Goffman Stigmate Handicap

personnalité contemporaine et les changements des modes symboliques de socialisation. In La démocratie contre elle-même. Paris : Gallimard. 420 p. Coll. Tel. − GOFFMAN, E. Asiles. Etudes sur la condition sociale des malades mentaux. Paris : Les éditions de Minuit, 1968. 447 p. Coll. Le sens commun. − GOFFMAN, E. Stigmate. Les usages sociaux des handicaps. Paris : Les éditions de Minuit, 1975. 175 p. Coll. Le sens commun. − KAËS, R., BLEGER, J., ENRIQUEZ, E. et al. L’institution et les institutions. Paris

individu de type masculin par rapport. Affrontement, tentions sociale dans l’échec scolaire utilise le raisonnement suivant. Puisque le sys est mis en échec à mon tour de let mettre en échec par la tension. Un stigmate->Goffman une marque une cicatrice qu’on impose a qq pour le décrire. Le stigmate va renverser contre l’I° en installant un climat d’instabilité dans l’univers scolaire. La révolte verbale bénéficie o cours. Les individus se construisent contre l’école. Et d’autre contre le modèle social

travail et vulnérabilité relationnelle (cf. portefeuille de lecture) : CASTEL introduit ici le concept de désaffiliation. Ce sociologue français s’est toujours intéressé à ce qui se passait en marge de la société. Il a notamment traduit Asiles de GOFFMANN. Il s’est intéressé à la place de la psychiatrie en France pour expliquer en quoi les politiques de santé mentale participaient à une sorte de contrôle social. Dernièrement, il a écrit le livre Métamorphose de la question sociale qui est un ouvrage

plus leur dévalorisation individuelle et collective 3. Chez d’autres, on voit apparaître une stratégie de dis(1) Dominique Dessors, Jean Schram et Serge Volkoff, « Du “handicap de situation” à la sélection-exclusion », Travail et Emploi, 48, février 1991, p. 31-47. (2) Erwing Goffman, Stigmate, les usages sociaux des handicaps, Paris, Éd. de Minuit, 1989. (3) Éric Godelier, Usinor-Arcelor : du local au global, Paris, Hermes, 2006 ; Gwénaèlle Poilpot-Rocaboy, « Performance de la gestion des emplois

GIRARD, La violence et le sacré, Ed. Grasset, 1972, Coll. Pluriel, 534 p. R. GIRARD, Le bouc émissaire, Ed. Grasset, 1982, Coll. Pluriel, 315 p. R. GIRARD, Et je vois Satan tomber comme l’éclair, Ed. Grasset, 1999, 300 p. E. GOFFMAN, Stigmates. Les usages sociaux des handicaps (1963), Les Ed. de Minuit, Coll. Le sens commun, 1975, 177 p. C. GORING, The english convict, Reprint by Patterson Smith Pontclair, 1972, 528 p. Y. GRAFMEYER, I. JOSEPH, L'école de Chicago. Naissance de l'écologie urbaine

Chapitre 1. Le vocabulaire de l’exclusion Le concept d’inégalité et ses dérivés 1. Des concepts évolutifs, en phase avec l’état de la société (conception à dominante chronologique) Pauvreté – Marginalité – Marginalité revendiquée – Handicap social – Inadaptation sociale – Exclusion – Pauvreté au travail La façon dont on parle de marginalité est fonction de l’état de la société. Les points de vue, les manières de voir les choses traduisent les manières dont on va les analyser. Au XIXème

« place corrélative » → identité situationnelle repérable dans l’énonciation et dans l’énoncé par des marqueurs identitaires), l’enjeu (désir de produire une certaine image de soi et de la faire confirmer par autrui → notion de « face » d’Erving Goffman, recherche de valorisation, quête de reconnaissance, mais cet enjeu implicite comporte un risque : celui d’infirmation ou de dévalorisation) et la résultante (c’est au travers des interactions quotidiennes et des images qu’elles nous renvoient que

homosexuels) ; travail de resocialisation. Erwin Goffman (1922-1982), grand sociologue du XXème siècle, Asyl (1982), observation des malades mentaux dans les asiles (= institutions totales qui encadrent la vie des individus qui y vivent / expliquer sociologiquement sans prendre en compte le fait qu’ils sont aliénés) ; Stigmate (1963), qui analyse le rapport dans la vie quotidienne avec les personnes qui portent des stigmates et les autres. Usages sociaux du handicap. 1.b. Analyse Les faits sociaux sont

les discriminations : « constitue une discrimination directe la situation dans laquelle, sur le fondement de son appartenance ou de sa non-appartenance, vraie ou sup- posée, à une ethnie ou une race, sa religion, ses convictions, son âge, son handicap, son orientation sexuelle ou son sexe, une personne est traitée de manière moins favorable qu’une autre ne l’est, ne l’a été ou ne l’aura été dans une situation compa- rable. Constitue une discrimination indirecte une disposition, un critère ou

rapportés par le patient pour bâtir son diagnostic, en psychiatrie, la parole du fou est suspecte et non avenue (Dorvil, 1988, p. 50). Se basant sur les étapes de la carrière morale et psychiatrique du « malade mental » établies par Erving Goffman, David L. Rosenham, un professeur de psychologie et de droit à l’université Standford en Californie, a voulu savoir ce qui se passe derrière les portes closes d’un hôpital psychiatrique. Il conduisit une expérience planifiée dans les moindres détails