Galanterie

Arnoux apparaît au début du roman, durant le voyage en bateau menant Frédéric à Nogent-sur-Seine. Les traits de caractères chez ce personnage sont présentés d’emblée, il séduit une paysanne de façon cavalière «il vit un monsieur qui contait des galanteries à une paysanne, tout en lui maniant la croix d’or qu’elle portait sur la poitrine» (page 4) c’est un homme qui se plait à courtiser les femmes et qui présente une certaine aisance avec les autres mais aussi une aisance financière « deux émeraudes

du Duc et de l’impossibilité d’une vraie relation stable « l. 20-24 »  se rappelle qu’elle n’a pas tenu rigueur des conséquences de sa passion et de ce qu’elle peut provoquer : « la défiance et la jalousie » Dilemme entre passion et raison, la galanterie et sa vertu Un personnage tragique Fatalité : « une inclination qui m’entraîne malgré moi » et le chiasme « je pensai hier tout ce que je pense aujourd’hui et je fais aujourd’hui tout le contraire de ce que je résolus hier » Baisse de l’estime

Chartes confronte pendant son apprentissage les maux de sa communauté tels que la jalousie, le mensonge, l’embarras et la naissance d’une passion adultère. Madame de Clèves manifeste une jalousie lorsqu’elle apprend que le duc de Nemours nourrit des galanteries à travers des correspondances écrites. Pour ce fait, elle ne cache pas sa lassitude en administrant « un air assez sec » (114) lorsque ce dernier vient solliciter son aide pour reprendre la lettre compromettante des mains de la dauphine. Cette sollicitation

Il use de formules respectueuses : « pour vous servir » (l. 26). Mais c’est en homme qui connaît les subtilités du langage mondain qu’il tourne ses « compliments » et qu’il file la métaphore : « Mario. – Mons. Bourguignon, vous avez pillé cette galanterie-là quelque part. Dorante. – Vous avez raison, monsieur, c’est dans ses yeux que je l’ai prise » (l. 5154). Il hésite enfin à tutoyer Silvia ; or le tutoiement était de rigueur entre domestiques. Dorante apparaît donc comme un valet très courtois

les goûts de la société mondaine de son temps (ville et cour ; art de la conversation, recherche de la civilité idéale, favorisant la complaisance, la modération d’esprit, le naturel, l’enjouement ; et un délicat scepticisme ; bref, art de la « galanterie », dans une société dont le roi est réputé « galant »). Comble aussi attentes du roi, qui commandera de nombreux spectacles à Molière, qui seront joués devant la Cour, lors de fêtes royales, puis passeront à la ville. Jeu de la troupe et surtout

l'humour participe finalement du réalisme des proverbes, renforçant l'impression d'improvisation et de spontanéité. Enfin, le plaisir du langage mussétien réside aussi dans la conversation galante, ou préciosité de salon. Dans Porte, l'espace de la galanterie, le salon, se superpose à l'espace de la parole, car les éléments du décor ne sont pas donnés d'emblée, mais sont littéralement découverts (portés à la connaissance du public) au fil du dialogue. L'espace se remplit avec les mots ; les éléments

amoureux (avant on disait se rendre amoureux). Tout ceci définit le marivaudage. Au XVIIIe siècle, le mot a un sens péjoratif, mais petit à petit il va devenir positif : il décrit un genre de dialogue amoureux fondé sur le jeu et la séduction, la galanterie ainsi que l'atmosphère enjouée et spirituelle. 

christianisme : Dieu a fait la créature à son image Admirer la création : adorer Dieu (fastes d’Eglise : célébrer grandeur divine) - amour courtois, pétrarquisme (XIV°), repris par préciosité : dame supérieure NB : Langage soutenu, maîtrise de galanterie ; T cultivé ? Registre plus proche de tragédie ; sincérité ? II. Une argumentation habile 1. Une démonstration construite. a. L’amour céleste et terrestre ne sont pas incompatibles b. Beauté d’Elmire a entraîné admiration pour création divine

civilisation qui assujettie les hommes à des lois artificielles, arbitraires et contradictoires. Ils revisitent les conventions de la vie amoureuse instituées par le code civil et le code religieux au regard du code de la nature : la mariage, la galanterie, la coquetterie, les constances, la fidélité et la pudeur. B résume la misère de la condition de l'homme civilisé. Au départ, il existait un homme naturel puis on a crée dans cet homme, "un homme artificiel" ce qui a provoqué une guerre continuelle

l'on peut plaindre car sa « jalousie maladive » le rend, en quelques sortes, un peu attachant. Arnolphe élève Agnès de façon méfiante et jalouse avec l'intention de l'épouser. Mais l'aime-t-il ? L'amour, qu'il tend d'ailleurs à confondre avec la galanterie, semble absent de sa vie. Cependant, menacé de perdre Agnès, il prend conscience qu'il l'aime et ne peut se passer d'elle. Voici quelques réactions d'Arnolphe prouvant son attachement à Agnès qui, après les premières confidences d'Horace, semble