Fuir La Réalité

qui nous sort de notre vie habituelle pour nous y emmener très loin, et la poésie qui nous éloigne du réel. Dans un premier temps la poésie constitue l'évasion, un monde sans limites et sans frontières qui transfigure la réalité. C'est un moyen pour le poète et pour le lecteur de fuir la vie de tous les jours, d'oublier tout le reste et de s'envoler vers un autre monde. La poésie permet donc à l'auteur d'exprimer ce qu'il ressent. Dans A une Passante du recueil Les Fleurs du Mal de Baudelaire, le poète

verrons qu’il existe des romans qui oscillent entre ces deux voies : récit extraordinaire et réalité crue. La littérature peut apparaitre comme une simple distraction, une source de plaisir pour le lecteur. Elle est alors considérée comme un moyen d’évasion. Le monde de l’écrit permet en effet de quitter un monde réel souvent décevant, au profit du monde de l’illusion. Il s’agit d’une possibilité de fuir ses responsabilités quotidiennes, le besoin de rêver est un besoin fondamental de l’homme.

part de ses pensées sur les évènements. A la fin, le coupable meurt et Léon, ne pouvant plus le supporter, se suicide. Aussi on découvre que la petite amie du coupable est encore en vie et que toute cette histoire était une folie du tueur pour fuir la réalité. 6. Le monde qui m’est présenté me parait pessimiste et sombre. En effet, les personnes meurent, sont malheureuses et sont humiliées par les autres. Par exemple, le coupable et le vieux Léon avant de mourir sont humiliés par la

Construit à partir de l'énumération de ce que refuse le poète, le texte est l'affirmation répétée qui ne conduit pourtant pas à un véritable départ. Le voyage rêvé apparaît ainsi comme la métaphore de l'inspiration. L'élan créateur est un appel vers une réalité autre, à la fois dangereuse et séductrice. Nous montrerons comment dans ce poème le voyage maritime souhaité prend, au-delà de ses justifications personnelles, une justification symbolique . Situation de passage : Nous retrouvons le refus de

ressorts de sommier et les courroies de caoutchouc placés au-dessous d’une ouverture béante dans un faux plafond stigmatisent les efforts fictionnels d’un homme qui a voulu fuir sa condition. L’installation résulte d’une mise en scène minutieusement calculée, pour un résultat final donnant l’illusion d’une scène tirée de la réalité. La pièce a l’aspect d’un amoncellement de débris où il est impossible de pénétrer. Les murs sont recouverts de haut en bas par des affiches politiques et industrielles ainsi

On admet sans difficulté que l’homme utilise l’art comme moyen d’évasion. Nous voyons dans l’art une sorte de moyen de nous procurer des illusions colorées, musicales dont la seule fonction serait de faire oublier cette réalité terne, brutale dans laquelle nous vivons. Ainsi, la question du sujet semble déroutante dans la mesure où elle interroge une évidence invisible. Or le sujet posé nous conduit à quelques difficultés. L’art est le produit de l’imagination. Or, par définition, l’imaginaire s’oppose

compréhension de notre jugement sur le désir ? * Doit-on limiter ses désirs ? Est-il possible de discipliner ses désirs, ou bien toute tentative pour exercer un contrôle sur eux est-elle vouée à l’échec ? Maitriser ses désirs, n’est-ce pas en réalité vouloir les nier, les supprimer ? Et pourquoi serait-il préférable de maîtriser ses désirs plutôt que de s’y abandonner ? En effet, n’est-ce pas en satisfaisant nos désirs que l’on peut prétendre accéder au bonheur ? * Quel rôle autrui joue-t-il

pleine nuit à travers la campagne cherchant à vaincre ses désirs bestiaux. I. Une chevauchée fantastique Le récit raconte une échappée aux allures de traque et de poursuite policière. Au cours d’une chasse à l’homme imaginaire, Jacques semble fuir de mystérieux et fantomatiques poursuivants. Il paraît en proie à un véritable délire paranoïaque qui pousse à s’enfuir " plus loin, toujours plus loin " (l. 8). Cette angoisse panique se traduit d’abord par le mouvement et le rythme impulsés au récit

société. Mais , les moines et Saint Antoine en particulier peuvent compter sur des défenseurs convaincus et d'éloquents panégyristes ( = louangeurs) tel que Saint Athanase. Or, Athanase a donnée une image de l’ermite copte qui ne correspond pas à la réalité historique de la personnalité d’Antoine. En effet, patriarche d'Alexandrie,il fut un fervent disciple de Saint Antoine. Envoyé en exil, il se réfugia chez des ascètes de la Thébaïde et glorifia leur maître en publiant sa biographie. Ses écrits ascétiques

Dans un premier temps, la poésie a souvent un point de départ dans la réalité. Les poètes s'inspirent de la réalité de leur vie pour écrire leurs poèmes. En effet la poésie est quelque chose qui révèle de la réalité du vécu. Le poète s'inspire de son enfance, de ses relations amoureuses, de sa famille... Par exemple, chez Baudelaire, on retrouve l'évocation d'une femme en deuil dans ses poèmes, pour laquelle il a une grande admiration. Cette femme représente sa mère qui était veuve car il y a