Gallicanisme

forte de 1848 : La défense de l’ouvrier. Dimension romantique dans sa pensée. A) Le premier La Mennais : L’ultra Il cultive à l’époque 3 haines : - Le philosophisme : L’esprit du XVIIIème qui ne croit pas en l’esprit d’autorité. - Le gallicanisme : La Liberté de l’Eglise de France - Le démocratisme : Le mythe de la souveraineté du peuple tend vers le gouvernement de la populace. Dès lors, il veut reconstituer la société politique grâce à la société religieuse et par le Pape. La Mennais

et sont salariés. Les évêques sont désormais investis dans leur fonction par le métropolitain et non plus par le Pape. A partir du 27 novembre 1790, évêques et curés doivent prêter serment à la Nation, au Roi et à la Loi. C'est le triomphe du gallicanisme (de l'idée d'une certaine église nationale française). La Constitution Civile du Clergé est condamnée, en avril 1791, par le Pape Pie VI ce qui plonge la France dans le schisme. Désormais, en effet, l'Eglise française est coupée en deux camps qui

de la grande crise intellectuelle de la fin du XVII siècle et du début du XVIIIe, période qui marque le triomphe de la raison sur les croyances, avec notamment le Dictionnaire historique et critique de Pierre Bayle. Louis XIV, partisan du gallicanisme (église Catholique indépendante du Pape) décide d'éradiquer le jansénisme et de combattre le protestantisme (jusqu'à disparition de la liberté de culte) et la compagnie du Saint-Sacrement. Il révoque l'Edit de Nantes en octobre 1685. b

aussitôt. Des fortunes sont créées, mais beaucoup d’autres sont détruites. Ruiné, Law fuit à Bruxelles (1720), et le Régent perd beaucoup de sa crédibilité. Il meurt brusquement en décembre 1723. Situation religieuse : Louis XIV, partisan du gallicanisme qui tire son pouvoir du Droit Divin , veut une France catholique unifiée sous ses ordres mais indépendante du pape si celui-ci soutient ses ennemis Habsbourg. Il réduit ainsi successivement à l'obéissance et à la soumission les courants dissidents:

sévère contre la politique de Philippe le Bel après que ce dernier eut fait arrêter un évêque : il invite tous les ecclésiastiques à "préparer la réformation du royaume et la punition du roi de France". Les évêques français soutiennent le roi par gallicanisme (pour ne pas dépendre du Pape plus que du roi). La querelle atteint alors un point de non retour. Philippe le Bel réunit un concile des évêques de France pour condamner le pape, ainsi que des assemblées de nobles et de bourgeois à Paris (précurseurs

Antilles (où l’on commence à créer de grandes plantations sucrières). À la fin de son règne, le « Roi très Chrétien » tente de préserver la succession d'Espagne pour son petit-fils. Pour réussir, Louis XIV se réconcilie avec le pape, renonçant au gallicanisme au profit du parti dévot. Charles II sur son lit de mort laisse l'héritage de la totalité des possessions espagnoles pour l'un des petits-fils de Louis XIV, Philippe V. Les puissances européennes provoque alors une violente guerre contre les Bourbons

aux clergés de France. Cette doctrine résistera jusqu’à la fonde l’ancien régime : le Gallicanisme. Gallicanisme = a deux visages : un visage politique et un visage religieux. Dans son expression politique, le gallicanisme c’est l’affirmation qu’il existe des libertés particulières à l’Eglise de France dont le roi de France est le protecteur et non pas le pape. Dans sa version religieuse, le Gallicanisme consiste à affirmer la supériorité du concile œcuménique sur le pape. Par conséquent

abandonne la langue anglaise pour le français. Le gallicanisme : la religion devient nationale aussi. Chaque pays au 13-14ième siècle choisit un st patron qui le défend. St André pour l’Ecosse, St Etienne pour la Hongrie, St Olaf pour la Norvège, st Denis pour la France. St Michel pour les armes qui jugent le dernier jugement. Paragraphe 1) L’indépendance vis-à-vis du pouvoir spirituel On réagit contre la pape, et la réaction française du gallicanisme, c’est le moment où l’Eglise est de moins en

l’église sera menacer, Pépin le Bref ira la défendre. En 754, le pape est attaqué par les Lombards, Pépin le Bref gagne des terres qu’il donne à l’Eglise : c’est l’actuel Vatican. Au XIV , c’est la fin de l’arrangement entre les francs et le pape = Gallicanisme. Schisme entre le roi et l’Eglise, l’Eglise des francs est désormais sous l’autorité du roi et non plus sous celle du pape. Dès l’an 800, Charlemagne est devenu roi (roi guerrier), il a reconquit l’empire occidental, il exerce son pouvoir sur un

trouver un remplaçant sur place. L'exemple du Cardinal de Lorraine est fort illustrateur, en 1550 à sa mort, il possède 9 évêchés ou archevêchés et 6 abbayes disposant ainsi d'une richesse fabuleuse. Cette emprise du roi sur le clergé inspire le Gallicanisme, c'est à dire une autonomie toujours plus grande de l'Église et du clergé français à l'égard de Rome. Le roi perçoit des taxes sur le clergé, la Dime qui représente 1/10è des revenus et bénéfices ecclésiastiques. Le clergé de France peut aussi