Grammaire Stylistique

relèvent de la misère. Tel que le paletot déchiré devient en fait son idéal impossible. La poésie du texte : * Ponctuation : phrase de type exclamative qui donne au texte une certaine émotivité. * Champ lexical : simpliste * Forme : stylistique permet de rapprocher cette figure de style aux mots qui sont opposés c’est-à-dire des oxymores.

provocation mise en place par l'ironie, Ducasse critique ici la sociéte dans ses aspects les plus sombre : a) Un renversement ironique sur la religion les mythe de l'enterrement humour noir b) une parodie naturalisme ( critique stylistique) romantisme épope ( le pou est un héros) élaboré par Cassy Makunga

vend (v.18) est une périphrase qui guide vers le choix de la facilité du laisser aller là où il y a du plaisir. Et dans cette dernière phrase ; Meurs galant, c’est trop vécu! (v.38), les mots meurs et vécu créent une antithèse. Cet aspect stylistique permet d’affirmer qu’il faut vivre intensément car la mort frappera tôt ou tard. De par ces mots et figures de style, le chef de la Pléiade, insiste sur la nécessité de jouir de la vie. La fuite du temps Il s’ensuit de la fuite du temps

texte 1 1. La présentation du texte 2 2. Façon de l’analyse 2 3. La mis en page 2 4. Découpage d’après le sens (plan du texte) + l’idée principale 3 5. Plan de l’analyse 3 6. Les personnages et le résumé 3 7. Les procédés stylistique 4 8. Les codes et les mobiles 6 9. La syntaxe 6 10. Le lexique 7 11. Les archétypes 7 12. La conclusion 7 La présentation du texte 1. On est en présence d’un texte, tiré du livre d’un écrivain, mondialement réputé [nom de

particulier de la vie que lui insuffle l'auteur. Qui relèvent des relations entre les textes, soit l'intertextualité. En effet, un texte n'existe que dans une littérature constituée d'autres textes. Toutes ces œuvres se recoupent, que ce soit par la stylistique, la thématique, les idées… Des combinaisons nouvelles peuvent émerger, ce qui rend l'œuvre particulière. Critères externes à l'œuvre Qui relèvent de l'auteur. l'œuvre est l'expression d'un moi unique, avec une vision particulière. Qui relèvent

meilleure forme possible afin de plaire a tous. Les réécritures peuvent suivre un principe d’imitation mais aussi un principe de recherche de l’écart trouver sa propre voie, sa propre façon, sur un texte déjà écrit La réécriture est donc un procédé stylistique propre a soit même à part entière ainsi, chaque nouvel écrit est toujours plus ou moins fortement imprégné d’un style, remettre au goût une œuvre ancienne consiste simplement à imiter ou au contraire à l’innover   

spécifiquement un procédé d'écriture — à distinguer de la « clause de style »[D 3] —, qui met en jeu l'« effort » du locuteur pour constituer la figure, son intention stylistique en somme, et l'« effet » sur l'interlocuteur qui fait appel à sa sensibilité[H 1]. Les figures de style sont donc définies comme un sous-ensemble de la stylistique[Note 1],[H 2], constitué par des écarts par rapport à l'usage commun de la langue, un emploi remarquable des mots et de leur agencement. Elles concernent ainsi un

Ardennes. La métaphore constitue ainsi une utilisation suggestive et expressive de la langue. De façon plus générale, la métaphore recouvre par sa forme raccourcie tous les usages de l'image en se différenciant de la comparaison (entendue au sens stylistique) par l'absence d'outil de rapprochement (« comme, ressembler à, pareil à... ») qui rend plus forte l'association des deux termes et souligne une équivalence dans la métaphore annoncée avec comparé et comparant, (par exemple : « Bergère, ô tour Eiffel

apparaît dans un énoncé appartenant à une culture particulière et qu’on entreprend de le restituer dans une autre langue sous-tendue par une autre culture. Partant de là, le traducteur se heurte à des obstacles d’ordre stylistique et sémantique. La métaphore comme procédé stylistique possède une dimension universelle. Paradoxalement, dans l’environnement textuel où elle apparaît, elle demeure spécifique à la culture et la langue qui l’exprime dès lors qu’elle subit une restriction dès qu’elle est transférée

les observations, dans la mesure du possible. Il s’agit bien de montrer les points communs et différences entre les textes. C’est là que réside la difficulté et c’est ce qui nous intéresse. Ces points communs peuvent être un thème, ou un trait stylistique particulier (usage de telle figure de style, dans un but précis). Les différences peuvent jouer sur la manière de traiter ce thème, mais aussi sur des différences notables dans l’écriture du texte (traiter du rythme, par exemple, on insistant sur