Grégoire de Tours

Normands (ou Vikings). 806 : Conquête de la Bohême et soumission de la Croatie. 810-811 : Guerre entre les Francs et les Vikings danois. 812 : Reconnaissance de l'empereur d'Occident Charlemagne par l'empereur d'Orient Michel Ier. 813 : Concile de Tours, les évêques conseillent que l'homélie soit dite en langue vulgaire (ancêtre du français) et non en latin. | Louis 1er le Pieuxfils de Charlemagne et d’Hildegarde de Vintzgauempereur d'Occident | (814-840) | 817 : Règlement de la succession de Louis

 SOURCES  DU  DROIT   L’importance respective de la loi et de la coutume dans les sources du droit (1) Texte 1 : Code Justinien. Livre VIII. Titre LIII : "Du long usage" Texte 2 : Lettres d’Henri I, 1057 Texte 3 : Décrétales de Grégoire IX, 1234 Textes 4 : Enquête par Turbe (Ordonnance de Saint Louis ; J. Boutillier, Somme rurale, 1393 ; G. De Ghewiet, Institutions du droit belgique, 1722) Texte 5 : Philippe de Beaumanoir, Coutumes de Clermont-en-Beauvaisis, 1283 Texte 6 : Grotius

C’est également le début du tourisme culturel. Le terme français touriste qu’utilise Stendhal dans son œuvre mémoires d’un touriste en 1838, désigne le voyageur parti pour occuper son temps à sa culture personnelle. Thomas Cook organise les premiers tours en 1841. Au XIX c’est le début du voyage initiatique vers l’Orient vanté par l’esthétique du voyage dans la littérature, c'est-à-dire l’Espagne, Gibraltar, la Grèce, l’Egypte ou le Bosphore. L’avènement du voyage est matérialisé par la publication

Bouillon. Il est tué au cours d’une émeute et Baudouin se proclame comte d’Edesse en mars 1098. Il fonde le premier des états Latins d’Orient. Les croisés arrivent à Antioche le 20 octobre 1097. Mais, possédant une muraille de 10 km armée de 450 tours, elle forme une forteresse telle que les croisés n’en ont jamais vu. Faute de matériel, les croisés ne peuvent le prendre d’assaut. Mais elle tombe finalement par trahison deux jours avant l’arrivée de la grande armée venue de Mossoul, qui est, à son

produits comparés 1) L’AOC Munster ou Munster-Géromé a) Origine historique Le Munster ou Munster-Géromé est né au Moyen Age, au sud du massif vosgien. Des moines bénédictins remontent la vallée de la Fecht et fondent un couvent dédié à St Grégoire. Autour de l'abbaye se développent plusieurs annexes rurales dont un bourg dénommé Munster, dérivé du latin monasterium, qui donnera son nom au fromage. Le Munster sera également connu sous la dénomination de Munster-Géromé, du nom de la ville

l’architecte Sostratos de Cnide sous les règnes de Ptolémée Ier et de son fils Ptolémée IInd, a été édifié pour guider les marins à rejoindre la côte égyptienne. Le phare fut considéré comme la 7ème merveille du monde pour la première fois par Grégoire de Tours. La tour du phare domine l’île de Pharos du haut de ses 130 mètres. Le phare d’Alexandrie est la seule des Sept merveilles du monde antique investie d’une fonction utilitaire et non religieuse ou décorative. Avec ses 130 mètres de hauteur, le

devient autonome, c'est-à-dire qu'elle est de moins en moins subordonnée à l’Église. Honorius III veut faire de nouveau briller le droit ecclésiastique, en citant notamment des dispositions prises au IIIème Concile de Latran (1179) et au Concile de Tours (1163), comme « l'organisation des études » religieuses c'est-à-dire de la « théologie », et « l'interdiction aux clercs de plaider ». B) La puissance du droit canonique et sa portée Les canonistes du Moyen Âge, par un gigantesque travail de compilation

Gènes. Désorientée, en proie à l'anarchie et déchirée par de terribles luttes féodales, la Corse, devient progressivement une monnaie d'échange au service de la papauté qui arbitre ainsi sa politique entre Pise et Gênes jusqu'à ce que le pape Grégoire VII confie l'administration de la Corse aux Pisans en 1077. De 1077 à 1284 :La Trêve PisaneDe la fin du XI ème siècle jusqu'à à la fin du XIII ème, soit jusqu'à la victoire de Gênes sur Pise - son éternelle rivale - l'île bénéficie de la sagesse

Ce récit c’est l’Historia Francorum, écrit par Grégoire de Tours, l’évêque de Tours, né en 538, mort en 794. Aristocrate issu de la noblesse gallo-romaine comme presque tous les évêques des temps francs. Il est le représentant typique d’un évêque : aristocrate civilisateur, le témoin du patricia, dont l’empire s’est effondré. La plupart des évêques dont on parlera sont issus de ces anciennes classes aisées de Rome. C’est le cas de Grégoire de Tours, qui écrit l’Histoire des Francs et conte la vie

dit, le roi peut user du monastère comme un outil de politique interne. Au final, pour bien se rendre compte de la place omniprésente des moines dans la société du haut Moyen Age, il suffit d’intégrer le fait que des papes aussi prestigieux que Grégoire le Grand ou Sylvestre II, le pape de l’An mil, étaient d’anciens moines. On comprend maintenant mieux pourquoi sous Charlemagne et Louis le Pieux ont été construit plus de quatre cents monastères. Il apparaît donc, à la lueur de notre développement