Géométrie variable

I Logique et raisonnement VIII Combinatoire et probabilités II Calcul algébrique Mathématiques par Stéphane Perret Version 3.001 V Géométrie III Trigonométrie IV Fonctions VI Continuité, comportement asymptotique et dérivée VII Calcul intégral Table des matières I Logique et raisonnement principes de base de la logique Le principe de non-contradiction . . . . . . . . . Le principe du tiers exclu . . . . . . . . . . . . Les implications . . . . . . . . . . . . . .

nombre entier. Calculer le PGCD de 462 et 65. Que peut-on en déduire pour la fraction C =? Racines carrées et géométrie On donne AB =cm ; AC =cm et BC =cm.Démontrer que le triangle ABC est rectangle en précisant en quel point. Calculer, sous forme exacte simplifiée, l'aire du triangle ABC puis l'aire de son cercle circonscrit. Calcul littéral en géométrie (d'après Brevet des Collèges) Dans la figure ci-contre, AEFG, AHIJ et ABCD sont des carrés. Calculer AH en fonction

différence de leur carrés (a+b)(a-b)=a²-b² 4/Développer et factoriser Fonction 1978:225kg 1997:350kg 2004:350kg L'image de 1978 est 225kg 1997 est un antécédents de 350kg (l'autre est 2004) 1/Définitions A un nombre x appelé variable,une fonction f associe un nombre et un seul noté f(x) Graphique +formule 2/Fonction linéaire Une fonction linéaire est un procédé qui à tout nombre x fait correspondre un nombre ax ou « a » est un coefficient fixé. f(x)=ax =situation de

184 GÉOMÉTRIE 2 Repérage dans le plan Connaissances du collège nécessaires à ce chapitre ◮ Soustraire des nombres relatifs ◮ Utiliser le théorème de Pythagore ◮ Calculer une distance entre deux points sur un axe ◮ Calculer avec des racines carrées ◮ Utiliser les théorèmes des droites des milieux ◮ Reconnaître un triangle ou un quadrilatère particulier Des ressources numériques pour préparer le chapitre sur manuel.sesamath.net Auto-évaluation Calculer : C Calculer les distances : AB ; AC ;

Stéphane DRAY Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive Université Claude Bernard Lyon I, Bat G. Mendel 69622 Villeurbanne Cedex, FRANCE email : dray@biomserv.univ-lyon1.fr Résumé : L’identification de structures spatiales induisant plusieurs variables est une problématique récurrente dans de nombreux domaines d’application. Cet article présente quelques aspects permettant la prise en compte de l’espace lors de l’analyse de données multivariées. Une illustration basée sur des données socio-économiques

univ-lemans.fr/gmp/cours/rdmyd RDM - Ossatures Manuel d’utilisation Février 2001 Sommaire : pages Présentation Installer et configurer le logiciel 1 Rappels théoriques 3 Commandes utilitaires 17 Modélisation 19 Géométrie Repère local lié à une poutre Sections droites Bibliothèque de profilés Dimensions des sections droites Matériaux Changement de repère nodal Liaisons extérieures - symétries Liaisons intérieures : relaxations Définition des cas de charges

|Géométrie |** |* | |Suites |Récurrences |*** |** | | |Convergences |*** |** | |Probabilités |Dénombrement |** |*** | | |Variables aléatoires

Méthodes numériques 3 MAT 721 Algèbre non commutative 3 MAT 723 Topologie générale 3 MAT 728 Sujets choisis en algèbre 3 MAT 729 Algèbre commutative et géométrie algébrique 3 MAT 731 Groupes et représentations des groupes 3 MAT 736 Algèbre homologique 3 MAT 737 Surfaces de Riemann 3 MAT 744 Géométrie computationnelle 3 MAT 745 Analyse fonctionnelle I 3 MAT 748 Sujets choisis en analyse 3 Mise à jour le 01.05.2013 • doc_informatique – Page  MAT

est exactement démontrée. La géométrie, qui excelle en ces trois genres, a expliqué l'art de découvrir les vérités inconnues; et c'est ce qu'elle appelle analyse, et dont il serait inutile de discourir après tant d'excellents ouvrages qui ont été faits. Celui de démontrer les vérités déjà trouvées, et de les éclaircir de telle sorte que la preuve en soit invincible, est le seul que je veux donner ; et je n'ai pour cela qu'à expliquer la méthode que la géométrie y observe : car elle l'enseigne

d’intégrale, on aura besoin du changement de variables x = x(ξ η) et y = y(ξ, η), qui correspond donc à la transformation réciproque. Cette transformation étant affine, x(ξ η) est une combinaison linéaire des valeurs aux noeuds, i.e. des abscisses {xnq } des sommets de l’élément ek , et de même pour y(ξ, η). On a donc (5.10) dont l’expression de (ξ η) en fonction de (x, y) s’écrit : Exercice : montrer qu’en écrivant ces relations (5.13) en variable (x,y) on retrouve la relation (5.8) sur les