Genêts

l'Italie, Livre X, chapitre IV, 1807. Texte B : Chateaubriand, Lettre à Julie Récamier, texte cité par Jean d'Ormesson dans Mon dernier rêve sera pour vous, 1998. Texte C : Chateaubriand, Mémoires d'outre-tombe, III, 1848-1850. Annexe : Gérard Genette, « La littérature au second degré » , Palimpsestes, 1982. I Vous répondrez d'abord à la question suivante (4 points) Quels sont les éléments purement informatifs concernant le Miserere ? II Vous traiterez ensuite un de ces trois sujets (16 points)

intime) il faut qu’il y ait identité de l’auteur, du narrateur et du personnage. […] l’identité du narrateur et du personnage principal que suppose l’autobiographie se marque le plus souvent par l’emploi de la première personne. C’est ce que Gérard Genette appelle la narration 1 « autodiégétique » dans sa classification des « voix » du récit […] A la lumière de cette définition peut-on réellement envisager une autobiographie à la première personne ? Ne peut-on pas l’envisager à la dumas-00604899

quelle que soit leur époque. 16 PROLONGEMENTS POSSIBLES LECTURE D’ŒUVRES INTEGRALES Pour compléter le groupement sur les servantes présenté plus haut, on pourra proposer en lecture cursive : – Germinie Lacerteux des Goncourt ; – Les Bonnes de Genêt ; – Eugénie Grandet de Balzac ; – Madame Bovary de Flaubert. L’EXPLOITATION DU SITE FLAUBERT www.univ-rouen.fr/flaubert/ Dans le cadre des objets d’étude « Le travail de l’écriture » et « Écrire, publier, lire » en seconde, il est possible d’exploiter

l’essayisme utopique, de Peter Zima (2012) fait figure minoritaire : on mesure en cela une évolution pragmatique des pensées de l’essai. C’est au gré d’une préoccupation pragmatique proche que l’essai se signale, en France, dans une réflexion de Genette sur les genres qui échappent à la théorie des genres ( qu’il a largement contribué à renouveler) : dans Fiction et diction (1991), il met à l’honneur une poétique « conditionnaliste » inspirée des travaux analytiques américains, notamment ceux

origine dans le fait que l'on projette dans le passé une vision moderne : le XXe siècle se serait créer un XVIIe à son image. Le baroque est une création de notre temps lié aux aspirations de notre littérature. Pour synthétiser, citons Gérard Genette qui explique : la pensée moderne s'est peut-être inventé le baroque comme on s'offre un miroir. Ainsi, Eugène D'Ors explique dans Du baroque en 1925 que le baroque est avant tout une constante de culture. Bien plus qu'une période artistique

reflète comme l’Expressionnisme la problématique du début du 20 ème s ^préoccupé par la découverte de l’irrationnel. * La grande explosion théâtrale des années cinquante. La véritable révolution dramaturgique se produit au milieu du 20 ème s avec Jean Genet, Eugène Ionesco, Arthur Adamov et Samuel Beckett. Ils abandonnent l’unité d’action et transforment l’espace scénique. Ils cultivent l’insolite et l’incohérence au sein du langage . Nourris de Freud et par les Expressionnistes, ils mettent en scène

ouvrir la voie à une lecture autre du personnage d’Albertine : ni tout à fait une femme, ni tout à fait homme camouflé comme certains la(le) lisent. Lecture qui épouserait, d’ailleurs, elle aussi, la logique de l’empiètement métonymique cher à Gérard Genette : Albertine, femme objet du désir en lieu et place d’un homme, n’est pas un homme, mais elle n’est plus, non plus, tout à fait une femme… Ainsi, cette première partie de l’extrait, agitée d’un « frémissement voluptueux et secret »joue-t-elle, mais

ton nom | | | |Sur la jungle et le désert | |Sur les nids sur les genêts | |Sur l'écho de mon enfance | |J'écris ton nom | |

Couleur de bouton d'or, les bouchers dans leurs voitures rouges font leur tournée matinale et les sonneries de leurs trompettes appellent les habitants. A gauche de port, un escalier de pierres sèches mène aux ruines, parmi les lentisques et les genêts. Le chemin passe devant un petit phare pour plonger ensuite en pleine campagne. Déjà, au pied de ce phare, de grosses plantes grasses aux fleurs violettes, jaunes et rouges descendent vers les premiers rochers que la mer suce avec un bruit de baisers

choquaient de bien des façons, les notions ont d’abord été celles d’ anti-théâtre, de nouveau théâtre puis le critique Martin Esslin proposa en 1961 avec des nuances théâtre de l’absurde pour un nombre limité d’auteurs : Ionesco, Adamov, Beckett, voire Genet. Étymologiquement, le mot absurde est d’ordre musical (son inaudible, sourd). Banalement, sera dit absurde quelque chose qui échappe à la raison. Mais quelle raison? Le surréalisme avait déjà bien contesté l'abus de ce mot et les abus créés en se