Glaucon

Par hasard,il se rendit compte que cet anneau pouvait le rendre invisible. Aussitôt, le berger séduisit la reine de la Lydie et tua le roi afin de s'emparer du pouvoir. Ce mythe de Gygès a pour fonctiond'illustrer l'explication, la réflexion de Glaucon sur la justice et l'injustice qui suit dans la deuxième partie du texte. Que fait le berger ? Pourquoi ? 3° Gygès profite du pouvoir trèsparticulier que lui confère l'anneau : devenir invisible. Ainsi, il devient injuste en possession de cet

éthique et politique sur la société . ******************************************************************************************************** Texte 1 : Platon, La République, Livre III(Dans ce passage, Socrate s’entretient avec son disciple Glaucon du mode de vie des gardiens, dans la cité idéale)- Mais en plus de cette éducation, quelqu’un de sensé dirait qu’il faut aussi que leurs habitations et tout le reste de leurs possessions soient de nature à ne pas les empêcher d’être les meilleurs

le feu et les prisonniers passe une route élevée ; imagine que le long de cette route est construit un petit mur, pareil aux cloisons que les montreurs de marionnettes dressent devant eux, et au-dessus desquelles ils font voir leurs merveilles. GLAUCON : Je vois. – Figure-toi maintenant le long de ce petit mur des hommes portant des objets de toute sorte, qui dépassent le mur, et des statuettes d’hommes et d’animaux, en pierre, en bois, et en toute espèce de matière ; parmi ces porteurs, les uns

le feu et les prisonniers passe une route élevée : imagine que le long de cette route est construit un petit mur, pareil aux cloisons que les montreurs de marionnettes dressent devant eux, et au-dessus desquelles ils font voir leurs merveilles. Glaucon : -Je vois cela, dit-il. S- Figure-toi maintenant le long de ce petit mur des hommes portant des objets de toute sorte, qui dépassent le mur, et des statuettes d'hommes et d'animaux, en 515 pierre, en bois, et en toute espèce de matière ; naturellement

préambule. Essentiellement, Socrate est retenu au Pirée, la banlieue d’Athènes, après une journée de festivités et il accepte d’y passer une soirée à souper 4 en compagnie d’un certain Polémarque et ses invités. Parmi eux, Céphale, Thrasymaque, Glaucon, Adimante, et un certain Clitophon. Socrate, étant fidèle à sa réputation, commence à interroger les convives. Le premier interrogé est Céphale, un vieil homme respectable, riche et cultivé. Il répond à des questions de Socrate sur son rapport

L’allégorie de la caverne est un écrit du 5e siècle av. J.-C. On y retrouve un dialogue entre Platon et son disciple Glaucon. Platon utilise la maïeutique, pour susciter la réflexion intellectuelle chez son disciple. Ce grand philosophe grec puise sa connaissance interne reçue de son maitre Socrate. À partir de cet écrit, Platon nous fait visualiser des prisonniers dans une caverne souterraine où l’entrée est ouverte à la lumière. Ces condamnés sont enchainés depuis toujours, de sorte qu’ils ne

l’injustice ainsi que le choix qu’un homme doit faire pour être heureux. Sans oublier si cet homme échappera au jugement des dieux et finalement, où résident la justice et l’injustice… Tout d’abord, Socrate nous présente au cours de ces discussions avec Glaucon et Adimante plusieurs concepts intéressants. Un de ces concepts fait mention de la cité, selon Socrate la cité serait divisée en trois classes. La première étant les paysans et marchands, la deuxième serait les guerriers et finalement les dirigeants

confronter deux thèses dans ce dialogue : la cité idéale (la sienne, défendue par Socrate) et la cité réaliste (défendue par Glaucon). Pour Socrate, l’homme est capable de sagesse et il peut aimer profondément la justice. Au contraire pour Glaucon, la nature humaine est immuablement cupide et égoïste parce que tous les hommes ne veulent qu’assouvir leurs désirs. Pour Glaucon, les hommes vivent les lois comme de redoutables contraintes : ils les acceptent uniquement car ces lois les préservent des

juste et impartiale. Ainsi si on désobéit à ces principes moraux, la sanction n’est pas juridique mais personnelle (culpabilité) et sociale (désapprobation/ostracisme). PLATON, dans Gorgias et La République, met en scène le personnage de Glaucon face à Socrate. Glaucon affirme que nul n’obéit à la loi par obligation mais seulement par contrainte (cf mythe de l’anneau de Gygès). Socrate lui répond que l’Homme obéit à ce qui est juste par cohérence à soi-même et à sa vertu morale de justice : “Mieux vaut

Introduction : défi lancé à Socrate et méthode pour le relever (357a-369b) 1. 1. (Socrate) La justice fait partie des choses désirables en elles-mêmes et pour leurs conséquences (357a- 358a) 1. 2. Relance de la thèse de Thrasymaque par Glaucon et Adimante : 1. 2. 1. (Glaucon) : l’Anneau de Gygès (358b-362c) 1. 2. 2. (Adimante) : Ce qui importe ce n’est pas l’être mais le paraître (362d-367e) 1. 2. 3. Défi lancé à Socrate : montrer que la justice est bonne pour son possesseur (367c-e) 1. 3. Méthode proposée