Féodo Vassalique

seigneur, qui va aboutir au système de vassalité. Ce document nous montre également dans quelles conditions se système de la recommandation se met en place et nous permet de comprendre que la commendatio est l’origine contractuelle des relations féodo-vassaliques. De plus, avec le fléchissement du pouvoir royal, le roi n’est plus capable d’assurer la protection de ses sujets, ce qui explique le rapprochement des hommes libres vers les grands. Dans un contexte politique et économique bouleversé par

Le service des vassaux Les vassaux doivent leur service en vertu de l’hommage qu’ils ont prêté à leur seigneur donc leur service à un caractère contractuel. C’est en vertu des clauses du contrat féodo-vassalique que le vassal s’est engagé à servir militairement son seigneur. Ce service vassalique est appelé le service d’ost. Suivant les clauses du contrat, suivant la période envisagée, les vassaux sont soumis à des obligations plus ou moins rigoureuses : Au début de la féodalité, le vassal doit

sur les reliques - grande force morale et contraignante de ces serments de paix B) La menace des sanctions ecclésiastiques-> Crise de l'Eglise dû a son liens dzns la féodalité = plein milieu du moyen âge Le clergé intègre la pyramide féodo-vassalique = abbés, évêques snt des seigneurs soummis au Roi= Les grands segneurs vont avoir une emprise sur les f° religieuses Crise de l'Eglise= pretres ou eveques n'ont pas la vocation (proches nommés) -> Nicolaisme (un pretre se mari) et la simonie

déploie au XIe siècle : la réforme grégorienne. Au XIIe siècle, l’Église est triomphante. Pourtant, cette situation n'empêche pas l'éclosion de mouvements hérétiques. Pour défendre leurs domaines fonciers, les clercs s'insèrent dans le système féodo-vassalique. Évêques et abbés deviennent des seigneurs, prêtant hommage aux puissants et s'entourant à leur tour de vassaux. La seigneurie ecclésiastique est quasi-identique à la seigneurie laïque, l'évêque conduisant même parfois ses hommes à l'ost royale

instaurer une confiance totale et à remettre l’ordre. Charles dérive à une mise en oeuvre de la féodalité héréditaire, le but de ce « Capitulaire » n’étant pas seulement de garder son estime et ses pouvoirs, mais également de créer un rapport féodo-vassalique. C’est la naissance alors de la féodalité.

féodalité vont persister jusqu’à la révolution. Chapitre I Le système féodo- vassalique L’édifice carolingien se lézarde tout au long du xe siècle. Mais comme la nature a horreur du vide, de nouvelles pratiques politiques se structurent pour prendre le relais — il ne faut pas les confondre cependant nous alerte Mme Hervouet car on y retrouve les mêmes hommes. Il y a deux éléments important à retenir. Tout d’abord la pratique féodo-vassalique qui place un homme dans la dépendance d’un autre où le seigneur

glorifier les prouesses des héros démesurés. Nous nous intéresserons dans un premier temps à la gloire mise en avant de réfléchir sur l’excès en figure de démesure critiquée et d’enfin nous pencher sur la chanson de geste comme limite de la société féodo-vassalique, un outil de critique d’une société en déséquilibre. *** Dans un premier temps, la célébration et la gloire sont fortement mises en avant dans cette chanson de geste. En effet, Raoul de Cambrai

plus en plus. De nouveaux agents ont donc été mis en place comme les Missi Dominici mais aucune solution n'a véritablement été trouvée. Le roi a donc toujours eu du mal à s'imposer entièrement au Moyen-Age, même en étant au sommet de la pyramide féodo-vassalique. A partir du XIVe siècle apparaissent les officiers du roi, ce sont des agents représentant le pouvoir royal et qui achètent des lettres d'office afin de s'approprier une fonction publique. Il seront rejoint par les commissaires qui s'affirmeront

nicolaïsme (dépravation des moeurs du clergé, se manifestant notamment par le refus du célibat). Même une partie du clergé régulier tombe sous la tutelle du pouvoir laïc. Pour défendre leurs domaines fonciers, les clercs s'insèrent dans le système féodo-vassalique. Évêques et abbés deviennent des seigneurs, prêtant hommage aux puissants et s'entourant à leur tour de vassaux. La seigneurie ecclésiastique est quasi-identique à la seigneurie laïque, l'évêque conduisant même parfois ses hommes à l'ost royale

chevaliers. Ces derniers sont avant tout les serviteurs armés des châtelains, et facilitent la mise en place de l’autorité des seigneurs. Ils reçoivent un fief (bien dont le vassal percevra des revenus) et sont ainsi intégrés dans les relations féodo-vassaliques. La montée en puissance de la chevalerie conduit ainsi à un nouveau contexte, celui de « mutation féodale ». En effet, par la cérémonie de l’hommage, le vassal se lie à son seigneur. Une pyramide hiérarchique se reconstitue, unissant les vassaux