Fugitive Beaute

balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son œil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m'a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais

le vers 1 et 2 , entre le vers 5 et 6 et entre le vers 7 et 8 . Le rythme des vers : Les rythmes des vers et bref et rapide c'est pour cela que l'on utilise l'octosyllabe . Le poète utilise cette forme pour représenter la rencontre fugitive avec la jeune fille qui lui procure différents sentiments qui s'enchaine avec rapidité . La forme poétique utilisé ( l'odelette ) correspond très bien à la fille qui chantonne car ça se rapproche de la chanson populaire . Première strophe

les vers que tu as écrits pour moi,
 une nuit à côté des étoiles.
 Sous l’astre de l’été 
je revis notre amour : colonne ivre du temple de l’éternité 
Les saisons se succèdent
 Et moi
 je crois encore aux feux d’artifices. Sybille Rembard, Beauté fractionnée, 2002 Courant poétique : Romantisme. Sa vision du bonheur se réfère à une nostalgie, le bonheur est derrière elle mais celle-ci croit encore qu’il peut arriver. Sybille Rembard est née à Turin en Italie le 21 juin 1966. Après des

François Villon présente dans sa ballade douze figures féminines célèbres dont l'énumération rythme le texte. Ce sont des femmes d’origines antiques et mythologiques, des figures médiévales, légendaires et historiques. Elles sont célèbres pour leur beauté, pour leur amour mais surtout pour leur puissance. Malgré ces qualités elles n’ont pas échappé à la mort. Il s'agît donc d'un poème qui s'appesanti de la disparition, de la mort, et donc qui évoque la fuite du temps. Le temps qui passe est symbolisé

............« Dans Dix Ans d’ici Seulement » d’Alfred de Musset Page 5, 6, 7 et 8.................................................... « Le Lac » d’Alphonse de Lamartine Page 9 et 10..................................................... « La Beauté » De Charles Baudelaire Page 11..................................................... Lettre de George Sand Page 12 et 13....................................................... « Madrigal » Pierre de Ronsard Page 14 et 15..............

08/10/14 UE 1 : Littérature française (M. Chométy) La princesse de Clèves LES PERSONNAGES Il y a 95 personnages (abondance) : certains sont des personnages principaux, d’autres ne sont que des « silhouettes fugitives ». Système des personnages : 3 catégories Personnages complétement fictifs (la mère de Madame de Chartre) Personnages engagé dans l’intrigue inspirés de figures historiques plus ou moins modifiés (le Duc de Nemours, le Prince de Clèves, le Vidame de Chartre, la reine dauphine)

1856) Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ; Moi qui passais par là, je crus voir une fée, Et je lui dis: Veux-tu t'en venir dans les champs ? Elle me regarda de ce regard suprême Qui reste à la beauté quand nous en triomphons, Et je lui dis: Veux-tu, c'est le mois où l'on aime, Veux-tu nous en aller sous les arbres profonds ? Elle essuya ses pieds à l'herbe de la rive ; Elle me regarda pour la seconde fois, Et la belle folâtre alors devint pensive

jours les soins qui les dévorent ;
Oubliez les heureux.

" Mais je demande en vain quelques moments encore,
Le temps m'échappe et fuit ;
Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l'aurore
Va dissiper la nuit.

" Aimons donc, aimons donc ! de l'heure fugitive,
Hâtons-nous, jouissons !
L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ;
Il coule, et nous passons ! "

Temps jaloux, se peut-il que ces moments d'ivresse,
Où l'amour à longs flots nous verse le bonheur, 
S'envolent loin de nous de la même

balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m'a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais

du sonnet. “ils sont vraiment affreux” : cette appréciation violente, qui choque notre pitié, traduit le sentiment de l'auteur devant la démarche étrange de ces êtres inadaptés qui semblent chercher ailleurs. Pour le poète, l'horreur peut avoir sa beauté et c'est ici un cri d'amateur qui va analyser ce spectacle singulier. Le rythme est celui d'une prose dramatique, disloquée et expressive. Baudelaire voit le côté grotesque de cette démarche mécanique, avant de noter la gêne indéfinissable qui nous