Glaucon

expose à l’aide d’image la pénible accession des hommes à la connaissance de la réalité, ainsi que la non moins difficile transmission de cette connaissance. Dans ce texte Platon se sert de son maître Socrate qui raconte un mythe à Glaucon. Socrate demande à Glaucon de s’imaginer une grotte, en forme de caverne, des hommes sont enchaînés et ne peuvent pas bouger. Ils ne voient que la façade du mur devant eux. Ils n'ont jamais vu la lumière du jour, si ce n’est que la vision de faibles rayons qui

gouverner au-dessus des lois. Référence sur la question de la Justice , Platon, dans La République : L’interlocuteur de Socrate, Glaucon raconte l’histoire du berger Gygès, qui , ayant trouvé un anneau magique qui le rend invisible, en abuse pour séduire la reine de Lydie et tuer le roi pour prendre sa place. Cet anneau donne le pouvoir d’accomplir tous ses désirs. Glaucon croit que chacun agirait comme Gygès s’il possédait cet anneau. La justice n’est alors que le résultat du regard des autres : nous

tient sa propre origine de Nélée et Poséidon. Solon eut un frère du nom de Dropidès qui eut un fils nommé Kritias, qui lui-même eut un fils qui s’appela Kallaischros, père de deux enfants, Kritias et Glaucon. Ce dernier fut lui-même le père de Charmide et Periktionè, mère de Platon ainsi que de Glaucon, d’Adimante et de Potonè qui engendra Speusippe[2]. En ce qui concerne la généalogie paternelle, elle est beaucoup moins détaillée, il s’agit juste de souligner là aussi un lien mythologique avec Poséidon

leurs conséquences positives 2.Biens à rechercher en soi 3.Biens à rechercher en soi et pour leurs conséquences positives Deux autres conceptions que Platon tente de rejeter: 1.Thrasymaque: La justice est l’intérêt du plus fort 2.Glaucon: La justice comme compromis bâtard, une série de conventions - Légitime et arbitraire ex l'esclavage ( bon à une époque, mais pas dans un autre) -Référence à l'anneau de Gygèse : Un homme n'utilisera pas l'anneau pour la justice, mais par intérêt

animées, véhiculées par différents médias. Mais ces images traduisent-elles la réalité du monde qui nous entoure ? Cette interrogation n’est pas nouvelle, elle sous-tendait déjà le mythe de la caverne de Platon où Socrate démontre à son disciple Glaucon que l'on n'a du monde que des images (les « ombres ») personnelles limitées par ses propres moyens d'accès à la connaissance du réel. La représentation visuelle, qui passe par la perception visuelle, est le fruit d’une construction cérébrale.

L’allégorie de la caverne de Platon est une situation imaginaire racontée au cours d’un dialogue ( « La République ») également imaginaire, et ici entre deux personnages: Socrate et Glaucon. Socrate imagine des êtres enchaînés dans une caverne de manière à ne pouvoir voir que le fond de celle-ci. Ils ont toujours vécu ainsi et n’ont jamais perçu de ce qui se passe plus haut, près de l’entrée, que des ombres projetées et des bruits renvoyé par le mur situé au fond. Et pour eux la « réalité », ou

segments de taille différentes, comme Glaucon n'est pas sur de son savoir, socrate au début du L7 a recours a une allégorie : la représentation d'une idée abstraite par une réalité concrète, dont la signification est explicitée point par point par l'auteur. Pour Platon, il y a de mauvaises images comme il y en a des bonnes) Dans un premier temps, Socrate va camper le décor de cette allégorie pour mieux illustrer sa thèse. En en appelant à l'imagination de Glaucon et en pratiquant ce qui est un ressort

regard d’autrui ?  Introduction :   Imaginez que vous ayez le don de l’invisibilité. Qu’allez-vous faire ? N’est-ce pas l’occasion rêvée pour tout faire, pour même braver les interdits ?Cette situation est imaginée par Platon dans la République. Glaucon ( le personnage qui défend les thèses sophistiques dans ce dialogue ) raconte l’histoire de Gygès, un berger d’Arcadie qui aurait trouvé au fond d’une grotte un anneau qui lui permettra de le rendre invisible quand il le souhaite. Cet homme, simple

c'est pourquoi, nul ne peut vraiment la vouloir (on ne peut vouloir être malade), et la punition, qui est comparable à la médecine, est bénéfique à celui qui la subit. L'attitude commune face à la justice est résumée par Polos dans « Gorgias » et Glaucon au livre 2 de la « République ». Les hommes souhaiteraient être tout-puissants et pouvoir commettre n'importe quelle injustice pour satisfaire leurs désirs. Il vaut donc mieux, selon eux, commettre l'injustice que la subir.

Certains ont arrêté leur choix sur la conception conventionnaliste de la justice. Dans un premier temps, il sera important de définir la conceptionconventionnaliste. En deuxième temps, nous verrons la distinction entre les thèses que présentent Glaucon et Thrasymaque. En troisième et dernier temps, nous aborderons la différence entre laconception conventionnaliste de la justice et la conception platonicienne de la justice. Comme mentionné plus tôt, la justice a été et est toujours l’un des concepts