Gottfried Wilhelm Leibniz

Dans l’incipit de Candide, Voltaire donne l'image du meilleur des mondes possibles, il utilise des personnages fictif pour parler de ce qu’il ce passe dans la réalité. Il présente les personnages, le contexte. Le chapitre est clôt par le départ de Candide et sa découverte du monde. Le ton ironique est déjà présent dès le premier chapitre. L’auteur est très philosophique dans ce chapitre.   Les personnages sont présentés successivement. Tout d'abord, Candide. Voltaire établit une relation entre

conte. Lors de la description, le ton est administratif, il est assimilé à un « oracle »; « admirablement » => présentation dans le discours de Pangloss. Pangloss est un disserte en tout point, il avance des théories sur l’Optimisme inspirées de Leibniz qui finissent par devenir de plus en plus pathétiques vers la fin du récit.. Voltaire, qui n’aime pas ce genre de personnage, nous met en garde contre de pareilles gens. L'évocation de ce contexte s'apparente donc beaucoup à celle du conte. Il n’a

portée philosophique du conte : Voltaire le penseur, le philosophe Consolider les acquis en matière de lecture méthodique Initiation au commentaire composé et à la dissertation Intertextes : La théorie de la causalité de Leibniz La théorie de l’optimisme chez Leibniz, Pope, Wolf et autres Analyse thématique : Satire de la religion // dénonciation du fanatisme religion pendant l’inquisition Satire du pouvoir et de la noblesse // satire de la guerre, des abus de pouvoir, de l’esclavage

escroc. Résumé [modifier] « les diables de Pangloss portaient griffes et queues et les flammes étaient droites ». Candide est un jeune garçon vivant au château du baron de Thunder-ten-tronckh. Il a pour maître Pangloss qui professe, à l'instar de Leibniz, que l'on vit dans le meilleur des mondes possibles. Cependant Candide est chassé de ce meilleur des mondes possibles à la suite d'une « Leçon de physique expérimentale » entreprise avec Cunégonde, la fille du Baron. Candide découvre alors le monde

l'optimisme et de Leibniz :Derrière Pangloss se cache Leibniz qui est un philosophe a peu près contemporain de VOLTAIRE et dont la thèse est : Dieu a crée le monde le plus harmonieusement possible (mais ce monde n'est pas parfait)" Pangloss " du grec : parle sur tout ou tout le tempsdétourne les propos de Leibniz :  * abuse du jargon scientifique dans ses discours : "il est démontré", "aussi", "et", "si", "donc", "car", "par conséquent".  * sort de leur contexte les paroles de Leibniz, aboutissant à

à un événement qui le touche, sa pitié pour les victimes de la catastrophe. On peut aussi le définir comme « polémique ». En effet, Voltaire s’appuie sur cet événement dramatique pour argumenter contre les adeptes de l’Optimisme (philosophie de Leibniz, diffusée en France par le « parti religieux », notamment les Jésuites). Le sous-titre du poème l’indique explicitement : « Examen de cet axiome : Tout est bien » . Notre analyse du texte aura pour but d’éclairer ces divers aspects. Nous

conscience. I° Lutter contre le mal, c’est le définir et c’est le faire voir ! La lutte contre le mal ne peut pas se faire de façon personnelle, il est essentiel d’étendre la connaissance du mal au monde. Pour cela il faut pouvoir le définir. Leibniz distingue mal physique (souffrance qui affecte un être intelligent et possédant des sens), mal métaphysique (qui désigne l’imperfection de chaque créature) et le mal moral (qui fait référence au péché). Cependant définir le mal n’est pas aussi simple

possibles. L'inconscient est un concept utilisé par Sigmund Freud (1856-1939) dans sa théorie psychanalytique. Avant lui, ce concept était déjà utilisé dans un sens voisin par des philosophes comme Nietzsche et Hartmann. Il avait déjà été perçu par Leibniz au XVIIe siècle et par Schopenhauer dont Freud fut un lecteur attentif.

contradiction sans but précis. De plus Nous pouvons également évoquer le principe de raison suffisante introduite par Leibniz, c’est le principe selon lequel « rien n’arrive sans qu’il y ait une cause, ou du moins une raison déterminante, c’est-à-dire qui puisse rendre raison a priori pourquoi cela est existant et pourquoi cela est ainsi plutôt que de tout autre façon », selon Leibniz donc, tout acte est, d’une certaine façon, raisonnable, puisqu’il a forcement une motivation, donc une explication rationnelle

retrouvailles ridicules : Candide embrasse cent fois l’homme qu’il a « tué » lui-même. Ch. XXVIII : L’aventure : Les récits de Pangloss et du baron ressassent leurs aventures misérables. Le comique : Pangloss s’entête : la théorie de Leibniz ne peut pas être fausse : « Leibniz ne pouvant pas avoir tort » (p.152, ligne 80). Il gardera ainsi toujours son optimisme ridicule malgré tout ce qu’il lui est arrivé. Ch. XXIX : L’esclavage de Cunégonde et de la vieille (on peut aussi dire comme thème : La femme-objet)