Giraudoux Langage Poetique Electre

malheureux jardinier s’est vu enlevé Électre, qu’il s’apprêtait à épouser, par un étranger qui n’est autre qu’Oreste. Son discours est rempli de paradoxes étranges: c’est l’ironie d’un désespéré qui s’efforce par la magie des mots, de changer la réalité selon ses désirs. On pourra analyser successivement : I. Une ironie amère, II. Une manière de refaire le monde. 1. Une Ironie Amère La tristesse du jardinier est évidente: il aimait Électre et se lamente de l’avoir perdue

vivre, de bonnes manières et dresse un portrait du type même du causeur pervertit par l’orgueil et la fatuité. Le dénouement donne raison à la discrétion et à l’authenticité contre le paraître. Arrias est pris à son propre piège qui est celui du langage. La force du texte vient de la mise en scène que la bruyère propose et qui devient une mise en pièce du personnage sans que la morale soit dite. La fontaine, La besace 1. Un récit alerte 2. La critique des animaux 3. La moralité Au 17e s, la littérature

GIRAUDOUX, Electre ; I, 1 Cette scène d’exposition répond-elle aux attentes du genre ? Qu’est ce qui fait l’originalité de cette scène d’exposition ? Quelle est la fonction de cette scène ? Cette scène d’exposition vous semble-t-elle plutôt traditionnelle ou originale ? Cette scène d’exposition vous semble-t-elle représentative du reste de la pièce ? Le problème du genre : la scène annonce-t-elle une tragédie ou une comédie ? GIRAUDOUX, Electre ; I, 4 Que dire des rapports

Acte II "Après trois mois de lune de miel", une cérémonie est organisée pour présenter Ondine à la cour. Un illusionniste présente un spectacle mettant en scène Ondine, Hans et Bertha. Le chambellan entreprend d'éduquer Ondine au langage de la cour et ne réussit à obtenir d'elle que des témoignages de franchise qui lui assurent la sympathie amusée du poète et de Bertram mais agacent Hans. Ondine reconnait le roi des Ondins sous le déguisement de l'illusionniste et lui demande de faire

Exposé sur Electre de Giraudoux Acte II, scène 7 : de wikipédia : Acte 2 scène 7Électre fait comprendre à Égisthe et à Clytemnestre qu'il s'agit là de valeurs universelles telles que la liberté, la justice et bien sûr la fraternité. Pour Électre, Égisthe n'a toujours pas payé sa dette et la défense des valeurs matérielles ne saurait s'effacer devant les valeurs morales. La métamorphose d'Égisthe : une transfiguration Jusque alors, son image est peu reluisante puisque, pour son entourage

Jean Giraudoux est né en 1882 à Bellac dans le Limousin. Il a fait ses études à Châteauroux, puis à Paris. Il s’intéresse à la littérature allemande. Il a été mobilisé pendant la première guerre mondiale en 1914, il a été blessé deux fois. Cette expérience difficile lui a inspiré sa première œuvre, « Lecture pour une ombre » de 1917. En 1927, il rencontre le comédien et metteur en scène, Louis Jouvet. C’est à partir de ce moment qu’il va commencer à écrire des pièces de théâtre. Il écrit donc «

bourgeois et qu’il est manipulé par Tartuffe * Mme Pernelle : on a un autoportrait à travers son langage, ses paroles, son comportement. Elle est autoritaire avec des impératifs : « allons, […] allons » (l.1) ; « laissez […] laissez ; ne venez pas » (l.3). Elle a un franc-parler : « je vous parle un peu franc » (l.39) ; « je ne mâche point ce que j’ai sur le cœur » (l.40). Elle utilise un langage populaire et a recours à des proverbes : « la cour du roi Pétaud » (l.12) ; « comme on dit, pire eau

Sujet 1: I. Le théâtre est « le pays de l’irréel » : tout y est fait d’artifices et de conventions. - le comédien qui feint l’émotion - le langage qui est inventé par l’auteur - le décor et les objets qui sont symboliques II. Cependant, le théâtre porte à la scène les rêves du spectateur dont le « cœur humain » se cherche. Paradoxe : c’est dans un lieu où tout renvoie au déguisement que la vérité se dévoile. III. Conséquences de ce double aspect du théâtre (réel et irréel) : - la variété des

est il plus efficace de défendre une cause ou de dénoncer une injustice à travers une fiction ou à travers u ne argumentation directe? I) les plaisirs de la fiction II) Instruire III) Eloge du langage indirect Vous ferez un plan détaillé. 1. Le goût pour les histoires L’œuvre de fiction satisfait le goût pour les histoires. Le lecteur s’intéresse aux personnages, aux rebondissements de l’action, il se laisse prendre par le plaisir du « divertissement » de la lecture ou du spectacle : Candide

Jézabel, pendant le songe d'Athalie. Boileau veut des personnages grands et sans faiblesses. Ils doivent également être fidèles à eux-mêmes et ce jusqu'à la fin de la pièce. Ils ne changent pas d'avis et assument leur destin. Leur langage doit être adapté à son rôle : poétique et travaillé. Ce qui me paraît le plus important, c'est de remarquer que Boileau est le premier à véritablement définir les règles de la Tragédie. Il est une des figures clé de la théorie dramatique, et inspirera nombre de ses