Glaucon

réfractaires ne quittent pas la discussion et complète le processus.« 1. Glaucon, fils d’Ariston, s’essayait à haranguer le peuple, alors qu’il n’avait pas encore vingt ans, et il avait l’ambition de diriger la politique d’Athènes. Aucun de ses parents ni de ses amis ne pouvait l’en détourner, bien qu’on l’arrachât de la tribune et qu’on le couvrît de huées. Socrate, qui lui voulait du bien, à cause de Charmidès, fils de Glaucon, et à cause de Platon, parvint seul à le faire renoncer à ses prétentions

Livre VI Introduction: Situation: Socrate et Glaucon terminent un entretien ayant eu pour objet la distinction entre un philosophe et celui qui ne l'est pas. Dans quel but? But: Le philosophe apparaît comme celui qui est apte à veiller sur les lois de la cité, autrement dit, à être le gardien de la cité. Complément de l'entretien précédent: Le naturel philosophe ou les 4 vertus du philosophe. L'intervention d'Adimante : I) L'objection d'Adimante: - expression de l'embarras éprouvé par ceux qui

Introduction Platon, philosophe grecque, est né vers 427 avant Jésus-Christ. Fils de Codros et de Périctionè, il faisait parti d’une famille. Deux de ses trois frères, Adimante et Glaucon, sont des interlocuteurs dans La République. Peu après la naissance de Platon, son père mourut. Son éducation n’en fut pas moins mauvaise. En effet, grâce à sa situation sociale, il reçut l’éducation traditionnelle. Le jeune Platon reçut deux pris aux jeux olympiques. Bref, il appartenait à l’élite de la société

faire? Je lui répondis, Je fais du coloriage. Pourquoi donc pas , j’irais au magasin, prendre des cure dents en chocolat? Cela existe-il ? dis Glaucon avec son air de chameaux . Bien sur que oui répondis Lachès, ce serais dommage d’avoir un balai entre les doigts. Mais voila que Hitler arriva et le chatouilla avec sa moustache . Hummm bidule dit Glaucon . Tu m’a l’air très innopiné! Je sais que j’ai une geule de con mais morphée te dira le contraire. Cours vite forest, peter pan t’attend. A l’abordage

sophistes sur la justice. Socrate parvient à montrer qu’il faut reprendre la question de la justice pour la définir. Qu’est ce que la justice ? (Livre II à IV) Les deux interlocuteurs de Socrate seront Glaucon et Adimante et ce jusqu’à la fin du dialogue Reprise de la thèse de Thrasymaque par Glaucon et Adimante. La thèse de Thrasymaque : « Nul s’il est assuré qu’il est impuni ne résistera à la tentation de commettre l’injustice ». Mythe de l’anneau de Gygès : Si on a l’impunité, commet-on l’injustice

modèle qui pousse l’interlocuteur à réfléchir, Socrate peut alors éviter de lui imposer son point de vue en lui posant de simples questions. Questions qui donneront naissance à des connaissances au bout du compte. Ce dialogue a lieu entre Socrate et Glaucon. Le concept d’imitation, c’est-à-dire de Mimésis proposé par le texte étudié est un sujet important chez Platon car il s’articule sur l’opposition entre le monde sensible et le monde intelligible. L’art, dans sa définition populaire, signifie quelque

mais qu'il n'a pas satisfait Platon, le décidant à approfondir sa réflexion sur la justice, donnant ainsi le jour aux autres livres de La République. Socrate évoque une discussion qui eut lieu la veille chez Polémarque, fils de Céphale, entre lui, Glaucon, Thrasymaque, Adimante et leurs deux hôtes. Le vieux Céphale est interrogé par Socrate sur la manière dont il supporte la vieillesse. Céphale répond que la vieillesse est supportable et douce si l'on a vécu suivant la justice, en étant loyal et sincère

Céphale de Syracuse et son fils Polémarque, Glaucon et Adimante les frères de Platon et l’homme politique athénien Clitophon. Le livre de La République est en fait organisé en 10 livres dans lesquels Platon présentent les différentes caractéristiques de sa cité idéale. Cela passe par la place des philosophes dans cette cité, à la conception de la subjectivité en passant par l’éducation des enfants. Livre I : Socrate, Glaucon et Adimante rentre à Athènes depuis le Pirée

définitive elle n'est pas à proprement parler un bien et que tout bien peser il vaudrait mieux être injuste que juste ? C'est chez Platon que l'on trouve l'expression la plus radicale de cette perspective dont le dialogue entre Socrate et Glaucon (livre II république). Glaucon est convaincu que la justice est bonne en elle même mais il n'a jamais entendu aucune argumentation satisfaisante en faveur de cette opinion, et comme par ailleurs il constate que la plupart des hommes pensent autrement, il aimerait

Socrate, Glaucon, Polémarque, Thrasymaque, Adimante, Céphale. Lieu Le dialogue a lieu dans la maison de Céphale (de Kephalé la tête en grec ancien). Analyse de l’œuvre Livre I On dit que ce livre a été écrit antérieurement aux autres, mais qu'il n'a pas satisfait Platon, le décidant à approfondir sa réflexion sur la justice, donnant ainsi le jour aux autres livres de la République. Socrate évoque une discussion qui eut lieu la veille chez Polémarque, fils de Céphale, entre lui, Glaucon, Thrasymaque