Goffman Stigmate Handicap

.................................................................... 79 III.1 II.2 II.3 L’absence de travail : acquisition d’un statut dévalorisé........................................................................... 79 L’intériorisation du stigmate fondée sur le sentiment d’inutilité sociale................................................... 82 Ne rien faire, n’être personne.................................................................................................................... 86

prénotions et il est confronté au fait que pour écrire ses analyses, il va utiliser cette même langue. La langue est l’objet et le lieu de lutte sociale. Bourdieu : « le monde social est le lieu d’une lutte pour dire la vérité du monde social ». (Goffman, Calmer le jobard) Exemple : Différence cotisation et charge sociale : Cotisation : salaire différé –solidarité Charges sociale : compétitivité – charges pour les entreprises Faire changer les mots fait changer la réalité sociale. La question des

pathologies que je rencontre dans l’exercice de ma profession. Au cours de l’année 2007, je fais un stage à l’IME Val Brian où je découvre une nouvelle forme d'accompagnement pour un éducateur technique. Le public est plus jeune et il est en situation de handicap. En 2010, je travaille au sein de cet IME. J’y suis embauché en CDI à temps plein pour animer un atelier bâtiment au sein d’une Section d’Initiation à la Première Formation Professionnelle (SIPFP). La mission de l’IME est d'accompagner des personnes

sociales. Charlot ne nie pas cela mais il estime que c’est une vision trop simpliste. Il va analyser en quoi l’échec scolaire est engendré par l’origine sociale, mais aussi comment les différentes positions entre individu sont pensées comme des handicaps, c’est-à-dire la façon dont on considère que si l’élève est en échec c’est qu’il lui manque quelque chose. Charlot remet en cause les explications et non les faits. Il va s’intéresser à l’origine socioculturelle des élèves, à la place qu’ils donnent

première arrestation. ( Edit de 1657 où Louis XIV distingue "membres vivants de Jésus-Christ" et "membres inutiles à l'Etat" (vagabonds). L'hôpital c'est le travail forcé entrecoupé de prières incessantes, l'apprentissage de l'ordre ("Asiles" de Goffman) ( Stratégie d"inclusion" (p87). Louis XIV indique qu'il agit par le seul motif de la charité, on voit donc tous les sousjacements de la pensée chrétienne. L'hôpital est une domiciliation indirecte ; ce fut un échec et l'on connu un retour à la domiciliation

intérêts, notamment en agissant auprès des pouvoirs publics. (syn. Lobby) GOFFMAN E. (1922-1982) : sociologue américain, représentant du courant interactionniste. Pour lui, les interactions entre les individus, au cours desquelles ceux-ci cherchent à ne pas « perdre la face », sont essentielles pour comprendre la société. Il est l’auteur de la théorie de la stigmatisation. A écrit stigmates : les usages sociaux du handicap en 1963. H HABITUS : système de dispositions durables, acquises dans le

pour autrui mais aussi pour soi. Dans ces conditions l'identité culturelle qui est en relation étroite avec la vérité participe d'une communication interculturelle en tant que phénomène d'interactions. La seconde piste de réflexion est celle de GOFFMAN qui distingue également deux types d'identité mais tient compte de ce qu'il appelle le labelling (=étiquetage) de BECKER et il dissocie les identités sociales virtuelles et les identités réelles (pour soi), qui ne coïncident pas toujours nécessairement

de défenses servant à supporter une situation à laquelle on ne peu pas échapper. Cette inertie que tout le monde peut constater en pénétrant dans une maison de retraite, il n’est pas normal de ne l’attribuer qu’à la vieillesse, à la maladie ou au handicap, ce n’est pas seulement parce que les résidents sont vieux, fatigués , tristes ou atteint de la maladie d’Alzheimer, c’est aussi et peut-être surtout parce que la société dans son ensemble n’a que faire d’eux mais qu’elle doit aussi les reconnaitre

encore d’imposer un point de vue particulier sur une réalité. On parle par exemple de cadrage médiatique d’un événement à propos de la façon, partiellement arbitraire, dont les journalistes et les médias interprètent un événement particulier. Erving Goffman considère les cadres comme un élément essentiel pour comprendre la façon dont se structurent les interactions symboliques. La « définition de la situation » est une notion proche de celle de cadrage. cadre (groupe social) P Q R S T © Dunod –

encore d’imposer un point de vue particulier sur une réalité. On parle par exemple de cadrage médiatique d’un événement à propos de la façon, partiellement arbitraire, dont les journalistes et les médias interprètent un événement particulier. Erving Goffman considère les cadres comme un élément essentiel pour comprendre la façon dont se structurent les interactions symboliques. La « définition de la situation » est une notion proche de celle de cadrage. H cadre (cadrage) La notion de cadre désigne