Freud Préjugé

légitimée en tant que telle. Il veut une « sociologie objective, spécifique et méthodique », « objective » pour être considérée comme une science, « spécifique » pour la différenciée des autres sciences, « méthodique » pour éviter toute subjectivité, préjugé, et cela sera permis par le postulat énoncé précédemment. Durkheim oriente donc la sociologie autour du fait social et non de l’action social, comme le fait Weber. La société agit donc sur nous, il faut donc considérer les faits sociaux en eux-mêmes

1. Quand la garantie objective d'une opinion est très faible, ou nulle, bien que celui qui l'affirme puisse éprouver une conviction très forte du contraire, « croyance » est simplement synonyme d'opinion fausse ou douteuse, et se décline comme préjugé, illusion, enchantement ou superstition. Ainsi les idées entretenues au sujet de phénomènes surnaturels ou magiques, comme des guérisons miraculeuses, des pouvoirs extralucides ou de sorcellerie, ou encore au sujet d'êtres ou d'événements merveilleux

automatique qui peut nous écarter de l'essentiel suppose acquise l'idée que "trop" d'ouverture pourrait nuire. Or il n'est aucune certitude, sauf celles des dogmatiques, sur ce sujet. Une doxa que nous refuserions d'interroger, un de ces nouveaux préjugés qui forment la trame de cette manière comme- il- faut- de penser que nous avons intégré en nous sans nous en rendre compte nous conduit sans doute à une telle recherche d'un "milieu". En conséquence, chercher le vrai ici n'est ce pas précisément

|sont bâties en opposition (« Au contraire », conséquemment à l’analyse des opinions, et mettent en | | |valeur la méthode adéquate de « la recherche de la vérité » : il s’agit de se débarrasser des préjugés | | |qui nous encombrent l’esprit. Cette dernière partie complète la thèse. | | |

mettre d’accord ou pas sur la chose. Mais, que l’on soit d’accord ou pas nous restons pour la plupart du temps toujours sur notre position de départ. Comme le disait Spinoza, « il faut prendre conscience de ce qui nous détermine à penser : nos préjugés ou idées reçues liés à l’éducation, les opinions communes, les opinions portées par les dirigeants qui influencent le peuple ». Il faut savoir aussi que nous venons tous d’un milieu différent : notre religion, notre éducation, nos conditions de

faut accepter que l'on va faire des erreurs et prendre du recul p/r à celle-ci → utiliser les critiques pour devenir plus fort. Il faut connaître les participants et donner sa chance à chacun → impartialité → ne pas voir de préjugé sauf positif, c'est à dire des préjugés qui permettent d'accroître une concentration, une analyse etc...

sujet des préjugés, démontre un esprit ouvert qui offre une opportunité de mailler ces préconception. Apres avoir forme une équipe avec un nain de Saturne, les deux êtres travers l'univers pour but d'éducation. Les deux voyageur géant de plusieurs millier de pied de haut se trouve sur la Terre face a des scolaires humaine qui réfute le préjugé du Saturnien. "Attribuer l'équivalent d'une âme a cette espèce, cela lui paraissait absurde" (chapitre 6). Dans ce passage, Voltaire exprime la préjugé dangereuse

clarté. Aussi l’indubitabilité n’est pas une propriété de l’évidence. Car l’évidence n’est pas le seul facteur de l’indubitabilité. Prendre pour équivalentes les notions d’évidence et d’indubitabilité, c’est condamner à déclarer évident n’importe quel préjugé pourvu qu’il soit assez invétéré. De même inversement, toute évidence n’est pas indubitable. Certaines le sont : ce sont des contraignantes. Mais certaines ne le sont pas. Elles exigent l’assentiment sans suffire à le déterminer. Ainsi l’indubitabilité

sienne. Au contact de la réalité de la vie des indigènes qu'il est amené à rencontrer, le touriste parviendrait ainsi à ouvrir son esprit à d'autres façons de vivre et de penser: ce contact permettrait donc de faire disparaître notamment les préjugés racistes ou xénophobes, qui sont souvent révélateurs d'une totale ignorance et d'une méconnaisssance de la nature réelle des gens qu'on rejette. Bref, le tourisme serait un facteur de paix et de communication particulièrement appréciable

nature des vérités logico-mathématiques. En conséquence, de tout ce que nos sources de connaissance nous communiquent, aucun savoir n’est indubitable. De sorte que l’ensemble de nos connaissances ne constituerait qu’un pseudo-savoir, un ensemble de préjugés, c’est-à-dire un ensemble d’opinions incertaines. C’est donc exactement parce que nos connaissances sont mal assurées qu’il faut douter de tout. Telle est la cause antécédente du doute hégémonique. Dès lors, cette incertitude de notre savoir nous