Galbraith

observe le plus souvent le passage de relais de l'entrepreneur-innovateur au directeur-manager, régulièrement assisté d'un conseil d'administration ou d'un directoire. Cet essor du pouvoir de la technostructure est par exemple analysé par John K. Galbraith à propos des multinationales américaines des années 1960 (taille importante, technologies relativement stabilisées, recours à la planification, économies d'échelle). II) Un pouvoir partagé et en incessante négociation S1) Le partage du pouvoir

d'économistes contemporains à la crise, qui se définissent comme hétérodoxes, n'appartenant à aucun courant spécifiques de pensée, étudions leur approche et mettons-la en relation avec les précédentes. Selon l'économiste américain John Kenneth Galbraith, la crise de 1929 tient essentiellement à l'écart qui s'est creusé entre 1919 et 1929 entre l'élévation de la productivité industrielle et la quasi-stagnation des salaires et des prix. L'accroissement des taux de profits permet alors la spéculation

|______________ | |Les acteurs de contrôle disparaissent au profil de l’acteur de l’interface | | |Galbraith | |____________________________________________________________ _______ | | |

la globalisation Moteurs de la globalisation Mesure de la globalisation Régionalisation 1. Les faits 2. Etapes de la régionalisation 3. Théories des zones monétaires optimales Définition • FMI: « globalization » devient « Mondialisation • Galbraith: « globaliszation » devient « internationalisation • Intégration des marchés, conséquence de l’élimination des obstacles au commerce & à l’investissement • Mais quid du rôle du marché & des rapports de force, facteurs déterminants dans l’évolution

l’intérêt de la merchandisation de sa propre image. L’addiction de l’utilisateur est un vecteur de consommation publicitaire loin d’être négligeable. Cette consommation suggérée rappelle les desseins obscurs de la « technostructure » de John Kenneth Galbraith, obstacle à notre libre-arbitre, en créant de nouveaux besoins et refoulant d’autres existant. Enfin, on peut imaginer une utilisation plus machiavélique encore des données personnelles touchant ainsi nos valeurs, nos idées et notre manière de vivre

aux anciens. Causes de la consommation : - ↑ pouvoir d’achat - ↓ prix - ↑ prestations sociales - ↑ credit (American way of life) - P.t → ↑ qtés produites - Nouvelles stratégies d’entreprises = filière inversée (Galbraith) = entreprise qui crée de nouveaux besoins (diversification) Ex : portable. Elle va se servir du marketing. - Nouveaux circuits de distribution par correspondance ou super marché. - Besoin d’identification aux autre en consommant. Si le

donc cherché à déterminer la meilleure répartition possible. D’un point de vu empirique, la fin des 1960 a été marqué par de fortes revendications sociales (1968) pour de nombreux problèmes notamment celui de la hausse des salaires. De plus, selon Galbraith l’organisation de l’entreprise s’apparente à une technostructure où le prestige recherchée par les classes dirigeantes guide implicitement la répartition des profits dégagés. les années 1970 sont donc abordées avec une répartition en faveur des salaires

en se recentrant sur leur « cœur » de métier. Cette vague d’externalisation a elle même entraîné le développement de grandes entreprises capitalistes dans ces activités tertiaires. De plus, alors que pendant la période des « trente glorieuses », Galbraith, dans le Nouvel Etat Industriel parlait de « technostructure » avec une nette séparation entre les apporteurs de capitaux et les managers qui avaient pour objectif la pérennité de l’entreprise, on assiste à cette époque au développement du « capitalisme

mesure de l'augmentation du niveau de vie. - Mais les inégalités persistent. La différenciation par la consommation est toujours possible, en dépit d'une certaine diffusion. Les économistes néoclassiques croient au consommateur-roi, alors que. K Galbraith met en évidence une filière inversée, par le rôle manipulateur que joue l'offre dans la détermination des choix des consommateurs Ici.

distribution). De même ces auteurs dénoncent l’organisation systématique du gaspillage par accélération volontaire du vieillissement des produits et par la mise en place de phénomènes de mode. C’est l’économiste américain contemporain John Kenneth Galbraith qui est le porte parole le plus connu de ce courant, qui a donné naissance par ailleurs à des mouvements de défense des consommateurs. D’autres comme Jean Baudrillard, vont plus loin en insistant sur le caractère ambivalent de la consommation lorsque