire que l'Homme ne maîtrise pas la totalité de ses propres paroles. Mais alors, si ce n'est pas le « je » lui-même qui est à l'origine des paroles, comment peut-on nommer cette force supérieure au « je » et à la conscience humaine ? Selon Freud, l'esprit humain est composé de trois instances: la conscience (qui concerne la réalité), l'Inconscient (qui est le siège des pulsions) et le préconscient (qui regroupe tout ce qui n'a pas été refoulé dans l'inconscient). La découverte de l'inconscient

Autrement dit si nous ne sommes pas libres de former nos désirs ou nos impulsions inconscientes, ne nous appartient-il pas en revanche de les réaliser dans l’action ? Par ailleurs, l’inconscient dont nous subissons l’emprise, est-il une forme de déterminisme ou bien le produit d’un refoulement que la conscience provoque en jugeant les faits inacceptables ? Si tel est le cas n’est-elle pas responsable de se laisser déterminer par ce qu’elle a choisi de refouler ? Si l’homme semble être responsable

lois de la physique ; tandis que l’âme est une chose pesante ou une substance pesante mais l’âme est aussi signe de liberté. Dans la phrase suivante il applique le pronom « Ca » pour remplacer le corps la machine soumise. Le ça est impersonnel. Freud est opposé à Sartre, pour lui le ça est constitué d’une partie innée, héréditaire (les pulsions naturelles) et d’une partie acquise (les pulsions refoulées). Les pulsions refoulées c’est le « je » (il sollicite 3 niveaux : le moi, le surmoi et le

Perfectionnistes : fondé sur le principe que l’homme a un potentiel qu’il doit utiliser. Il doit se perfectionner. On vise un changement d’existence. Mélioristes : on cherche à réconcilier l’homme avec ce qu’il est. On ne crée pas un être nouveau. Ex : Freud, Jung, Adler Selon la durée Longues : il faut prendre son temps pour les personnes ayant subi un long conflit. Brève : il s’git de changer rapidement, ici et maintenant Règles d’éthiques Directives : pas de neutralité, on dit au patient ce qu’il

vision nexiste que très rarement. Daprès les nouvelles théories scientifiques la fameuse loi universelle de la nature jamais précisément définie semble admettre le hasard et donc aussi la liberté dun point de vue matérialiste en sopposant au déterminisme qui a été longtemps lié au ****méterialisme****. Il faut prendre en compte la question si dans cette construction de théories il ****faut autrui pour se connaître bien quau moins une partie du moi est en soi. Pourtant ces théories ne voient pas

regrettera par la suite. Le désir vient au sujet d’une manière que celui-ci ne maîtrise pas : il n’est donc pas responsable de certains mouvements qu’il tend à accomplir, soit en vertu de son histoire, soit en vertu de sa nature même d’être humain. Freud expose ainsi la manière dont tout désir dépend en définitive de nos expériences passées, qui ont façonné notre libido en particulier au cours d’une histoire infantile qui nous détermine encore à l’âge adulte, jusque dans nos désirs les plus élevés

Acte spécifique de l’humanité = la pensée, recul entre soi et soi-mm, nous dégage de tte immédiateté, impossible prégnance du corps, interdit l’inconscience, distingue hme/nature - Double existence de l’hme : matérielle, phénoménale (facticité, déterminisme physique) Nouménale : pour soi (Hegel)= réflexivité, être doté d’esprit, capacité d’introduire entre lui et tte autre chose la pensée (Pascal) ➢ Analyse du pouvoir de dire JE (Kant) - représentation de l’hme à lui-mm (dématérialisation

autoritaire. Le pouvoir de l’Église commence à se réduire surtout dans le Monde Moderne ou l’autorité de la tradition religieuse est mise en cause par les progrès scientifique, de l’industrialisation. Il y a une vision rationnelle du monde basée sur le déterminisme. Pour cette raison on se posera la question : Comment l’Église catholique fait face aux changements du Monde moderne (1850-1939) en Europe ? Pour répondre à cette problématique on présentera quels sont les changements du Monde moderne et notamment