Freud Le Déterminisme

qui est inaccessible au sujet. La question de l'origine est déterminante mais elle n'évite pas le sujet de se positionner. Il part d’une responsabilité, dans la manière dont il va répondre par rapport à ce qui lui est transmis. On est pas dans un déterminisme. (au sens où le sujet n'aurait pas une possibilité d’en faire qqch.) Marie-cécile : parle d’une métaphore : jeu de carte ? Le temps social prend du sens, parce qu’elle nous a transmis/ interprété. (à partir du temps familial.) Le temps social

Sigmund Freud Aller à : Navigation, rechercher « Freud » redirige ici. Pour les autres significations, voir Freud (homonymie). Sigmund Freud Sigmund Freud par Max Halberstadt en 1922 Biographie Naissance 6 mai 1856 à Freiberg Empire d’Autriche Décès 23 septembre 1939 (à 83 ans) à Londres Royaume-Uni Nationalité Autrichienne Vie universitaire Formation Médecine (neurologie) Titres Professeur, Privat-docent

conscience (seconde ou réfléchie) nous offre : De faire un retour sur soi, elle devient conscience de soi. De nous aborder comme un sujet, capable de penser le rapport aux autres et au monde. Capable, plus ou moins, car là se pose toute la question du déterminisme et de la liberté. De pressentir la question du sentiment de l’existence, et de la pensée de la mort. Conscience de soi, des autres, du monde ; la conscience humaine devient conscience de sa condition d’homme. Pascal, dans ses Pensées, écrira :

son argumentation une phrase d'Erckmann-Chatrian : « Le hasard, qu'est-ce, après tout, sinon l'effet d'une cause qui nous échappe? ». Ce type de récit privilégie le pan-déterminisme, c'est-à-dire que tout doit avoir une cause; le recours au surnaturel est habituellement un bon moyen de pouvoir tout expliquer. Le pan-déterminisme se rencontre chez Nerval, dans Aurélia notamment. Rien n'est l'effet du hasard : l'heure à laquelle on est né, le nom de la chambre, tout est chargé de sens. On trouve généralement

morales, etc.). Le déterminisme analyse tous les phénomènes d’une série en les réduisant à des lois, à des relations de cause à effet. Il paraît donc incompatible avec la liberté, qui consiste à être soi-même la cause de ses actes. L’homme apparaît donc au sein d’un déterminisme, ce qui prend à revers le conception courante qui fait de la liberté l’essence de l’homme. L’homme est-il vraiment libre, ou bien ce que nous appelons la liberté n’est-elle que notre refus d’un déterminisme que nous n’admettons

identité. Or je peux modifier mes pensées et me concevoir, je peux agir sur moi. Il en résulte d’emblée que l’Homme sujet dispose d’un libre arbitre, d’une volonté propre, qu’il peut exercer. je peux donc faire autre chose que d’obéir à des déterminismes instinctifs, naturels à l’instar de l’animal. J’ai la capacité d’évaluer avec raison une situation, et d’après l’identité morale que je me suis conférée, de prendre consciemment une décision en en mesurant les conséquences . J’ai la possibilité

causes qui produit un effet qui peut être déterminé. Peut-on dire que c’est notre volonté ? Si c’est le cas, cela signifie que la plupart de nos actes dépendent plus de notre inconscient que de notre volonté consciente. Freud défend cette affirmation : pour lui ce déterminisme inconscient « exclut toute forme de hasard et de non-sens ». Il en donne d’ailleurs de multiples illustrations dans toute son œuvre, et particulièrement dans Psychopathologie de la vie quotidienne où il affirme que tous les

postule un déterminisme de la nature cad que les lois de la nature sont de types mathématique, on peut les écrire sous forme de formule, fonction, etc.. les mêmes causes entraînent les mêmes effets. La physique contemporaine modère un peut tout cela, on admet de nos jours qu’il existe de l’imprévisible dans la nature, no par par manque de connaissance mais par hasard; l’irrationnelle et toujours une notion refusée. - par rapport au comportement humain voir le chapitre de l’inconscient de Freud - métaphysique

moins cher c'est logique, mais s’il choisit le plus cher ce n'est pas logique il faut savoir pourquoi. La sociologie s'occupe de ce qui n'est pas logique. Un troupeau : Chez les animaux le comportement grégaire est inné, fixé par l'instinct (le déterminisme : l'absence de choix) Jean-Jacques Rousseau nous fait remarquer, quand un herbivore meurt de fin, si on lui apporte un tas de viande il pourrait le manger mais il ne le fera pas. Les animaux n'ont absolument pas le choix de leur mode de vie. Une

scientificité………………………………………… 2 A. Qu’est ce qu’une science ? Qu’est ce que la psychanalyse ? Et pour Freud ?...........2 a. Qu’est ce qu’une science ? ………………………………………………….2 b. Qu’est ce que la psychanalyse ? Et pour Freud ?............................................3 B. Epistémologie et Herméneutique…………………………………………………...3 C. La découverte de Freud : impact sur l’humanité et autres résistances………...……6 2. Formation du concept de psychanalyse………………………………………