Gap De Liquidité

de la zone euro, l’effet de rattrapage est très proche (entre 1,8 et 2 points). Tableau E1. Croissance potentielle et croissance spontanée En % DEU Croissance potentielle (a)= Croissance de la productivité + celle de la population active Output gap en 2011 Nombre d’années pour fermer l’OG en l’absence de chocs Effet rattrapage annuel (b) Croissance spontanée hors acquis (a+b) 1,5 1,1 0,4 -0,8 1 an 0,8 2,3 FRA 1,45 1,1 0,45 -6,0 3 ans 2,0 3,5 ITA 0,1 0,0 0,1 -3,6 2 ans 1,8 1,9 ESP 1,5

système de change fixe ou flexible qui permet de déterminer le taux de change des monnaies les unes par rapport aux autres. • Le SMI est un étalon de referance par rapport auquel chaque monnaie nationale est définie selon un taux de change. • Des liquidités internationales qui circulent entre les pays en fonction des besoins de financement des balances des paiements. Ce mécanisme de crédit entre nation peut être éventuellement supervisé par un organisme international (le FMI par exemple). 3-Les

etc) au résultat global de l’établissement. Tous les centres de responsabilité utilisent une ressource commune, la liquidité. La fonction des systèmes de pools de capitaux et de prix de cession interne est d’échanger les ressources et les emplois entre les différents centres de responsabilité et une trésorerie centrale. REFACTURATION INTERNE Activités de marché Fonction GAP* REFACTURATION INTERNE Fonction commerciale Prise en compte des marges commerciales Clients * Gestion

INEXACTE ? A La finance directe s’appuie sur des titres non négociables B La finance directe s’appuie sur des titres représentatifs d’un actif C La titrisation permet aux banques de céder leurs crédits à des investisseurs D La marchésisation donne une liquidité accrue aux titres E ARNC QRU Concernant les étapes d’une opération de négoce de titres … Quelle est la séquence EXACTE ? A Ordre / cotation / compensation B Cotation / ordre / conservation C Transaction / compensation / règlement D Transaction /

Définition 23 B- Les différents facteurs de risque : 24 C- Méthodologie ALM (Gestion Actif-Passif) 27 II - GESTION DES RISQUES DE TAUX ET DE LIQUIDITE BANCAIRE 28 A-Mise en évidence des taux d’intérêts et de la liquidité en tant que facteurs de risques qui pèsent sur le bilan 28 B- Indicateurs de gestion du risque de taux et de liquidité 29 III -LA CRISE ECONOMIQUE ET FINANCIERE ET LA REMISE EN CAUSE DU SYSTEME FINANCIER 30 A- Les sources de la crise : 30 B - Le déclenchement

en train de faire face à une crise de liquidité. Cela se traduit par un désengagement des banques de leurs services consommateurs de crédit sans apport de liquidité réciproque, ce qui est en général le cas des microcrédits. Cette problématique n’affecte pas uniquement le secteur du microcrédit. Par exemple les banques financent de moins en moins les collectivités locales depuis la disparition de Dexia. Il faut comprendre que si on veut acheter la liquidité elle est chère et aléatoire et doit être

préalable nécessaire au développement du secteur financier A l’instar de la tendance générale observée au niveau des pays émergents, la situation macroéconomique du Maroc s’est sensiblement améliorée : les indicateurs globaux de solvabilité et de liquidité externe se sont renforcés, comme en témoignent la maîtrise de l’inflation, le maintien d’un solde courant excédentaire, l’atténuation du poids de l’endettement extérieur et le net accroissement des avoirs extérieurs. La croissance économique s’est

ils deviendraient biens économiques car produits du travail/transformation de l’homme. La production de biens et de services d’une économie constitue la richesse économique de cette économie. La richesse economique n’est donc pas l’accumulation de liquidités (simple vecteur de la richesse économique) mais la capacité/production de biens et de services en quantité et en variété désirés par les consommateurs. ( ce qui suppose maîtrise technologique,potentiel humain et capacités managériale…….) Classification

s’essouffler, le volontarisme réaffirmé de la FED rassure. Les pays émergents quant à eux, emmenés par l’Asie, ont retrouvé ou dépassé le précédent pic d’activité. Pourtant le ver est dans le fruit. Les économies développées sont prises dans une trappe à liquidité. En engageant la consolidation budgétaire trop tôt, elles courent le risque d’entrer en déflation. La hausse des taux réels qui en résulterait aggraverait la récession. Les multiplicateurs budgétaires et l’absence de relais de la politique monétaire

dûes aux mouvements de populations et la pénurie : La balance commerciale des États-Unis est excédentaire (peu d'investissements, réduction des dépenses militaires, peu d'importations); Les autres pays manquent de moyens de paiement : le dollar gap est bien plus important qu'après la première guerre mondiale. C'est dangereux pour les États-Unis (surproduction, chômage, etc, s'ils ne vendent pas), et pour les autres pays (menacés par la misère qui est «le meilleur allié de Staline»). En 1951