Friedrich Nietzsche

En abordant l’examen d’une telle éventualité, nous nous heurtons à une assertion maintes fois entendue, mais si surprenante qu’il y a lieu de nous y arrêter. D’après elle, c’est ce que nous appelons notre civilisation qu’il convient de rendre responsable en grande partie de notre misère ; et de l’abandonner pour revenir à l’état primitif nous assurerait une somme bien plus grande de bonheur. Je déclare cette assertion surprenante parce qu’il est malgré tout certain — quelle que soit la définition

Nietzsche : L’homme supérieur 1) Non. << [...] Devant Dieu- nous sommes tous égaux! Devant Dieu!- Mais il est mort à présent, ce dieu. Or devant la populace point ne voulons être égaux. Vous, les hommes supérieurs, fuyez la place publique! >> 2) Nietzsche ne parle pas de la mort de Dieu au sens figuré, il fait plutôt une image abstraite de la libération de l’esprit humain depuis sa mort. Selon Nietzsche, l’humain a tué Dieu en abandonnant les valeurs de la religion et l’idée

nombreuses controverses. Il est vrai qu’à première vue, le récit peut sembler froid, sans émotions. Machiavel se contente en effet de dresser le portrait du prince, dans un récit rythmé, « d’une bonne humeur endiablée » (pour reprendre les termes de Nietzsche). Or ce portrait semble s’opposer à toute morale politique. Nous comprenons donc tout à fait les nombreuses critiques qui ont été émises. Cependant malgré une apparente simplicité (le style d’écriture, littérairement parfait, reste simple une

Jean Anouilh est un écrivain et dramaturge français. Il est né en 1910 et est mort en 1987. Son œuvre théâtrale a commencé en 1932 qui est constituée de nombreuses comédies comme sa pièce la plus célèbre , Antigone. Il a également adapté plusieurs pièces d’auteurs étrangers, Shakespeare en particulier. Il a aussi mis en scène certaines de ses œuvres. Antigone est inspirée du mythe antique où le personnage d’Antigone est l’allégorie de la Résistance s’opposant aux lois édictées par Créon. Elle refuse

d'être vécue, c'est répondre à la question fondamentale de la philosophie. Le reste, si le monde a trois dimensions, si l'esprit a neuf ou douze catégories, vient ensuite. Ce sont des jeux ; il faut d'abord répondre. Et s'il est vrai, comme le veut Nietzsche, qu'un philosophe, pour être estimable, doive prêcher d'exemple, on saisit l'importance de cette réponse, puisqu'elle va précéder le geste définitif. Ce sont là des évidences sensibles au cœur, mais qu'il faut approfondir pour les rendre claires

cogito ergo sum de descartes > que la pensée est confond à la conscience la definition de la pensée selon kant puis je developpe sur conscience et inconscient Les philosophies de Schopenhauer et de Bergson, comme d’ailleurs celle de Nietzsche, parlent d’une réalité qui se trouverait derrière des apparences utiles à la pratique. Dans les trois cas, cette réalité est désignée en termes de volonté. On aurait donc affaire, chez Schopenhauer et chez Bergson, à deux « ontologies de la volonté

des autres sans être trop près pour ne pas se faire mal -> il faut savoir trouver la juste distance, i.e. trouver les règles de politesse permettant de communiquer, une distance moyenne pour une vie moyenne, pas trop froid mais pas si chaud. Nietzsche admire beaucoup cette fable car il y voit une fable sur la médiocrité de la vie en troupeau qui est un renoncement pour des êtres incapables de vivre seuls. Freud, en hommage à Schopenhauer, a eu toute sa vie un dessous de table en porc épic.

en attendre l'effet à part eux : c'est cela précisément que les nature moindres n'arrivent absolument pas à obtenir d'elles-mêmes ! Chasser l'ennui de n'importe quelle façon, cela est vulgaire, tout comme le travail sans plaisir est vulgaire. NIETZSCHE, Le gai savoir

indigne d’un homme libre, c’est pourquoi elle est réservée aux esclaves. C. Le travail comme « labeur du matin au soir » est  « la meilleure des polices » pour Nietzsche dans Aurore : il épuise la force nerveuse, tue l’initiative individuelle et réduit les vues de l’homme à « un but mesquin » Transition : ce que condamne Nietzsche, c’est une certaine forme de travail, celle de la révolution industrielle, où les machines, la logique quantitative de la production et la consommation triomphent.

son ouvrage intitulé Aurore, Nietzsche présente l'action du travail sur l'homme dans la société moderne. Il pose précisément la question de savoir si le travail n'est pas qu'un conditionnement de l'homme pour la société moderne. Nietzsche développe la thèse selon laquelle l'homme, par le travail, devient « esclave » de la société, il perd des facultés, des libertés, et il devient une personne vulnérable. Dans une première partie de son texte, de la ligne 1 à 3, Nietzsche nous montre que la société