Génotype

croisement est un croisement test (0,5 pt) (car on croise un individu à phénotype dominant (F1) avec un à phénotype récessif) permettant de révéler les types et proportions de gamètes produits par F1. (intérêt 0,5 pt)Il nous permet de déterminer le génotype de F1 et donc de savoir s’il y a un ou plusieurs gènes. On considère le caractère abdomen seul :[uni] = 78 + 23 = 50 % et [rayé]= 19 + 81 = 50 % On considère le caractère thorax seul :[avec soies] = 78 + 19 = 50% et [sans soies]= 23 +81 = 50

générations, la fréquence des génotypes reste constante d'une génération à l'autre s'il n'y a pas de sélection, si la population est grande, s'il n'y a ni mutation, ni migration et si les unions se font au hasard. 2- Conditions nécessaires Les quatres premières conditions de la loi de Hardy-Weinberg (équilibre de Hardy-Weinberg) représentent différents mécanismes de l’évolution: 1) absence de sélection (la mortalité et la fertilité est la même pour tous les génotypes), 2) la population doit être

phénotypes macroscopiques, cellulaires, moléculaires et des génotypes des levures de souche « sauvage » et de souche « Ade2 » pour le caractère « couleur des colonies » Tableau de comparaison des génotypes et des différents niveaux d’organisation du phénotype des levures des souches Ade2 et sauvage pour le caractère «couleur des colonies». Souches de levures Phénotype macroscopique Phénotype cellulaire Phénotype moléculaire Génotype des levures pour le gène Ade2 Ade2 Rouge Une colonie

(souche sauvage) eb ( corps ebony, noir (souche mutée) ➢ La plaque 2 présente des drosophiles F1, hybrides, issues d'un croisement de P1 et P2. Q 1) Indiquez pour les parents P1 et P2 et pour les descendants F1, le phénotype observé et le génotype correspondant. Quelle déduction pouvez-vous faire de l’analyse des résultats de la génération F1 ? ➢ Vous disposez d'une plaque 3 portant des drosophiles F2(BC) descendant du croisement d'un individu F1 avec le parent double récessif

| |F1 homogène (100%) donc individu hybride : l’allèle coloré (i+) domine incolore (i) et l’allèle arrondi (d+) domine l’allèle déprimé (d) | |Génotype des parents : | |P1 : (i+ / i+ et d+ / d+) ; P2 : (i / i et d / d)

ANALYSE GÉNÉTIQUE DE LA CAPACITÉ DE GOÛTER L’AMER. 1. OBJECTIFS 1.1 Effectuer une analyse d’ADN dans le but d’établir une relation entre les génotypes et les phénotypes d’un caractère héréditaire : la capacité de goûter une substance amère, le PTC. 1.2 Analyser cette relation pour déterminer le type de dominance, complète ou incomplète, existant entre les allèles goûteur et non-goûteur de PTC. 1.3 Se familiariser avec des techniques modernes de biologie moléculaire : amplification en chaîne par

devons premièrement établir quels sont les caractères et les allèles en jeu. Ensuite, nous allons établir des hypothèses, grâce à un échiquier de croisement, sur les génotypes et les phénotypes des générations suivantes. Enfin, nous observerons les phénotypes de générations suivantes pour comparer avec nos résultats sur les génotypes, ainsi vérifiant que nos hypothèses soient correctes et précises. Dans le cadre de nos expériences, nous allons nous intéresser aux caractères et aux allèles des graines

développée dans le cas de la myopathie chez l'Homme. Deuxième question ( 10 points ) utiliser des connaissances et des informations nouvelles A partir de l'exemple proposé ci-dessus et d'un exemple traité en classe, exposez le lien qui existe entre le génotype et les différents niveaux de phénotype d'un individu sain et d'un individu malade. CORRIGE ABREGE DU BAC  SVT  ES  2001 METROPOLE Première question ( 10 points ) Faire un schéma avec *une cellule humaine, son ADN et le gène humain de la

enzyme fonctionnelle. C’est donc le génotype qui est responsable du phénotype biochimique, lui-même responsable du phénotype moléculaire à l’origine du phénotype macroscopique. Schéma de synthèse : du génotype au phénotype macroscopique E gène allèle dominant / e gène allèle récessif Enz f : enzyme fonctionnelle Enz nf : enzyme non fonctionnelle Les flèches montrent quelles enzymes doivent être fonctionnelles ou pas dans la réalisation d’un phénotype. Génotypes E1E1 E1e1 E1e1 E2E2 E2e2 E2e2 E3E3

insecticide organophosphoré Une étude est réalisée chez des moustiques Culex quinquifasciatus exposés à des doses croissantes d’un autre insecticide organophosphoré : le NRCD 167 ou perméthrine. Le taux de mortalité de 3 populations de moustiques de génotype différent est évalué. La population Y résulte d’un croisement entre les populations X et Z.  Document 3  L’estérase est une enzyme catalysant l’hydrolyse des liaisons ester des insecticides organophosphorés faisant ainsi perdre sa toxicité