Gallicanisme

religieuses sont punies pénalement. Comme ce n’est pas l’église qui l’impose, elle s’adresse au bras séculier (hérétique). Ceci ne veut pas dire qu’il n’y a eu très tôt une lutte politique entre la monarchie et l’église. La première, qui va créer le gallicanisme, c’est la revendication d’une autonomie de l’église de France par rapport au pape. Elle commence avec Philippe le Bel (apparition de l’Etat souverain). Il y avait trois organisations internationales : le Pape qui était le dirigeant de tous les

pointer de manire judicieuse le problme crucial du pouvoir papal ( vous faites trs bien de ne pas le reconnatre , I. 17-18) et du pouvoir du roi ( mais pour les rois, cest leur affaire , 1.18-19), qui renvoie la querelle entre lultramontanisme et le gallicanisme. d) Comme toujours dans le conte philosophique, la critique et lappel la rflexion passent par une mise en scne. Dans ce passage, le dcor est plant Saumur, une ville trangement dserte comme le remarque justement lIngnu. Voltaire place les personnages

d'Espagne. De plus, les jansénistes furent de nouveau poursuivi. En décembre 1720 le parlement de Paris dû enregistrer une déclaration royale qui ordonnait dans tout le pays l'acceptation de la bulle Unigenitus. Ce qui, compte tenu de l'ancien gallicanisme de ce dernier, l'a fortement heurté. En conclusion, il est indiscutable que la période de la régence de Philippe d'Orléans doit se concevoir en deux temps : le premier, libéral est ouvert, qui est comme la recherche d'un nouveau souffle après

l’ancien régime, mais la doctrine de l’indépendance du monarque au temporel n’est plus contestée et déjà le roi prétend réglementer la vie interne de l’Eglise de France. C’est donc au début du XIVe qu’apparaissent les premières manifestations du gallicanisme. Les chefs de l’Eglise ont fait des études dans les universités : un certain nombre de fonction de l’église est réservé à des diplômés de l’université. Le concordat de Bologne conclu en 1516 entre François Ier et Léon X, peu après la victoire

la révocation de l’édit de Nantes par Louis XIV en 1685, qui met fin à la tolérance vis-à-vis des protestants, et le poids des Jésuites et des Jansénistes. En effet les Jésuites, en plus de leur influence politique, critiquée par les tenants du gallicanisme, contribuent à la formation de la pensée du siècle et à l’élaboration du style classique. Les écoles jésuites apportent deux éléments essentiels dans la formation du classicisme : le goût humaniste pour les Anciens reconnus comme modèle de beauté

civiles. -séparation de l’Eglise et de l’Etat. -neutralité de l’Etat en matière de conscience religieuse (Ex interdiction du port de signes ostentatoires à l’école). USA religion se protège de l’Etat / FranceEtat se protège de la religion « Gallicanisme » = tradition française qui rejette l’autorité du pape. Citoyen dispose de droits et devoirs (mais un criminel n’est plus un citoyen). Le citoyen d’aujourd’hui a plus que le sujet d’autrefois : sous Louis XIV, le souverain avait droit de vie

I. LES SYSTEMES JURIDIQUES HERITES DU MOYEN AGE SECTION PRELIMINAIRE. LA MONARCHIE MEDIEVALE Rappels historiques et présentation des monarchies franques, de la féodalité et la reconquête du pouvoir par les Capétiens ; les trois ordres et le gallicanisme. SECTION 1. LE DROIT DES COMMUNAUTES : DES LOIS PERSONNELLES AUX COUTUMES LOCALES § 1. LES LOIS PERSONNELLES DES BARBARES ET LA PERSONNALITE DES LOIS A. La rédaction des coutumes barbares B. Les lois romaines C. Le système de la personnalité

Concordat de Bologne conclu entre François 1er et le pape Grégoire X en 1516, verra la France obtenir en échange de la reconnaissance de la suprématie papale sur les conciles, le droit de nommer les évêques. Ce concordat, représentant une victoire du gallicanisme en France, restera en vigueur jusqu'en 1790. A l'époque contemporaine-celle qui nous intéresse aujourd'hui, la laïcité est un enjeu fondamentale de la conception moderne de l'Etat, en ce que l'Etat démocratique se doit d'être pleinement indépendant

Le pouvoir royal est affaibli intérieurement. Tout d'abord avec un contexte de lutte contre le Jansénisme, la bulle Unigenitus du Pape Clément XI de 1713 condamnant le jansénisme, mais également à mal le gallicanisme. C’est alors que les parlements d’Ancien Régime grand défenseurs du Gallicanisme se rangent du côté des jansénistes et refusent d’enregistrer la bulle pontificale. Il faut alors un Lit de Justice en 1730 pour faire accepter cette loi. Le XVIIIe siècle est marqué par cette lutte. C’est

et placée sous le contrôle du roi de France. Effondrement de la puissance pontificale, début d’un déchirement au sein de l’église de France (Grand Schisme coupure de l’Église à partir de 1378). Montée de la puissance des prérogatives royales. Gallicanisme politique (renversement de situation) indépendance de l’Église de France à l’égard du pape et contrôle du roi sur l’Église de France elle-même (nomination des évêques par le roi, prétentions économiques). §6. L'inaliénabilité et l'indisponibilité