Grossièreté

vraisemblable que Silvia puisse se persuader qu'un butor tel qu'Arlequin soit ce même Dorante dont on lui a fait une peinture si avantageuse [...] 2. Arlequin, a-t-on dit, ne soutient pas son caractère partout; des choses très jolies succèdent à des grossièretés [...] 3. On aurait voulu que le second acte eût été le troisième, et l'on croit que cela n'aurait pas été difficile ; la raison qui empêche Silvia de se découvrir après avoir appris que Bourguignon est Dorante, n'étant qu'une petite vanité, ne

à l'ordre. Arlequin est précisément le personnage de l'inconvenance, par sa précipitation, ses manières, sa conduite amoureuse, son langage. Il devait être l'allié de Dorante ; il offre, en fait, une caricature de son maître, passant d'une grossièreté joyeuse à une politesse affectée et parodique. Il résiste à son maître et, comme un bouffon, finit par se jouer de lui : lorsque Lisette lui confie que Silvia n'est autre que la jeune fille de la maison, il garde le secret et laisse Dorante

implicites sur les points suivants : - Des indices informent que Gnathon appartient à une classe sociale élevée : il mange des « viandes » (cf. note 2) en abondance à une époque qui voit se succéder de terribles famines ; on l’invite en dépit de sa grossièreté et de son égoïsme – peut-être pour lui plaire et obtenir de lui quelques faveurs - ; il se déplace en carrosse, possède des valets etc. - Cette position sociale renforce le dégoût du lecteur : rien en effet ne saurait excuser l’égoïsme et la goinfrerie

tourner en rond. Dans une langue étrangère, au début, on se sent très limité, confiné dans un vocabulaire étroit. [10]Vulgum : le peuple, le vulgaire est le populaire, ce qui ne veut pas dire propos obscènes. La vulgarité n’est pas forcément de la grossièreté. [11]Étrangement pourtant la pauvreté du savoir n’empêche pas que l’on puisse en même temps bavarder beaucoup. [12]Cf la prolifération du vide caractéristique du bavardage ou on brasse des mots sans avoir rien à dire. [13]Situation très

le niveau de langue présent ici, il est argotique. En effet, c’est l’habitude de Renaud d’utiliser de l’argo dans ses textes. Il se sert aussi de nombreuses injures. Par exemple : armée de glands, troupeau d´branleurs, des plus con que moi. Ces grossièretés lui permettent de décrier les soldats et les militaires ou toute autre institution du genre pour nous convaincre que son idée est correcte et de nous montrer que ce n’est pas bien de l’être. Il n’y a pas de refrain présent dans se texte et on y

plus jeune « régulièrement des batailles éclatent entre mes frères »[10] La désunion prédomine « jamais bonjour, bon soir, bonne année, jamais merci. Jamais parle jamais besoin de parler. Tout reste, muet, loin »[11] La famille est fondée sur la grossièreté et la haine, le frère aîné est le responsable de la violence, dans l’image où ils mangent « Il nous regarde manger, le petite frère et moi, et puis il pose ses fourchette, il ne regarde plus que mon petit frère…il le regarde et puis il lui dit

sur deux rangs ”, “ petite ” Un univers réaliste et populaire qui se veut luxueux. Ce semblant de richesse, pauvre et fausse, laisse vite place à une assemblée triste et sale. II- Une sinistre assemblée A) Un peuple vêtu de misère grossièreté des habits et des visages grâce à des termes qui portent des connotations péjoratives : “ fourrure des marchandes en plein vent et des boutiquières d'allées ”, “ indienne ”, “ morceau de défroque ”, “ cache-nez ”, « une figure bise à moustache »

de Mistriss Hurst… Ici, elle fut encore interrompue. M. Bennet protesta contre toute description de toilette. Elle fut obligée alors de chercher un autre sujet de conversation, et raconta avec beaucoup d’aigreur et d’exagération l’insultante grossièreté de M. Darcy. Au reste, ajouta-t-elle, je vous assure que Lizzy ne perd pas grand’chose à ne pas lui plaire, car c’est l’homme le plus désagréable, le plus horrible ! si haut, si rempli d’amour-propre qu’il est réellement insupportable. Il se promenoit

la religion catholique alors qu’il met sur le même plan Dieu et les croyances populaires, les superstitions : « un hérétique qui ne croit ni Ciel, [ni saint, ni Dieu,*] ni loup-garou » (I,1).(*passage censuré) → La pleutrerie (= lâcheté) et la grossièreté de Sganarelle, qui prétexte une diarrhée subite (« je crois que cet habit est purgatif ») pour justifier sa fuite devant le danger, ou qui n’arrive plus à articuler un mot devant la statue (III, 5). → Gourmandise de Sganarelle qui tente de dissimuler

cet homme seul, qui depuis sa naissance fut lâchement abandonné et destiné à vivre sans amour ou encore sans reconnaissance pour ce qu'il est. Pensez-vous qu'il soit facile pour un si jeune enfant de se faire insulter de « bâtard » ou toute autre grossièreté par d'autres jeunes de son âge ? Tout cela à cause d'une éducation manquante dû à l'irresponsabilité de ses géniteurs égoïstes. Et j'emploie le terme géniteur mesdames et messieurs car je ne qualifierais pas ces deux personnes comme les parents