Freud Pourquoi La Guerre

Intro : L’illusion se présente comme un mal car elle égare les hommes. Elle empêche la connaissance humaine et elle peut se révéler dangereuse. Nous pensons aux illusions politiques, religieuses qui conduisent à la violence et aux guerres. Cependant, on peut contester cette condamnation de l’illusion. L’illusion semble avoir une utilité. Nous avons besoin de nous faire des illusions sur nous-même pour vivre. De plus nous pouvons constater que les hommes recherchent l’illusion afin de s’évader

propres pulsions ( ce que Freud appelle le ça). Ainsi la culture a tendance à normaliser les comportements. SAUT DE DEUX LIGNES – PASSAGE à LA DEUXIÈME PARTIE Quand on possède une vertu, une vraie vertu, une vertu complète (non une petite tendance à l’avoir), on est victime de cette vertu ! Dans la deuxième partie du texte, Nietzsche affirme alors que l’être humain normalisé socialement est une « victime ». Du point de vue de la théorie de l’inconscient de Freud, il semble parler ici

affaires de dopage chez les sportifs Incertitude liée au Cadre de Référence • La complexité de la notion de décision  apparaît lors de sa justification : analyse  concrète des mécanismes décisionnels. Dans  cette situation précise, je suis en mesure  d’indiquer pourquoi je fais ceci et pas autre  chose, et je peux répondre aux critiques • La décision est un processus hétérogène plan • • Notion d’objectivité Incertitude de la décision – Scientifique – Liée au cadre de référence • Dimension éthique de la décision

matière. Page 4 sur 25 Les limites de l’ouvrage : Cependant l’auteur ne mentionne pas les précurseurs de la psychologie collective tels que Gustave Le Bon ou Jean-Gabriel de Tarde, de même qu’il n’aborde que superficiellement les travaux tardifs de Freud qui sur le plan collectif tentait d’expliquer des phénomènes aussi importants que le fascisme. L’auteur ne traite également que peu de l’antithèse de la pensée groupale, c’est dire de l’approche analytique individuelle de l’organisation, il est vrai

éloigne du réel, de ses lois contraignantes et de sa banalité. Il nous extrait de notre quotidien ennuyeux et frustrant où nos désirs ne peuvent être assouvis. L’art crée ainsi un monde où tous nos désirs sont satisfaits et l’on comprend donc pourquoi Freud compare l’artiste au névrosé. En effet tous deux sont frustrés par le réel et cherchent à le fuir en inventant un monde merveilleux où ils puissent vivre intensément, l’un par le biais de l’art et l’autre par celui de ses désirs. Ainsi l’art est

l'essentiel d'articles de la presse écrite sur les religions, Dieu ou les croyances. Classement par thème, par ordre chronologique ou par périodique. Les dangers du communautarisme : repli identitaire, intégrisme, fondamentalisme, terrorisme... Pourquoi l'homme croit-il aussi facilement : Les véritables raisons du besoin de croire chez l'homme. Religion et philosophie par Marc Anglaret, professeur de philosophie. Une philosophie peut-elle être religieuse ou une religion peut-elle être philosophique

professeur de neurologie et de psychiatrie. Il fut le fondateur d’une nouvelle thérapie, appelée : logothérapie. Celle-ci est focalisée sur le besoin de sens. Il a beaucoup correspondu avec Freud, un autre philosophe. Il a travaillé dans le pavillon des femmes suicidaires à l’hôpital de Vienne. Durant la 2ème guerre mondiale, il risque sa vie en refusant d’euthanasier des malades mentaux. Il fut envoyé au camps de concentration de Theresienstadt puis Auschwitz, Kaufering et enfin Türkheim. Là, il a observé

tel-00690335, version 1 - 23 Apr 2012 RÉSUMÉ tel-00690335, version 1 - 23 Apr 2012 Pour Freud et Lacan, la psychose n'est pas un état déficitaire. Le texte de Schreber demeure un traité paradigmatique, aujourd'hui encore inégalé. Le délire paranoïaque est une tentative de guérison pour le premier. Un essai de rigueur pour le second. Reste la question épineuse du transfert psychotique. Freud ne croit pas le psychotique capable de transfert analytique, Lacan pense au début que le transfert

comportemental (goût, dégoût par ex). Ex : Dans une salle de personnes inconnues nous repérons celle qui nous est sympathique, pourquoi ? Comme si au-delà de notre conscience nous reconnaissons des traits qui désigne l’autre comme aimable ou non. Seule l’émotion nous dit qu’il se passe quelque chose et qui nous ramène à cette part de nous-même que nous ne connaissons pas. Freud fait une expérience car il a repéré que les représentations mentales s’organisent en un ensemble de lois. Il demande à ses

plongé ses bras cherchant à saisir le cou visible au milieu des eaux et combien de fois il ne se saisit pas dans celles-ci ! Ce qu’il voit, il ne sait pas ; mais il est brûlé par ce qu’il voit et la même erreur qui le trompe, anime ses yeux. Crédule, pourquoi cherches-tu en vain à saisir une ombre fugitive ? Ce que tu cherches n’est nulle part ; ce que tu aimes, retourne-toi, tu le perdras! C’est l’ombre du reflet de ton portrait que tu discernes. Celle-là n’a rien de soi ; avec toi elle est venue et