Gilpin

ils font l'analyse de la configuration stratégique mondiale bipolaire, ils balaient la nature humaine. C’est la logique des dominants. Ils se demandent comment calculer les rapports de force, avoir une lecture fine de la possibilité d'équilibre. Gilpin prend en considération l'économie absente pour les réalistes   Les libéraux : un courant hétérogène Ils prennent au sérieux ce qui se passe à l'intérieur de l'Etat comme par exemple la politique commerciale Question de l'immigration : ils montrent

structure se réfère à la répartition du pouvoir entre les États. Ainsi, un monde soumis à l'influence d'une grande puissance est unipolaire, à deux principales puissances est bipolaire, et à trois ou plus est multipolaire. Les 3 formes (K. Waltz et R. Gilpin) : 1) L'hégémonie 2) La bipolarité 3) La multipolarité Trois thèses sur l'origine des R.I. 1) Le domaine de R.I. est aussi vieux que l'humanité elle-même, car il étudie la politique entre les unités du système au niveau mondial. 2) La formation

Les auteurs et théoriciens principaux soutenant l’économie de marché L’économie de marché ayant pour fondement le libéralisme économique, elle s’appuie donc sur les écrits d’auteurs tels que Smith ou Ricardo ainsi que des auteurs plus modernes Gilpin (professeur université de Prinxton), Roger Guesnerie (historien français) Warlas(théorie de l’équilibre comme meilleur moyen de parvenir à l’équilibre « prix » sur un marché). 1.1.3) Le fonctionnement de l’économie de marché -Le fonctionnement

qualité donnée entre des valeurs représentatives d'une part du coût intrinsèque ( prix de revient ) mais aussi d'autre part de la valeur d'échange ( prix relatif, c'est-à-dire du prix d'un produit ou d'un service par rapport aux autres) . Pour Robert Gilpin la dynamique de l'économie de marché fait intervenir également d'autres facteurs comme la concurrence et l'aptitude à la survie des acteurs dans l'activité économique N 1. Cette dynamique propre au marché1 représente un facteur très positif pour

parfaitement différentes 10 . En réalité, les courants fondés sur des hypothèses identiques, qui composent l'EPI orthodoxe ne s'opposent pas, ils se complètent. Distinguons trois courants de l'EPI orthodoxe : le néoréalisme de K.N. Waltz et de R. Gilpin, l’institutionnalisme libéral américain qui comprend la Théorie des Régimes Internationaux de S.D. Krasner et les travaux de O.R. Young et de J.G. Ruggie et l'École de l'Interdépendance Complexe de J.S. Nye Jr et R.O. Keohane (ou le Structuralisme

canonique de ce qu’est l’EPI est donnée par Robert Gilpin selon lequel elle traite de « l’interaction réciproque et dynamique dans les relations internationales entre l’accumulation de la richesse et la poursuite de la puissance ». Ces interactions sont le plus fréquemment envisagées sous l’angle de l’opposition entre l’Etat (associé au phénomène de puissance) et le marché (associé à la création de richesse). En effet, toujours selon R. Gilpin, « dans le monde moderne, l’existence parallèle et

économie de marché, vu que ce dernier est doté de mécanismes de correction automatique des déséquilibre. L’économie de marché se repose sur la liberté de l’change des biens, des services et des capitaux sur une base des prix relatifs. Pour Robert Gilpin la dynamique de l'économie de marché tient non seulement aux prix relatifs mais également à l'importance accordée à la concurrence et à l'efficience dans l'activité économique. Cette dynamique[] favorise la croissance économique et l'extension géographique

spécifique à la société internat. En France, ARON ; aux EU, KISSINGER ;en GB, MORGENTHAU. Face aux critiques, ce courant a essayé de se moderniser : dès la fin 70s, naissance d’un courant néo-réaliste. On essaie d’enrichir la théorie réaliste avec GILPIN. Cela s’est manifesté par l’acceptation d’un certain nombre de facteurs autrefois ignorés (ex : rôle de l’opinion publique). Ce courant reste toujours très dynamique ; il s’est modernisé mais ne renonce pas à l’idée que les Etats sont les acteurs

États. » La capacité de chaque État de réaliser ses préférences dépend donc de la configuration des préférences de l’ensemble des États. CHAPITRE III: LE NÉORÉALISME Kenneth Waltz, Theory of International Politics, McGrawhill Inc, Robert Gilpin, War and change in World Politics, 1981, Cambridge University Press John Mearsheimer, The Tragedy of Great Power Politics, 1997, Colombia University Press, Republished 2001, New York, Norton 16 mars 2011 Comme son nom l’indique, le néoréalisme

indication of hegemonic decline (Cohn 2000, 362). Although the liberal approach to IPE has at its core a set of principles for “organizing and managing a market economy in order to achieve maximum efficiency, economic growth, and individual welfare” (Gilpin 1987, 27) to which the US strongly adhered to in the aftermath of World War II, this is in stark contrast to the Bretton Woods conference. Indeed, its initial success was largely put down to the recognition that liberalization of markets brought negative