Gouvernement minoritaire

Droit Constitutionnel Le Premier Ministre : chef du gouvernement "Toi c'est les jambes, moi c'est la tête". Tels sont les propos attribués à Nicolas Sarkozy à la veille de la nomination de François Fillon à Matignon. Quant à François Fillon il a lui-même affirmé en juin 2008 "Peut-être qu'un jour les esprits ayant évolué, le pays ayant changé, on pourra aller jusqu'à un vrai régime présidentiel et à ce moment-là le Premier ministre deviendra un vice-président". De Jack Lang à Edouard Balladur

régimes d’assemblée de la IIIème et de la IVème République étaient marqués par la suprématie du Parlement seul maître d’une loi sacralisée et posté au somment de la hiérarchie des organes constitutionnels (Président de la République, Parlement et Gouvernement). Ainsi, c’est en vue de d’éviter toute souveraineté parlementaire que la Vème République va tenter de rompre cette assimilation entre loi et Parlement. Dès lors, il ressort que le Parlement n’est plus l’unique législateur comme il n’est pas

« d’arbitrage » attribué au Président de la République par l’art.5. Dans les derniers temps de la IVème République, chacun a conscience que les institutions fonctionnaient mal. Ce fait est dû à une instabilité gouvernementale (21 gouvernements et la durée d’un gouvernement était d’un mois en moyenne). En effet, sous la IVème République, l’exécutif n’avait aucune assise indépendante du Parlement. Le Président de la République était élu par les deux assemblées réunies en Congrès. Dans un discours célèbre

solidairement responsables devant les chambres de la politique générale du Gouvernement » (article 6). Le Président du Conseil et son Gouvernement doivent donc être issus de la majorité parlementaire. * N'ayant aucune existence constitutionnelle, le Président du Conseil n'a pas de pouvoirs propres. Les lois constitutionnelles de 1875 donnent l'intégralité du pouvoir exécutif au Président de la République et à son Gouvernement. * L'article 3 de la loi relative à l'organisation des pouvoirs

C) Élection : À Genève, le conseil d'État est élu au mois de novembre, cinq semaines après l'élection du Grand Conseil, et depuis 1957 tous les quatre ans comme le stipule la constitution de la République et canton de Genève. « Les membres du gouvernement sont élus par l'ensemble des électeurs réunis en Conseil général (corps électoral) selon le système majoritaire  »[5], comme l'indique le site web officiel de la République et canton de Genève. Les candidats qui figurent sur plus de un tiers des

Partie 1/ La construction d’un problème public : introduction à l’analyse de l’action publique et des politiques publiques Texte 1 Hassenteufel P., « Le processus de mise sur agenda : sélection et construction des problèmes publics » « La notion de « problème public » – quoique intuitivement compréhensible – n’est pas simple à définir : elle n’est ni stabilisée ni utilisée souvent telle quelle dans la littérature ; de plus, un problème public est loin d’être un fait objectif, mais plutôt

responsable devant le Parlement, ils ne sont pas liés institutionnellement. * Eléments de séparation souple : Commission responsable devant le Parlement MAIS ne peut le dissoudre. * Pouvoir judiciaire : 1 juge/ Etat membre nommé par les gouvernements pose un problème d’indépendance du pouvoir. * Système institutionnel européen ne suit pas un modèle mais s’inspire de plusieurs. B. La distinction progressive des fonctions européennes * Distinction entre les 3 pouvoirs du modèle

tantôt le légitimité du président au suffrage universel, tantôt la séparara - -tion des pouvoirs au sein du gouvernement ainsi que sa responsabilité devant le parlement. Cependant ceci pourrait bien changer , en effet selon les paroles de l'actuel président de la république , François Hollande, des changements concernant le gouvernement on été annoncé par celui-ci , certains sont de ; faire valider la politique gouvernementale chaque année par

pouvoir Le niveau national : * Pouvoir législatif : le parlement vote des lois * Chambre : Conseil flamand et communauté française * Sénat : Conseil flamand et communauté française et région wallonne * Pouvoir exécutif : le gouvernement vote les arrêtés royaux approuvé par le conseil des ministres et signé par le roi et les arrêtés ministériels signé par un ministre Les régions et communautés : * Pouvoir législatifs : le conseil flamand, la communauté française, la région

en 1958 lors de son discours devant le conseil d’état. Il exprime là l’opinion du gouvernement issue de la nomination du général De Gaulle. Déjà, dans son discours de Bayeux du 16 juin 1946 le général exprimait son souhait de voir instituer dans la deuxième république un président fort procédant du vrai pouvoir exécutif et d’une compétence d’arbitre au-dessus des partis, choisissant librement son gouvernement et disposant du droit de dissolution : il doit être un élément central dans la constitution