Front Populaire Daladier Blum Thorez

surtout les seigneuries sont montrées du doigt. C’est le fruit d’un enchainement d’évènements qui ont conduit à une radicalisation du Tiers Etat et d’une partie de la noblesse. Ce n’est pas un complot. L’assemblée nationale va avoir le soutient populaire du peuple de Paris.C’est la dynamique d’évènements qui va s’en suivre qui va libérer un certain nombre de forces dont la DDHC. On abolit les distinctions faites sur la naissance et la fortune, c’est la reconnaissance des libertés individuelles.

insurgés sont des petits patrons, des militaires, des anciens révolutionnaires, soutenus par la population, rejoint par les étudiants. Comment expliquer que sa ait marché ? C’est la crise économique, chômage, mauvaise récolte, ainsi qu’un ressentiment populaire à l’égard du roi, imposé par les puissances étrangère. Dans cette révolution va se révéler une division entre les aspirations du peuple (contre le roi) et des élites (qui cherchent une situation modéré, changer le roi) Louis Philippe devient roi

Les libéraux et les républicains modérés, qui sont très méfiants des excès, vont accepter de facto la reconnaissance et la proclamation de la république car ils espèrent éviter que les révolutionnaires prennent en main le pouvoir. Un mouvement populaire à Paris exige qu’on donne des armes aux citoyens pour chasser les Prussiens. Les libéraux et bonapartistes veulent la fin de la guerre pour éviter la ruine du pays. Ils vont faire semblant de résister à l’envahisseur, tout en négociant en même temps

mais pour faire disparaître les anarcho-syndicalistes et la gauche non communiste. LE REICH ÉVITE UNE GUERRE SUR DEUX FRONTS Nouvelle reculade des démocraties occidentales: l'affaire de Munich. Après avoir croqué l'Autriche, Hitler se tourne vers la Tchécoslovaquie. Celle-ci est démembrée, sans qu'un coup de feu ne soit tiré, lors des accords de Munich entre Daladier, Chamberlain et Hitler le 30 septembre 1938. Les Anglais et les Français signent en plus des accords de non-agression avec

opinion résignée à la guerre: 10 b) Mais il reste des forces hostiles à la guerre 11 les münichois: 11 la gauche non coco: 12 Le Parti communiste, 12 c) l'absence d'Union sacrée:. 12 2) la « drôle de guerre » ( sept 39- mai 40): 13 a) sur le front , une inaction lourde de conséquence: 13 b) A l'arrière, l'offensive anticommuniste: 15 c) divisions politiques: 16 d) démoralisation des Français. 17 2) la débâcle ( mai 40-juin 40): 18 3) L'exode: 20 4). L'armistice (22 juin 1940): 22 a

plusieurs angles : - Un instrument de pouvoir sur la jeunesse (le sport instrumentalise la jeunesse) - Un objet de consommation de masse (offres sportives) - Un loisir populaire ou élitiste - Un symbole dans le combat pour l’hygiène et la santé - Un support médiatique et publicitaire - Une activité spectacle prétexte aux rassemblements populaires (stades) - Un vecteur de découvertes et de progrès technologiques (évolution et sophistication du matériel sportif). III. Où en est la recherche actuelle en matière

règlement des conflits collectifs. Chapitre III – une consolidation inaboutie1914 - 1944 | Section 1 – la guerre de 1914-1918 et ses conséquences immédiates A – la période de guerre Période de grand bouleversement économique : les soldats au front laissent ainsi des usines pratiquement sans personnel. Des ouvriers qualifiés sont donc remplacé par des femmes. L’économie est orientée vers la guerre. L’Etat va jouer un rôle sur le plan économique qu’il n’avait jamais eu auparavant. De plus, l’Etat

guerre en 1886, qui incarne ce désir. Boulanger prend très rapidement des mesures disciplinaires contre des officiers monarchistes, il renvoie de l'armée les princes d'Orléans. Cela satisfait les républicains. Très rapidement, Boulanger se montre populaire dans les familles militaires, et au sein de l'opinion publique, car il prend des réformes. Réforme notamment qui abaisse le service militaire de 5 à 3 ans. En même temps, Boulanger tient un discours revanchard très appuyé. C'est en lui qu'on place

l’année 16 est particulièrement difficile pour les camps français, britanniques, italiens et russes. La carte est favorable aux allemands et autrichiens. Sur le front intérieur : * Problème de ravitaillement (hausse des prix et pénurie), on manque de pomme de terre, de charbon (hiver froid) * Hausse du mécontentement populaire : notamment reprise des mouvements de grève (294'000 grévistes en France en 1917 ; 661'000 en Allemagne). La caractéristique de ces grèves est qu’elles sont spontanées

création des ateliers nationaux. Faute d'obtenir la création d'un ministère du travail, ils s'investissent dans les réunions de la Commission du Luxembourg, où on réfléchit à une nouvelle organisation du travail en vue d'améliorer le sort des « classes populaires ». Sous leur pression, le 2 mars, le gouvernement diminue d'une heure la durée de la journée de travail qui est désormais de dix heures à Paris contre onze en province. [4] Ces républicains authentiques voient leurs adversaires politiques de la