Gaston Bachelard

et Gaëtan Picon.......................................................................................... 9 Georges Blin ......................................................................................................................10 Gaston Bachelard .............................................................................................................10 Jean-Pierre Richard ........................................................................................................12 Maurice

& MET.ART:VERR.SCIENT.TECHN | |75013 |NICOLAS LOUIS VAUQUELIN |2NDPRO BIO-INDUSTRIES DE TRANSFORMATION | |75013 |GASTON BACHELARD |2NDPRO ELECTROTEC. ENERG. EQUIP.COMMUNIC | |75019 |DIDEROT |2NDPRO ETUD.DEFINITION PRDTS INDUSTRIELS

| | | | | | |- Présenter Gaston Bachelard. | | | | |1- Décrire le processus d’élaboration de la |

mythe, il faut prendre en compte les éléments qui en sont constitutifs, et sa valeur symbolique : "Tout mythe est un drame humain condensé. Et c’est pourquoi tout mythe peut si facilement servir de symbole pour une situation dramatique actuelle" (Gaston Bachelard). Ainsi, le mythe peut exercer : • Une fonction religieuse : le mythe détermine les relations entre l’homme et le sacré. Le mythe d’Adam et Ève et de la chute du Paradis répond aux interrogations sur la création. • Une fonction sociale :

1. Gaston Bachelard, Valeur morale de la culture scientifique. « Le mathématicien Henri Poincarré, dans des pages célèbres, prétendit apporter une raison péremptoire pour séparer l’activité scientifique et l’activité morale. Cette raison serait d’ordre grammatical. Les prescriptions de la science, disait-il, se mettent au mode indicatif. Les prescriptions de la morale se mettent au mode impératif. Or, il est facile de montrer que le dilemme n’est pas absolu et qu’aucun de ses deux pôles n’est aussi

quotidienne, de même que dans les opérations les plus rationnelles. Car G. Durand estime que toute raison, quelle qu’elle soit, s’élabore toujours à partir du terreau de l’imaginaire… Il se distingue d’ailleurs ici de son maître et inspirateur Gaston Bachelard, le « philosophe de la rêverie », pour qui imaginaire et rationalité sont deux domaines antagonistes. Les images sont « le moule affectif représentatif des idées », c’est-à-dire qu’elles sont antérieures aux idées et non le contraire. G. Durand

sixième sens de l’humanité, elle s’impose positivement. On considère que c’est une force créatrice qui mène au bonheur, qui mène à l’art et qui permet de mieux discerner le monde. Le rêve en temps qu’imagination devient très puissant et pour Gaston Bachelard quand on est heureux on fait des rêves heureux. 3) Les questions auxquelles nous avons répondu Le rêve est-il une seconde vie ? Autrement dit le rêve est-il une parenthèse dans notre vie une fuite de la réalité. Le rêve est une parenthèse

matière que la main de l’auteur prépare et organise. Aussi, les descriptions successives de l’intérieur puis de l’extérieur de la terre peuvent être lues comme des « poèmes de la main qui pétrit 7 », selon la belle expression du philosophe Gaston Bachelard. La progression du récit suit en effet l’évolution de la matière sous l’effet de la chaleur et du mouvement. Cette évolution concerne aussi bien la « pâte de lave » (p. 357) qui se constitue peu à peu, que le corps des personnages. La lave

évènements à venir . Par exemple la météorologie annonce le temps qu'il fera les prochains jours . Elle annonce pendant les saisons pluvieuses les jours ou il y aura abondamment de pluie , les degrés de chaleur ou de fraîcheur .En se sens , pour Gaston Bachelard << la science est prédictions>> . Ensuite , dans le domaine médical , le biologiste peut faire savoir à son patient après des analyses de sang , qu'il souffre d'une telle maladie . Ainsi certaines maladies endémiques comme

forcément évidentes en raison de nombreuses raisons culturelles : le géocentrisme était utilisé par le christianisme comme preuve de leur religion. Au fond, comme le dit l’expression, l’erreur est humaine et les scientifiques sont des êtres humains. Gaston Bachelard résume bien cela en disant que les vérités scientifiques sont toujours provisoires et doivent toujours être remaniées et corrigées. Ainsi, la connaissance scientifique ne peut pas faire l’économie de l’erreur. Conclusion : Contrairement