Gilpin

l’épi qui se construit sur le rejet de tout économisme et/ou sans référence explicite à un modèle économique particulier. Cette conception englobe des programmes de recherches très variés et divers qui vont du plaidoyer pour l’éclectisme scientifique [Gilpin : 2001] à la construction d’une épi qui se déploie dans le champ des sciences politiques — fusse comme alternative aux relations internationales standards (critique du réalisme et/ou du stato-centrisme). C’est ce qu’on décèle par exemple dans les

parce que nul Etat n’est censé obéir que dans les faits, certains Etats n’en obéissent pas moins à d’autres ou se comporte pour ne pas indisposer d’autres Etats. D’un point de vue historique : pas sûr que l’hégémonie aboutit à l’équilibre, selon Gilpin, 3 formes de contrôle ou types de structure ont caractérisé les systèmes I : 1. Impériale et hégémonique 2. Structure bipolaire 3. Equilibre multipolaire (3 Etats ou plus) Après une série d’enchaînement de ces trois structures à travers le

General. Atlanta. Office on Smoking and Health. Washington: US Government Printing Office. U.S. Dept. of Health and Human Services, National Cancer Institute (2008). The Role of the Media in Promoting and Reducing Tobacco Use. Edited by Davis R.M., Gilpin E.A. et al. NCI Tobacco Control Monograph Series, No. 19. Washington, DC. 24 | Marketing et publicité pour les produits du tabac – Nouveaux éléments Impressum Editeur © Commission fédérale pour la prévention du tabagisme (CFPT) Publikationszeitpunkt:

Robert Gilpin, Robert Keohane et Joseph Nye 2. La définition que donne 1 KEBABDJIAN Gérard, « De l’économie internationale à l’économie politique internationale » in Berthaud & Kébabdjian (dir.), La Question politique en économie internationale, Paris, La découverte, 2006. 2 Notons cependant que de nombreux auteurs en EPI, font de Raymond Aron un des pères du questionnement actuel puisqu’il fut un des premier à croiser les perspectives théoriques (sociologie, 35 Robert Gilpin de l’économie

réalisation de leur sécurité national et leurs intérêts économiques, l’équilibre du système international ne résulte pas d’un choix des états ni de la volonté de leur dirigeants, mais il est le fruit de la dynamique des conflits d’intérêt. Robert Gilpin : oppose les systèmes internationaux décentralisé et anarchique aux systèmes politiques centralisés et hiérarchisés. Considéré la société international comme un ensemble interdépendant domines par les jeux nationaux multiples, c’est la souveraineté

temps d’extinction. Le concept de métapopulation est donc étroitement lié avec les changements rapides d’effectif (population turnover), dont les phénomènes d’extinction et d’établissement de nouvelles populations en sont le moteur. Selon Hanski et Gilpin (1991), l’étude de la dynamique des métapopulations est essentiellement l’étude des conditions sous lesquelles ces deux phénomènes sont en balance, ainsi que les conséquences de cette balance. De nombreuses études ont examiné l’agencement en métapopulation

relations internationales, de leur anarchie que renforce la souveraineté de l'État définie comme absolue. La guerre existe parce que rien ne l’empêche. En 1959 il écrit L’homme, l’Etat et la guerre. * Robert Gilpin : En 1981 il a écrit La guerre et les changements dans la politique du monde. Gilpin intègre la dimension économique dans les relations internationales et la prend en compte comme un élément important. Pour lui la stabilité internationale n’est pas un équilibre de puissance mais unipolaire

objectif principal la sécurité.ce sont les grandes puissances qui structurent le système international, moins il y a de grandes puissances plus le système international est stable. La bipolarité est le système international le plus stable. Gilpin ( « Wat & change in world politics, 1981 »). Centre sur la notion d’éq , un éq stable l’est pour toujours, mais problème pour justifier un éq alors que le monde change et que tout éq ne dure qu’un temps. Il cherche à introduire la notion de changement

tentent néanmoins de les infléchir dans le sens de leurs intérêts. Pour ce courant doctrinal, réaliste, l'économie est subordonnée au politique. Le but ultime des Etats n'est donc pas la recherche du bien être matériel, d'où la remarque de Robert Gilpin: "la nature fondamentale des relations internationales n'a guère changé à travers les millénaires. Elles demeurent une lutte pour la richesse et le pouvoir entre des acteurs indépendants dans un état d'anarchie"53. Le rappel de ces différentes

dans les théories des relations internationales (ci-après RI) que dans les théories de la sécurité (ci-après TS). Cette période est marquée par le succès des théories de l’interdépendance et des approches de « politique économique internationale » (Gilpin, Keohane, …)13. La dernière période vient à peine de débuter et a été inaugurée par des écrits postpositivistes remettant en question la pertinence des approches traditionnelles en sciences politiques. - Parmi ces nouvelles approches, on peut