Gilpin

Froide (…) ». 169 Les mêmes arguments du néoréalisme concernant l’ordre qui sont reconstruits à la fin des années 1970 où les Etats-Unis ont tendu à rétablir son leadership, doivent être considérés en tenant compte de la conjoncture. Du reste, Robert Gilpin traitait la problématique de changement du système en établissant une corrélation entre l’ordre et le concept d’hégémonie au début des années 1980 où les Etats-Unis s’efforçaient de restaurer son hégémonie.170 D’après son approche de stabilité hégémonique

pas des économistes qui en sont les initiateurs mais des historiens, des politologues et des professeurs en sciences politiques. Selon R Gilpin, cette discipline s’intéresse à « l’interaction réciproque et dynamique dans les relations internationales entre l’accumulation de la richesse et la poursuite de la puissance ». L’EPI américaine Les chefs de file = Gilpin, Keohane et Nye. Pour eux, les Etats sont les acteurs dominants de l’économie mondiale. Les Etats exercent un pouvoir dit relationnel qui

conjoncture économique. Les EU peuvent feindre les règles s’ils ne sont pas d’accord avec les conseils des organisations. Le réalisme On passe d’une vision plutôt libérale dans le système international et à celle-là s’oppose une vision réaliste avec R. Gilpin = Ce qui compte pour les EU c’est leurs intérêts générales : Ce sont un « leadership prédateur » : ce qui compte pour l’Etat c’est de dominer et être en permanence au-dessus des Etats. Des règles sont misent en place qui lui sont favorables et les

pouvoir expliquer la stabilité économique et politique dans un univers réaliste et s'est très vite séparée en deux branches: la théorie de la stabilité hégémonique et la théorie des régimes internationaux. La théorie de stabilité hégémonique, dont GILPIN est le meilleur représentant, consiste à dire que la stabilité du système repose sur un hégémon, c'est-à-dire une nation dont le poids économique et politique est tel qu'elle impose ses préférences à toutes les autres. Cette théorie peut sembler intéressante

dans la population avant 1950 montrent que le taux de sevrage réussi était près de zéro, à tous les âges de la vie. En 1954, le taux annuel d'arrêt dans la population des jeunes adultes (20-34 ans) était de 0,25 %, et en 1983 d’environ 3 % (Pierce et Gilpin, 2001). Des données similaires existent dans de nombreux pays, mais d’un pays à l’autre, elles diffèrent par l'année du début de l'augmentation du taux d'arrêt et par l'importance de la croissance annuelle dans les taux d'arrêt. Les données émanant

économiques a pour effet de modifier la carte économique du monde, engendre des forces antisystémiques dont le résultat est de déstabiliser et d'éroder les régimes établis. 19 Le lecteur trouvera une présentation succincte de cette théorie dans Gilpin (1987) ainsi que dans Kindleberger (1989). C. Deblock et B. Hamel, “ Bretton Woods et l’ordre économique international ” 22 Le problème, et c'est en ce sens que cette théorie est critiquable 20, ce n'est pas tant le fait que seule une

durable dans une même entité. Attali semble croire au dépassement à long terme de la théorie réaliste des relations internationales. Il expose celle-ci pour expliquer les évolutions passées et présentes, notamment au travers de la théorie des cycles de Gilpin : une puissance s’installe, sa défense lui demande des dépenses importantes, ce coût entraîne un épuisement économique et son déclin, puis une guerre préventive ou défensive contre une puissance émergente. Même si l’hégémon l’emporte, elle est usée

Etats-Unis considèrent l’UNESCO comme une arène susceptible de favoriser leurs intérêts nationaux, un moyen permettant de maintenir leur hégémonie « grâce à la mise sur pied d’un ensemble de normes régulant l’ordre existant à son profit »6 (Robert Gilpin). Ainsi, toutes actions et choix politiques entrepris par les Etats-Unis à l’endroit de l’UNESCO sont à notre sens, motivés par la maximisation de leur puissance. Les moyens varient selon les circonstances, mais sont toujours habités par ce même dessein

les outils qu’ils vont mobiliser mais aussi par les visions du monde qui les soutendent : * Le premier courant est l’EPI Américaine : On l’appelle également approche réaliste ou néo réaliste, dont les représentants sont les suivants : Robert GILPIN, Robert KEOHANE, Joseph NYE. Ce premier courant va tenter d’analyser le rôle des Etats dans l’économie mondiale, ceux-ci exerçant un pouvoir relationnel car ils s’inscrivent dans un affrontement direct avec les acteurs. Il s’inscrit dans une perspective

grande variété de définitions du terme «développement», celle proposée par François Perroux (1966), pour avoir été reprise par PEARCE, David (ed), The Dictionary of Modern Economics, Campbrige, Massachussetts, The Macmillan Press, 1992, p. 104 ; GILPIN, Alan, Dictionary of Economic terms, London, Butter Worths, 1970, p. 65 ; The McGraw-Hill Dictionary of Modern Economics, Third edition, New York, McGraw-Hill Book Company, p. 99 ;AMMER, C. et Dean S. AMMER, Dictionary of Business and Economics, New