Gilpin

Équilibre des puissances évite conflits généralisés. Pas état de paix ms ordre et stabilité internationale. K. Wanz (l’H, l’État et la G) : état de G ne provient pas de la nature humaine ms de la structure des RI. G existe car rien ne l’empêche. O. Gilpin 1981 la G et les changements ds la politique du monde éco est élément de respect des États (pr Morgenthau, éco intéressant slt du pt de vue militaire). Stabilité internationale  éq. des puissances Ms 1 puissance hégémonique (ex : paix romaine).

(Australie ),Association Endemia (Territoire de Nouvelle –Calédonie) ,Luc Jacobs (Belg. ),NYC Herper (USA),Karen Bardet (FR),Jean-Pierre Macé et l’AFT (FR) ,Kelly Hammack (USA),Robin Swoboda (Allemagne ),Crested Lady Inc.(USA) ,Deviese from UK,Andrew Gilpin de LAC Herps (USA),Antonin Dhellemme (FR),Peter Alexander et Nathan Hall de geckos unlimited (USA),Baby_Glass (UK),Sylvana Testa (CH) ,www.batraciens-reptiles.com , 4 Jan Stenicka (Rep. Tchèque ) ,Sune Jensen (DK),Frédéric Cavy (FR) ,Aurélie

elsewhere. It would be a mistake to assimilate the distinctions I have drawn among conceptions of normative international political theory to another tripartite distinction among approaches to the empirical study of international relations. As Robert Gilpin argues, international politics can be studied from "mercantilist," "liberal," or "Marxist" perspectives.2 But it is not necessary (although it may often be true) that "mercantilists" also be skeptics, or "liberals" statists, or "Marxists" cosmopolitans

MONDIALE 233 comme incontrôlables (Ohmae, 1990 et Reich, 1993). Le deuxième montre, à l’inverse, que les États sont loin d’avoir perdu leur pouvoir et restent les principaux producteurs des normes permettant à la mondialisation de fonctionner (Gilpin, 1987, Gilpin, 2001, Krasner, 1994, Boyer et Drache, 1996, Lorot, 1997 et Kébabdjian, 1999). La réflexion sur la gouvernance mondiale se concentre alors sur la coopération interétatique, les organisations internationales et la meilleure façon de les rendre

will calculate the need for preventive action. Failing that, the challenger will opt for a war to displace the current leader. Perhaps the best (and best-known) work in the rise and fall tradition is Robert Gilpin’s War and Change in World Politics. Gilpin (1981: 7) suggests that ‘the fundamental nature of IR has not changed over the millennia. International relations continue to be a recurring struggle for wealth and power among independent actors in a state of anarchy.’ Domestic and international

d’apprécier à sa juste valeur la genèse des formes (du fait de la succession des pratiques façonnant le paysage, laissant sans discontinuer des empreintes, perpétuellement remaniées et transformées...). 4. M. Conan, introduction à son édition de W. Gilpin, Trois essais sur le beau pittoresque, Paris, 1982. Paysages 13 Le paysage se révèle comme un palimpseste, sur lequel les acteurs sociaux de diverses époques n’ont cessé d’apposer leur marque, tout en héritant des cadres formels antérieurs. Aussi

(Introduction à la géopolitique). Moscou : Logos. Géré, François. 2002. Pourquoi les guerres ? Un siècle de géopolitique. Édition Larousse en partenariat avec Courrier International, Collection 20/21 (mars). Gilpin, Robert. 1975. U. S. Power and the International Cooperation: the Political Economy of Foreign Direct Investment. New York : Basic Books. Gounelle, Max. 2001. Relations internationales. Paris : Dalloz. Griffin, Nicholas. 2001.

politique, Paris, Dalloz, 2003, 872 pages Fukuyama Francis, D'où viennent les néo-conservateurs, Paris, Grasset & Fasquelle, 2006, 91 pages 79 Gardner Hall, American Global Strategy and the War on Terrorism, London, Ashgate Publishing, 2005, 231 pages Gilpin Robert, War and Change in World Politics, Cambridge, Cambridge University Press, 1981, 288 pages Guyatt Nicholas, Another American Century: the US and the World Since 9/11, Zed Books, London, 2004, 320 pages Haass Richard, Intervention: The Use of

sont et seront toujours déterminants (Gilpin, 2000). D’une part, aucune puissance ne va renoncer aux questions aussi vitales que la distribution des richesses, le développement industriel, l’autonomie économique, la sécurité, etc., au seul profit de l'économie globale. D’autre part, si les deux forces motrices de l'économie globale sont l'efficacité économique et les ambitions nationales, la seconde demeure du point de vue de sa stabilité, la plus importante (Gilpin, 2001). 256 Deuxièmement, l’économie

positionne par rapport à lui. Les étudiants pourront consulter à ce propos l’article très polémique qu’il a rédigé sur cette question : Jeffrey W. Legro & Andrew Moravscik, Is Anybody Sill a Realist ?, in International Security, 24 : 2, Fall 1999. 27 R. Gilpin, The Political Economy of International Relations, Princeton, Princeton University Press, 1987. L’auteur y analyse l’influence respective du pouvoir politique et des mécanismes économiques sur la stabilité de l’ordre international. 28 Susan Strange