Génotype

méiose est une des étapes essentielle de la gamétogenèse. G9, G10 3/ Une première loterie : la méiose Associé à la gamétogenèse, elle permet de passer du stade 2n à n. Envisageons la méiose chez un homme de phénotype [ A+ ] [ B+] de génotype (A//O Rh+//rh-) (B//O Rh+//rh-) (A Rh+) (O rh-) (A rh-) (O Rh+) (B Rh+) (B rh-) (O Rh+) (O rh-) Lors de l’anaphase 1 de méiose, la séparation des chromosomes homologues de chaque paire est aléatoire. C’est ce qui constitue la

chromosome surnuméraire au niveau de la 21e paire. Il y a trois chromosomes 21 au lieu de deux. C'est la première anomalie chromosomique décrite chez l'homme, et c'est la première maladie pour laquelle est mise en évidence la relation entre le génotype et le phénotype. Elle est donc renommée par Jérôme Lejeune, « trisomie 21 », « tri » voulant dire « trois » et « some » voulant dire « chromosome », c’est-à-dire « trois chromosomes 21 ». Le syndrome de Down, aussi appelé trisomie 21, est un état

Aucun des deux allèles n'est strictement dominant ou récessif : les deux s'expriment et on parle de codominance. On écrira donc les deux allèles avec des majuscules, soit respectivement B et N. Le premier croisement s'écrit alors, au niveau des génotypes (et des phénotypes entre parenthèses) : P: F1 : Le second croisement s'écrit alors : P : N/B (bleu de F1) x F1 : 62 (51%) (bleu) N/B B/B (Blanc) 60 (49%) (blanc) B/B B/B (Blanc) x N/N (Noir) N/B (bleu) à 100% Ceci cadre bien avec des poules

régulation ducycle cellulaire et son implication dans le processus de cancérisation. Dans le document 1, on peut voir que une cellule cancéreuse est la conséquence d'une succession de mutations d'un gène. Audépart, dans une cellule saine il y a un génotype dit « sain », mais tout à coup un gène va subir une mutation aléatoire et spontanée puis d'autres gènes vont également être touchés par des mutations quivont s’enchaîner. Les cellules touchées par ces mutations successives sont appelées « cellules

atteint peau * 10-20% : peau foncé ; 70-80% : claire * Algérie croise Belge : quantité responsable (pas propre à chq pop) il existera une continuité dans pigments de h, n'existe pas d'all absents (pop mondiale, qutt différentes) * génotype dans une pop h = mêmes all en qualité (N et B), mais pas en quantité, la fréquence est différente. Effet additif des all (+ ou -) : variabilité des phénotypes : hétérozygotes. Schéma représentant la courbe de la fréquence des allèles en fonction

inversement. On peut ainsi gène schématiser les chromosomes X et Y : chez la femelle il y aura donc 2 exemplaires du gène et 1 seul chez le mâle. X X X Y femelle mâle - Sachant que les P sont homozygotes pour le gène étudié, on peut donc écrire leur génotype : 1er croisement : Femelle [cv] Xcv//Xcv ; mâle [cv+] Xcv+//Y 2e croisement : Femelle [cv+] Xcv+//Xcv+ ; mâle [cv] Xcv//Y - Les femelles [cv] du 1er croisement ne produiront donc qu’un seul type de gamètes Xcv alors que les mâles en produiront 2

menées sur des animaux modèles ont permis d’identifier certains des gènes concernés et dont les protéines qu’ils codent interviennent dans la régulation de la sécrétion d’insuline. Facteurs environnementaux Chez des jumeaux vrais, donc de même génotype, lorsque l’un est diabétique, l’autre jumeau n’a que 40% de risque de l’être dans le cas du diabète de type 1, et 80% dans le cas du diabète de type 2. Cela signifie que le facteur génétique n’est pas le seul : l’environnement des individus, peut

- Exploiter le pourcentage de similitudes entre les séquences nucléotidiques des 4 gènes ; - Repérer les gènes ayant le plus de similitudes, puis ceux ayant moins de similitudes … ; - Montrer (donc expliquer) l’existence de différences, niveau génotype et phénotype moléculaire. Mise en relation avec les connaissances : 2 gènes ayant au moins 20 % de leur séquence nucléotidique similaires appartiennent à une famille multigénique et dérivent donc d’un gène ancestral par duplications/mutations

génétique associé à la méiose et à la fécondation sont des facteurs de diversités au sein d’une espèce L’évolution du vivant est due à des mécanismes de diversification du génome (mutations duplications de gènes) puis de sélection parmi la diversité des génotypes obtenus La biodiversité du vivant comprend la diversité des écosystèmes, la diversité des espèces et la diversité génétique au sein des espèces : ce sont les trois niveaux de la biodiversité. L’association entre les mutations et le brassage génétique

variété commerciale Les plantes transformées obtenues sont soumises à des croisements contrôlés pour étudier les modalités de transmission du nouveau caractère à la descendance. La transformation et la régénération étant des opérations délicates, le génotype de la plante choisie est celui facilitant ces étapes. C'est pourquoi les plantes retenues sont ensuite soumises à une succession de rétrocroisements afin d'introduire le gène dans la matérielle élite et d'obtenir de nouvelles variétés commerciales