Glaucon

357a-358c, p. 108. - Socrate et Glaucon se demandent dans quelle sorte de biens placer la justice. 1) [357 cd] Glaucon, distingue trois sortes de biens : - ceux que l'on recherche pour eux-mêmes (joie et plaisirs inoffensifs) ; - ceux que l'on recherche pour eux-mêmes et leurs conséquences (bon sens, vue, santé) ; - ceux que l'on recherche pour leurs conséquences seulement (gymnastique, médecine, professions lucratives, etc.). 2) [357d-358e] Où placer la justice ? demande Glaucon à Socrate. Socrate : dans

Certains ont arrêté leur choix sur la conception conventionnaliste de la justice. Dans un premier temps, il sera important de définir la conception conventionnaliste. En deuxième temps, nous verrons la distinction entre les thèses que présentent Glaucon et Thrasymaque. En troisième et dernier temps, nous aborderons la différence entre la conception conventionnaliste de la justice et la conception platonicienne de la justice. Comme mentionné plus tôt, la justice a été et est toujours l’un des concepts

république, le personnage de Glaucon, il raconte le mythe de Gygès : c’est l’histoire d’un paysan qui un jour d’orage découvre un anneau qui lui donne l’invisibilité et grâce à le pouvoir, il va séduire la reine, tuer le roi et prendre le pouvoir Glaucon : « il y a la une sérieuse raison de penser que personne n’est juste de son plein gré mais par contrainte » Si on est sûr de ne pas être pris, on ne ferait que profiter, c’est la loi qui nous force à être juste d’après Glaucon. La question qui se pose

matière; naturellement parmi ces porteurs, les uns parlent et les autres se taisent. Voilà, s'écria Glaucon, un étrange tableau et d'étranges prisonniers. Ils nous ressemblent; et d'abord, penses-tu que dans une telle situation ils aient jamais vu autre chose d'eux mêmes et de leurs voisins que les ombres projetées par le feu sur la paroi de la caverne qui leur fait face ? Et comment, observa Glaucon, s'ils sont forcés de rester la tête immobile durant toute leur vie ? Et pour les objets qui défilent

VIII) Dans son livre, Socrate (disciple de platon) explique a Glaucon qu'ils s'etaient accordés sur les conditions nécessaires à l'etablissement d'un bon gouvernement : communauté des femmes et ds enfants, education mixes identiques. Glaucon rappelle que selon Socrate, ce type d'etat est le meilleur. Cependant, il existe 4 formes defectueuse de gouvernements et d'homme que socrate n'a pas analyser. Socrate analyse donc puisque Glaucon le souhaiter. Il remarque qu'il existe bien 4 formes de gouvernements

est définie par son père et Socrate. Il pense que les faibles rabaissent les forts car ils sont plus nombreux. Livre 2 : Un des frères de Platon, Glaucon, reprend le flambeau de Thrasymaque en nous disant que le bien consiste à commettre une injustice en toute impunité, le mal consiste à commettre une injustice sans jamais obtenir réparation. Glaucon dit que les hommes se sont rendu compte que la quantité de douleur et de mal que l’on ressent quand on est victime d’une injustice surpasse le bénéfice

justice est étudiée. Cependant, il y a abondamment de points de vue différents. Tout d’abord, dans la « République de Platon », il y a un extrait en particulier qui mérite d’être abordé.(page 1 à 3 du recueil de Philo) La conception de la justice de Glaucon est-elle adéquate? Premièrement, nous avons la conception qui signifie : La manière particulière de se représenter quelque chose dans la pensée. Deuxièmement, nous avons justice qui signifie : « principe moral qui exige le respect du droit de l’équité

diálogo donde hay dos personajes: el autor no existe, no tiene identificación, sino que hablamos de l´ecrivain cuando se hace una crítica literaria. Le genre es didáctico→ didactise (n´a pas protagoniste) Nos encontramos con el JE y con el TU (Glaucon) No se sabe quien es el escritor y quien los personajes. L´ espace/ temps → genre didactise poèsie L´écrivain peut devenir un personnage. L´ecrivain est réversible. Il écrit au présent. ESQUEMA Narrador La littérature

socratique. Xénophon, Mémorables, Livre troisième, Chapitre 6 « 1. Glaucon, fils d’Ariston, s’essayait à haranguer le peuple, alors qu’il n’avait pas encore vingt ans, et il avait l’ambition de diriger la politique d’Athènes. Aucun de ses parents ni de ses amis ne pouvait l’en détourner, bien qu’on l’arrachât de la tribune et qu’on le couvrît de huées. Socrate, qui lui voulait du bien, à cause de Charmidès, fils de Glaucon, et à cause de Platon, parvint seul à le faire renoncer à ses prétentions

possible, les aura placés dans de telles dispositions GLAUCON: Je le sais bien! Et comment en serait-il autrement? SOCRATE: Mais, quand un chagrin personnel survient à tel d'entre nous, réfléchis-tu en revanche que nous nous parons de l'attitude contraire, si nous sommes capables de garder notre calme et de nous résigner? dans la conviction que cela est d'un homme, tandis que la manière d'être que nous louions alors est d'une femme? GLAUCON: J'y réfléchis, dit-il. SOCRATE: Est-elle donc de mise