Giorgio Vasari

Schématiquement, l'histoire de l'art telle qu'on l'a conçue de la Renaissance - depuis Giorgio Vasari et sa Vie des Artistes célèbres (Le Vite), en passant par le xviiie siècle de Johann Joachim Winckelmann jusqu'au xixe siècle hégélien - est l'histoire d'un progrès de l'art. L'art est supposé passer d'un stade archaïque à un stade classique, avant de tomber en décadence. Les arts grec et romain sont présentés en exemple de cette courbe de développement. Pour l'art grec, la notion d'art

(1396-1472) Andrea Palladio (1508-1580) Giulio Romano (1499-1546) Raphael Sanzio (1483-1520) Antonio da Sangallo le Jeune (1484-1546) Giuliano da Sangallo(1445-1516) Jacopo Sansovino (1486-1570) Santi Gucci (1530-1600) Mimar Sinan Giorgio Vasari (1511-1574) XVI-XVII BAROQUE : Rome-Italie (mantoue, venise, florence) – barroco « perle irreguliere » exageration mvmts, surchage deco, effets dramatiques, bizarre, inégal « ovale remplace cercle » _ + couleurs, lignes, courbes

Fiche de synthèse de la vie des peintres: Fiche 1: ( les grands cycles de peinture): au début du 16e siècle, la peinture italienne confirme son penchant pour la fresque. Le grand Giorgio Vasari disait qu'un artiste ayant une expérience pour faire des fresques était un grand peintre. Nous savons qu'en 1527, Rome est un creuset pour les artistes, comme Lotto et d'autres vont amener leur savoir et leur style de peinture, à Rome. Ce sera le naissance du maniérisme. Les peintures qui appartiennent

Pierre Paul Rubens {text:bookmark} [4]. Un feu utilisé pour sécher plus rapidement la peinture ou la qualité du matériel semblent être à l'origine de l’altération de l'œuvre, laquelle a par la suite probablement été recouverte par une fresque de Giorgio Vasari {text:bookmark} [22]. Léonard est consulté à plusieurs reprises comme expert, notamment pour étudier la stabilité du campanile de San Miniato al Monte et lors du choix de l’emplacement du David de Michel-Ange {text:bookmark} [22] où son avis

et aurait donc pu rencontrer le peintre, et avant son départ pour Milan en 1507 où il rejoint Louis XII de France pour qui il devient ordonnateur des fêtes données dans la capitale lombarde . Rien ne permet d’être affirmatif d’autant que Giorgio Vasari un autre peintre de la Renaissance, écrira cinquante ans plus tard sans ajouter plus de précision que Léonard de Vinci mettra quatre ans avant d’achever sa pei nture. Pourtant comme nous le disions les dimensions ne justifient pas une

Au xxie siècle, elle est devenue l'objet d'art le plus visité au elon l'hypothèse admise depuis Giorgio Vasari, le modèle s'appellerait à l'origine Lisa Del Giocondo, née Lisa Maria Gherardini en mai 1479 à Florence (Toscane). Issue d'une famille modeste, elle épousa à 16 ans le fils d'un marchand de soie, Francesco di Bartolomeo di Zanobi del Giocondo. Déjà veuf à deux reprises, Giocondo a 19 ans de plus que Lisa. Elle lui donna trois enfants, Piero Francesco — né en 1496 — une fille au prénom inconnu

surtout employée au niveau des yeux dans la mise en ombrage. La qualité de la peinture est sans doute liée au fait que l'artiste a subtilement ombré les coins de la bouche et des yeux, afin que la nature exacte du sourire ne puisse être iddentifiée Giorgio Vasari a écrit que « le sourire est si agréable qu'il semble divin plutôt qu'humain ; ceux qui l'ont vu ont été très surpris de constater qu'il semble aussi vivant que l'original ».

avec la longue tradition byzantine qui depuis la fin du monde romain marquait de sa forte empreinte, l’art de la péninsule. Giotto di Bondone naît en 1267 dans le village de Vespignano, près de Florence. Son père, Bondone, est un petit paysan. Giorgio Vasari, l'un des premiers biographes de Giotto, raconte comment Cimabue, le célèbre maître florentin, découvre les talents de Giotto : voyant un jour le jeune garçon de 12 ans esquisser une des chèvres de son père sur un rocher plat, il fut tellement

classique avaient commencé à se faire jour dans l'art romain. Le Pontormo, le Parmesan et le Rosso Fiorentino, qui comptent parmi les premiers maniéristes, donnent naissance à un style qui trouvera sa plus parfaite expression dans l'œuvre de Giorgio Vasari et de Jean de Bologne. Le maniérisme est un mouvement qui prise des formes très raffinées de grâce et d'élégance - la bella maniera. l'individualité de l'artiste : pleine expression dans les dernières œuvres de Michel-Ange. On se mit à mesurer

nouvelles, que, certains jours, il peint de l'aube au Crépuscule sans même s'arrêter pour manger, et puis ne peint plus les trois ou quatre jours suivants. Selon Vasari, cela provoque l'incompréhension du père supérieur, le prieur, qui chasse le peintre, jusqu'à ce que Léonard demande au duc de Milan Ludovic sforza d'intervenir. Vasari décrit également comment Vinci doute de sa capacité à peindre proprement les visages de Jésus et de Judas, disant au duc qu'il a peut-être utilisé le moine pour modèle