Gia Long

La personne âgée risque d’être atteinte de la maladie d'Alzheimer, de dépression et de perdre certaines de ces capacités cognitives. Il y’a alors diminution des performances de la mémoire immédiate, de la mémoire du travail, de la mémoire à long terme (mnésique) et de la mémoire épisodique. Cela s’en ressent d’ailleurs sur la vie quotidienne. La personne âgée n’est alors plus autant capable d’effectuer des opérations sur le court terme, tel que des mémorisations. La mémoire de travail

Troubles des gestes ou apraxie (difficultés à écrire, à boutonner sa veste, à utiliser des objets courants, à se laver...). - Difficulté à saisir les notions abstraites et à suivre un raisonnement. - Atteinte progressive de la mémoire à long terme (perte des souvenirs d’enfance et de l’âge adulte). - Changements d’humeur ou de comportement, parfois agressivité ou délire. - Changements de personnalité. - Perte progressive d’autonomie L'agressivité, n'a rien de pathologique

étudier le développement cognitif, il faut étudier l'attention mentale. Elle s'explique par quatre facteurs principaux dont trois sont indépendants du contenu : M - I et F. 1) Facteur M ou M. Capacity La capacité du sujet à activer en mémoire à long terme (MLT) les processus et les connaissances qui lui permettent de résoudre une tâche donnée. Il est conceptualisé comme une sorte d'énergie mentale. 2) Facteur I C'est la capacité du sujet à inhiber les processus ou les connaissances non pertinentes

leur donnent une cohérence et leur permet d’être exploitées et réutilisées au gré de nos besoins. Les spécialistes en sciences cognitives ne manquent pas de termes pour différencier les aspects très variés des processus mnésiques : mémoire à court et long terme, mémoire explicite et implicite, mémoire sensorielle, mémoire de travail, mémoire sémantique et procédurale… Ainsi, les informations qui nous parviennent ne sont pas déversées telles quelles dans une sorte de réservoir où nous irions puiser à

dans la région hippocampique : la zone mémoire du cerveau. Dans cette première phase de la maladie, environ 25% de l’hippocampe diminue en volume. Les neurones de la zone s’occupant de faire le lien entre la mémoire à court terme et la mémoire à long terme sont partiellement endommagés, la personne voit donc ses capacités de mémorisation légèrement diminuées : elle a des oublis bénins de noms ou d’évènements récents et présente des difficultés pour acquérir de nouvelles informations. Les troubles

IMMEDIATE : Dans la mémoire immédiate, votre esprit retient des informations pour quelques secondes ou quelques minutes. Une telle mémoire est fragile. LA MEMOIRE A LONG TERME : Elle implique les informations que vous retenez avec un effort parce qu’elles sont personnellement significatives ou importantes pour vous. La mémoire à long terme se subdivise en trois types : 1. Les mémoires épisodiques : Ce sont personnelles sur des expériences vécues à des moments précis. 2. Les mémoires procédurales

jamais si on ne fait pas un effort conscient pour s’en rappeler. Sa capacité de stockage est limité a environ 7 items. Encore une fois ici, la mémoire à court terme est ce qui va permettre le stade de rétention suivant, la mémoire à long terme. * Mémoire à long terme : Elle sert non seulement à emmagasiner tous les événements significatifs qui jalonnent notre existence, mais aussi à retenir le sens des mots et les habilités manuelles apprises. Sa capacité semble illimitée et elle peut durer

-CONRAD: démontre que le codage accoustique est dominant en mémoire à court terme. -BADDELEY: demontre que le codage est visuel/ auditif à court terme et sémantique à long terme. -POSTMAN ET PHILLIPS effet de position sérielle persiste sur les premiers items et disparait sur les derniers. Le 1er est donc en mémoire à long terme et le dernier en court terme. -ATKINSON ET SHIFFRIN: modèle de la mémoire à court terme le plus connu -MILLER ET CORSI: mesure l'empan mnésique (10 lettres qui

le résultat d’un hypothétique traitement de l’information. Une simple et techniciste mise en correspondance d’une tâche source avec une tâche cible n’est pas suffisante. Une utilisation réductrice de connaissances mécaniquement encodées en mémoire à long terme ne peut tout expliquer. Au-delà de l’isomorphisme des situations, il s’agit plutôt de parler de mise en contexte des connaissances construites (Jonnaert, 1996). La contextualisation des connaissances semble déterminante pour comprendre comment

à court terme : c’est la mémoire de « travail ». Elle est immédiate. Elle correspond à la capacité de retenir une information pendant quelques dizaines de secondes. Cette mémoire est parfaitement développée à la fin de la tendre enfance. Mémoire à long terme : c’est le stockage d’informations durant une longue période (si pas toute une vie). Elle concerne les souvenirs et les apprentissages. Cette mémoire continue sont développement après la tendre enfance, d’où l’amnésie infantile. * Mémoire