Garde républicaine

octobre 1795, incluant la période dite de la Terreur (1793-1794), durant laquelle l'essentiel du pouvoir réside dans le Comité de Salut Public dominé par les Montagnards (6 avril 1793 - 27 juillet 1794). À partir du 5 octobre 1793, le Calendrier républicain est officiellement utilisé. Le 6 messidor an I (24 juin 1793) est proclamée la Constitution de l'an I, qui se substitue à la Constitution de 1791 : elle ne sera jamais appliquée. La chute de Robespierre, le 8 thermidor an II (26 juillet 1794), amène

roi et de la famille royale, le 20 juin 1791. Leur arrestation à Varennes le lendemain, leur retour à Paris sous la garde de Barnave, Péthion, Latour-Maubourg et l'escorte de la force armée, le 25 juin 1791. Décret ordonnant le retour des émigrés, le 11 juillet 1791. Emeute républicaine à Paris (fusillade du Champ-de-Mars), le 17 juillet 1791. Déclaration de Pillnitz (mise en garde des puissances étrangères à la Révolution française), le 27 août 1791. Acceptation de la constitution révolutionnaire

compris, son message est clair : minimiser la portée de la défaite. Et surtout, faire le gros dos. Un peu court comme stratégie présidentielle… Nul ne croit encore en un putsch contre le chef de l’État. Mais l’idée commence bien à germer. »   Le Républicain lorrain (Philippe Waucampt) « Le basculement du Sénat à gauche n’est une bonne nouvelle ni pour le gouvernement ni pour le président vraisemblablement candidat. (…) Il est clair, cependant, que cette chute d’un bastion historique de la droite n’augure

montée en puissance de la Commune de Paris, dont le statut devient ambigu, les élections sont repoussées, ce qui provoque des protestations et des manifestations le 26 Septembre, ainsi que les 5 et 8 Octobre à l’Hôtel de Ville, par les citoyens et la Garde Nationale. Le 31 Octobre, les membres de la Commune tentent de s’insurger contre le Gouvernement en déclarant ladite Commune, mais cela est un échec, marqué par de très fortes dissensions entre les insurgés. Toutefois, cet échec a aussi eu

sauvegardait « l’honneur ». Gambetta refuse la paix, avec son décret du 31 Janvier il rend inéligible tout l’ancien personnel impérial (ex ministres, sénateurs…) pour faire élire une Assemblée républicaine. 48h après arrive Jules Simon, annule le décret et fait démissionner Gambetta  à division au sein des républicains.   Elections du 8 février 1871 = élections en semaine, au chef lieu du canton… vote massif pour la paix et l’ordre (l’opposition est la liste jacobine de Gambetta) envoie une grande majorité

siècle: 1792 - 1804 : première République • Le roi Louis 16 = décapité (=le personnage principal de la politique). • Régime politique = ‘Le Terreur’ de Robespierre : exécutions. • Le ‘coup d’état du 18 Brumaire’ (= 9 novembre sur le calendrier républicain) par Bonaparte pour essayer de remettre l’ordre. • Régime politique = Consulat : Napoléon Bonaparte devient consul. • 1802 : Concordat avec le pape : la société ne s’opposait pas seulement au roi, mais aussi à l’Eglise. Dans le Concordat, Napoléon

l’armée et les sergents de ville bloquent les voies d’accès au Palais-Bourbon. Dès 11 h, la foule s’assemble place de la Concorde pour connaître la décision du CL. L’ordre est donné aux sergents de ville et aux fantassins de la garde de quitter leurs positions. La garde Nationale et les gendarmes ont du mal à retenir la foule mais aucun ordre de charge n’est donné. Ils sont donc submergés. A 14h15, les manifestants passent les grilles du Palais-Bourbon, l’Hémicycle est envahi. J. Favre et L. Gambetta

Le coup d'Etat de Brumaire Le 9 novembre 1799 (18 Brumaire An VIII, selon le calendrier républicain), le général Napoléon Bonaparte met fin au régime du Directoire par un brutal coup d'État. Il ouvre la voie à sa propre dictature et met fin à la Révolution proprement dite. -Pourquoi ? : Dix ans après la prise de la Bastille (14 juillet 1789), la Révolution s'essoufle. Le gouvernement du Directoire est désemparé par : les difficultés économiques les difficultés militaires et menacé

à travers la figure de J.Valjean mais aussi des révoltés républicains. L’extrait étudié se situe dans la cinquième partie du Livre I, au chapitre XV intitulé « Gavroche dehors ». Il transpose l’événement de la barricade de juin 1832 de la rue Saint Denis où des révoltés républicains s’affrontèrent avec la garde nationale. Gavroche gamin des rues, voleur et sans famille dépouille les morts en faisant fi du danger et en narguant la garde nationale. On pourrait alors se demander en quoi Gavroche

septembre 1870 Impératifs de « Défense nationale » Assemblée nationale monarchiste Guerre civile : la Commune A) La proclamation à l’épreuve La soudaine proclamation de la République Sous l’Empire : plébiscite triomphal du 8 mai 1870, « parti républicain » fort minoritaire et peu organisé. Milieu urbain révolutionnaire (étudiants,employés,intellos ) à Paris, idées de Blanqui, de Proudhon. Modérés : Jules Favre, Picard, Jules Simon. « Radicaux » : Gambetta, Jules Grévy, Jules Ferry. Mais consensus