Gouverner C Est Faire Croire

Machiavel a dit que ceux qui nous gouvernent pouvaient mentir au peuple Je pense que Machiavel a raison. Il est arrivé beaucoup de fois où un de nos président ou premier ministres a dit des choses qui n’a pas fait et qui savait qu’il ne pourrait pas faire. Ils ont sûrement menti pour rassurer les gens ou pour essayer de donner une bonne impression mais cela à mon avis est pire que tout car de nos jours tout ce que les dirigeants disent est enregistré et donc nous pouvons le sortir contre eux comme preuve

…………………………………………………………2 3. Annonce du plan ….……………………………………………………3 4. Le désir du pouvoir ….…………………………………………………3 4.1. Formes du pouvoir ….………………………………………….3 5. Communication politique ……………………………………………...4 6. Rapports entre gouvernants et gouvernés ...……………………………4 7. Rapports et états de société politique …………………………………..5 7.1. Société archaïque ....……………………………………………5 7.1.1. Rapport d’identité ….………………………………….5 7.2. Société historique ……………………………………………..

TEXTE DU BAC BLANC (TS), Schopenhauer Exemple de corrigé Remarques préalables : - Pour analyser vraiment le texte (ce qu'on attend de vous), pour faire avancer la réflexion, et non répéter toujours la même idée, il faut des PARAGRAPHES portant sur des points de détail différents, qui auront été distingués dans un plan détaillé fait au préalable au brouillon. Il n'est pas question d'improviser le devoir quand on le rédige et d'écrire "au kilomètre", en découpant les phrases en morceaux, ou

de ce qui ne l'est pas (la "fin" qu'il poursuit). Puis, dans un deuxième, (dés la ligne 3, jusqu’à la ligne 13) il fait deux assertions : l’une hypothétique (« S’il s’en propose une bonne »), l’autre, que la soutiens, catégorique (« Comme il faut croire en parlant d’un homme sage »). Les deux sont justifiée par les exemples que Spinoza va à rapporter et, dans la dernière partie (« Je penche »jusqu’à la fin), à affirmer explicitement. Du moment que ce texte s’insère dans un plus vaste discours

Emile mais sans commandement, sans précepte et sans ordre. Il va utiliser une nouvelle technique pour l’éduquer qui n’agit plus directement sur l’enfant mais indirectement. Pour ce faire, il ne va plus utiliser la contrainte mais des voies détournées. L’enfant (Emile) va donc penser qu’il est libre et qu’il peut faire ce qu’il veut, pourtant il sera télécommandé par le gouverneur. Il y a donc une certaine forme de contrainte que l’enfant ne perçoit pas. En d’autres termes, le gouverneur possède un

scientifique peut-il faire autre chose qu'interpréter la nature? fatou : (le 02/11/2010) Le scientifique peut-il faire autre chose qu'interpréter la nature? Melo : (le 01/11/2010) La conscience règne mais ne gouverne pas. Melo : (le 01/11/2010) La conscience règne mais ne gouverne pas. Melo : (le 01/11/2010) La conscience règne mais ne gouverne pas. Melo : (le 01/11/2010) La conscience règne mais ne gouverne pas. Melo : (le 01/11/2010) La conscience règne mais ne gouverne pas. Melo : (le

populisme s’appuie sur un constat : celui de la décadence national. Il faut mettre les brebis galeuses hors d’état de nuire et remettre le pays sur le droit chemin. Les groupes sont dominés par la politique et pour combattre ça, on (= les populistes) fait croire au peuple qu’ils vont avoir la parole et le pouvoir. Rapprochement entre FN et populisme (mais il ne faut pas confondre les deux pour ne pas banaliser le FN et ne pas minimiser les manifestations du peuple). Retour vers le passé en disant « c’était

mes emotions et plus generalement de mes pensees. Dans le verbe regner, on peut trouver l’idee d’un pouvoir tout puissant ayant une autorite absolue. Cependant, l’idee du verbe gouverner comporte la notion de l’autorite politique, et la notion d’une certaine maitrise. Alors la phrase: la conscience regne mais ne gouverne pas presente une contradiction. Le sujet aurait une conscience toute puissante mais n’assurant pas la maitrise sur soi. En d’autre mots la conscience serait comme un roi qui donne

roi par la volonté du hasard, il y a certains risques et dangers. En effet, le roi peut gouverner de manière injuste, en suivant ses passions. Bocchoris ressemblait au Dieu de la guerre. Il n'avait pas d'humanité pour les étrangers, il ne cherchait qu'à contenter ses passions et à tourmenter les peuples. C'était plus un monstre qu’un roi. De plus, le caractère du roi peut influencer sa manière de gouverner de manière négative. Le roi Bocchoris était égoïste, prétentieux, impulsif, irréfléchi… Ces

hommes.» - voir des signes partout (signe : effet séparé de sa cause) - Chercher des signes dans des lieux absurdes : message de dieu dans les entrailles des bêtes, croire que les fous parlent en vérité (sont inspirés). La folie devient sagesse. - Illusion finaliste : fictions des causes finales. Interprétation pathologique. - Croire aux miracles. - Accomplir des rituels absurdes et infantiles. - Rejet de la raison, perte du sens commun. Cela n’épargne personne : l’expérience qu’on voit la superstition